Des pierres vivantes. Ayers rock n’est pas un rocher, c’est une amibe rocheuse. Apparemment, seuls les gros rochers vivent. Ils sont de plus en plus menaçants et avalent ce qui passe à leur portée. Puis ils deviennent des dinosaures très durs, comme s’ils étaient faits de roche. On fuit ces monstres et on se cache sur des rochers ou dans la végétation pour ne pas être mangé. Tout cela en réveille un encore plus gros que les autres. Il casse toute la jungle de bambou où on était caché. Ce monstre a l’allure d’un crapaud rouge brique foncée sans pattes. On grimpe dans des bambous fraîchement cassés et qui poussent en touffe. On mange l’intérieur qui n’est pas mauvais. Puis explosent quatre bombes atomiques, l’une après l’autre, aux quatre points cardinaux. Elles nous éblouissent mais ne cassent rien. Je retrouve F dans un bambou. On descend et on va voir là où ont explosé les bombes. On trouve des bâtiments de béton répartis chaotiquement et un objet sous plastique et de la taille d’une voiture. Quelqu’un nous dit que c’est la bombe. On s’en va et on arrive dans une gare avec des quantités de rails. Là, un homme essaie de passer sous des trains, ce qui amuse les conducteurs car ils freinent avant la mort du bonhomme. On passe en évitant les trains et on arrive en pleine jungle marécageuse. On survit comme on peut mais on s’ennuie. On s’approche de rails et un train passe. On le prend et il est rempli de gens, en majorité des femmes. Je regarde tout le monde et finit assis dans une espèce de demi coquille transparente dans un wagon couvert.