On est trois ; on monte en voiture pour quitter une maison au milieu d’une pelouse et dans une forêt. On roule et je sors avec une amie. Le troisième est le conducteur, il ressemble à Frankenstein. On débouche d’un virage et on voit un campement de saltimbanques. On s’installe avec eux en leur proposant un nouveau manège (une roue). On s’intègre facilement. Les villageois veulent nous expulser manu militari. On n’est armé que d’arcs de pacotille et de couteaux dont les lames font cinq millimètres environ. On les fait hésiter en les traitant de lâches… Pendant ce temps, on essaie de trouver des idées : casser les arcs pour en faire des nunchakus ou armurer une personne et construire en même temps un système de communication. Je m’occupe du chef que je roue de coups où je peux (sur la tête…) et les villageois hésitent d’autant plus qu’on leur demande où leurs enfants vont s’amuser si on n’est pas là.