On est deux à se promener dans un arbre énorme. On en sort par une porte puis on en fait le tour. On est happé par l’autre planète, les vents nous emportent et nous déposent dans une autre forêt, avec des arbres plus fins et plus serrés. On trouve un chemin dans la lande de fougères qu’on suit. On trouve un trions d’arbre coupé, après avoir hésité, on va voir ce qu’il y a dedans. Avant qu’on ait pu soulever le couvercle, deux ewoks nous sautent dessus et font l’amour à nos deux elfes. Ils restent collés puis nous amènent chez eux, dans des maisons dans les arbres. Nos deux humains ne sont pas rassurés. On est accueilli comme des sauveurs de la race femelle des ewoks, tout comme nous les elfes on est mâle et même si on aperçoit des visages et des corpulences mâles et femelles dans chaque race. Les ewoks sont maintenant des humains et nous expliquent que leur race est mourante. Les deux de tout à l’heure crient qu’ils ont notre semence, un peu comme par méchanceté. Un autre descend d’étage en étage en tuant tout le monde. Le chef ne veut pas même si on sentait une légère malveillance chez lui. Ce fou arrive chez nous et nous extermine tous avec son épée. Il est couvert de sang des pieds à la tête. J’ai sauvé une demoiselle des griffes de sorciers chevaliers. Ils nous cherchent près d’une rivière entourée d’arbres et de fourrés. On est mal caché, on fait un petit feu qu’on cache tant bien que mal et ils finissent par nous trouver. On est en haut d’une colline. en bas se trouve le meneur de jeu entouré de joueuses de grandeur nature. On crie « maître » avec sarcasmes mais M ne répond pas. On écoute Rubber soul des Beatles avec D. La boîte du CD est jaune et de conserve.