Je suis dans un killer avec douze amorces et mon fusil en plastique. Je tue un type d’une « balle » dans la tête et je vais suivre un cours d’une année précédente, au dernier rang où un type est assis et à une chaise de ce dernier, une main dans la poche. Je viens de faire un aller-retour de la salle de cours des troisième année. Je monte, d’une ville sur le flanc d’une montagne, à un gros ballon en l’air avec mon aile volante. J’apprends à des élèves le peu que je sais en résistance des matériaux et j’essaie d’imbriquer les trois parties du ballon. Je suis aidé car il est constitué à cet endroit de mosaïque facilement modelable. Je leur montre et je redescends en prenant garde avec mon aile de ne pas dépasser l’angle critique qui me ferait tomber sans planer. Je suis le mal qui se promène dans les égouts. Ils sont répugnants, rongés par le chaos. Certains sont couverts de substance vivant et déplaisante, d’autres ne le sont qu’à moitié. J’ai sous mes yeux tous les types de couloirs droits que je puisse imaginer. Pendant ce temps, des héros se font piquer l’une des leurs par des trolls. Ils entendent des cris et accourent. Ils tuent des trolls dans la forêt. Je sors par un trou dans le rocher et en forme d’amande. De là, des héros voient des trolls en dessous d’eux. Ils tuent ce qu’ils peuvent et se sacrifient. À la fin, un énorme monstre dépasse du haut de la crevasse où nous sommes. Il est en trois parties et je le tue. C’est fini et les règles nous donnent de super avantages. On peut passer pour plus qu’on est aux yeux des monstres. La liste est écrite dans le livre de règles, chaque classe de personnage a sa liste d’avantages.