Je suis un petit garçon dans un château fort de vingt mètres × vingt mètres. Je me bats contre le chef ennemi, qui dirige un monastère sataniste. Je lui donne une épée et j’en prends une. On combat et je change d’arme fréquemment. J’essaie même une épée sans poignée, que je donne au roi ennemi. Il trouve l’autre moitié de l’arme et je réponds que je ne sais pas me battre contre ça, même avec une masse. Je fuis mais les portes épaisses d’un mètre se ferment. Tout le monde se met à me manger tout cru. C’est épouvantable. Non, je réussis à passer sous la porte mais je me fais écraser. Non, je passe et appelle mon père pour avoir un cheval. Il est loin mais m’en envoie un. Il s’ensuit une course poursuite complètement folle. Les ennemis m’envoient des boules de neige pour me faire tomber. Autour de moi, mais pairs fuient eux aussi dans le plus complet désordre. En haut d’une colline j’espère voir l’arrivée, mais non, ce ne sont qu’un ou deux hameaux dans la neige. On revient d’une campagne réussie dans la forêt de Mirkwood, le bois aux araignées. On revient de chez l’homme des bois. On est dans un champ et on a le choix entre deux ponts qui passent au dessus de l’Anduin. L’un a deux rebords et l’autre un seul mais deux fois plus haut. On choisit ce dernier, car plus près, et malgré une appréhension. On le traverse et l’un de nous se fait attaquer le pied par une bande d’insectes. Le pied n’y survit pas. En tant que médecin, mon personnage féminin sort des herbes pour guérir tout le monde. Ce sont les mélanges qui guérissent le mieux (les salades). On est maintenant dans une cave. La puissance maximum de mes herbes est de neuf et je me demande si ça va être assez. On était passé par un champ herbu pendant un crépuscule. L’Anduin était au fond d’une gorge crayeuse qu’on ne pouvait traverser qu’en passant par l’un des deux ponts. C’est A qui a le pied détruit.