On se balade dans un jardin public. Il y a moi, G, L, J et F. On s’approche de collines. Ce sont presque des falaises. Deux véhicules nous accompagnent : ce sont deux voitures pour enfant, des trucs en plastique creux qui avancent dès qu’on se met dessus. J’en récupère un et remarque que ces véhicules sont passe-partout, étrangement. Avec ça, on grimpe en haut des collines et le paysage se dégage, un peu comme aux Pays de Galles. Ceux qui n’ont pas de voiture suivent avec difficultés. En haut, on redescend dans une forêt verte d’automne. Les arbres sont petits, c’est-à-dire minces mais assez serrés. Puis je me retrouve dans les WC de la salle des fêtes de M en train de répondre avec des collègues de classe (XP) à des questions sur Rome. Le paysage devient mi-provençal, mi-gallois. On est sur une descente de garage au bord de la route. Tout ceci est garni de pierres et d’herbes. On se met en route pour Rome. Je quitte mes collègues en cours de route et les alentours deviennent plus plats et plus méridionaux. J’arrive à Rome qui est au bord de la mer et c’est pas très grand malgré une banlieue villageoise importante. Là, je retrouve Éric et on se retrouve les pieds dans l’eau froide du type de l’Océan Atlantique. Auparavant, j’avais repéré au dessus d’énormes montagnes à notre gauche, un gigantesque ventilo qui faisait du vent. À la plage, on se retrouve confronté à un raz de marée ou plutôt une lame de fond, et on rentre à Rome par l’estuaire, les pieds dans l’eau. Rome était constituée d’un centre culturel et très dense et d’une banlieue relâchée et villageoise. Le temps était nuageux et les villages constitués de maisons en pierre usée, avec des toits en pierre comme aux Pays de Galles. Cependant, l’ambiance était méridionale. Rome était une ville bien méditerranéenne, du moins, le centre.