Au bord d’une rivière entourée d’une forêt, des maquisards forment une société secrète. Ils sont armés et un va et vient constant de personnes entoure un chef assez enveloppé. Le sol est gris clair, comme neigeux, et le reste malgré le piétinement des hommes. L’organisation gagne en puissance et en méchanceté. Le chef a une estrade et le camp s’urbanise. Cette organisation contrôle presque l’autorité (K) à laquelle elle s’opposait. On sent que le chef est par rapport à ses soldats comme le camp avec K. La rivière est une espèce de canal peu large, de la largeur d’une rivière. Puis arrive une femme qui se fait respecter car elle raconte un exploit à elle. On sent qu’elle veut se mesurer au chef. Son exploit, son acte d’entrée, est : un homme la menace avec un couteau ou deux. Elle les lui arrache et lui entaille un peu la gorge. Elle le fait se déshabiller puis aller dans la rivière (le canal), car cette action se passait avant l’organisation. Elle va dans l’eau, se déshabille et viole l’homme. En le violant, ils suivent le courant et entrent dans un tunnel, comme si le canal était une bouche d’égout ; le tunnel était en demi-cercle. En tant qu’observateur quasi immatériel, je vis quelquefois la terreur de l’homme se faisant violer par une femme devenant démone. L’homme éprouve bien plus de plaisir que d’habitude et cela lui laisse présager une fin horrible, peut-être déchiqueté par des griffes ou des dents ?