On termine un voyage spatial vers une planète habitée. De loin elle à l’air plus océanique que la Terre mais plus petite. En s’approchant, on rencontre un vaisseau du cru, de la même taille que le notre et ayant à peu près la même forme, c’est-à-dire une fenêtre dans un cockpit demi-cylindrique, surmontant une sphère contenant les pieds de l’appareil. On tourne autour de l’appareil pour trouver la fenêtre, on la trouve enfin et on voit l’ET. Sa peau est blanchâtre un peu rose et ressemble aux monstres drogués dans Akira sauf que les muscles et les veines ne sont pas saillants. Puis l’ET prisonnier d’une de nos salles s’échappe et casse une vitre. L’engin entame une trajectoire parabolique vers la planète mais la dépressurisation ne vient pas. Sur la planète, qui est paradisiaque, on trouve des êtres moins repoussants. J’y ai même une amie. On se balade sur la planète qui est bourrée de pièges, de plantes venimeuses, tentaculaires, à pointes empalantes dès qu’on marche dessus, de montagnes secouées par des géants. Ces pièges sont mortels et les habitants indigènes me répétaient sans arrêt le danger. On y trouve même des déesses grecques prêtes à semer le trouble entre des amis. J’en ai rencontré une qui essayait de me soustraire à mon amie et elle a à moitié réussi.