On est sur une planète jungle et on discute. On est une bande d’amis. J’ai un appareil constitué de facettes dont le milieu superpose les souvenirs de mon enfance à ce que je vois. Mon enfance signifie ma planète natale. Puis on vote le nouveau bureau des élèves. les non cotisants ne sont pas dans l’amphi, mais M y est. M à ma gauche écrit d’elle « M est trop naïve et « saillante » pour être au BDE. » Moi « Les mêmes que l’an dernier sauf bar et VP sponsor. » Il n’y a que très peu de réponses sérieuses et très peu d’inscrits. M est devant nous et se demande encore ce qu’on a pu faire. Puis on revient sur la planète jungle. Le chef de l’ancienne troupe écrit son livre et rentre au village. L’entretien des alentours du village diminue et tout est sinistre. Les maisons sont basses, rondes et en cloche. C’est la nuit donc la lumière est bleue-sinistre. Le retour au village est filmé et on s’attend à une catastrophe du style plus personne à son village. Puis le chef est vieux et seul. Il s’est mis sous une pierre et la laisse descendre. Il écrit pendant ce temps son journal et regarde quelquefois dans son objet à facettes et voit beaucoup de couleurs. Il se suicide car la planète est envahie par des pelleteuses qui font des routes et modernisent tout. On se rend compte que quelqu’un est là-dessous car des tiges mises sous la pierre sort un liquide jaune puis rouge. Le jaune est normal car c’est le liquide qu’on s’injecte. De petites grenouilles aux couleurs vives viennent regarder le liquide. Ce qu’écrit le vieillard est sombre, proche de la mort et désespéré. On le sauve et on lui explique l’histoire : le but de l’affaire est écologique et très étudié. Le vieux chef comprend et s’allie avec les constructeurs. Il habite une grande maison coloniale à un étage située près du lieu de son suicide raté (une route y passe près). Dans une salle de l’étage il parle avec une personne de la compagnie et une lance jaillit du couloir. Un indigène au ton très amazonien s’enfuit. L’ancien chef y reconnaît un de ses anciens amis, le rattrape et lui explique ce qui va se passer. Cela calme l’autre qui s’explique avec un accent petit nègre. Il sort de la maison et s’excuse. Il est abordé par un collaborateur du grand chef qui lui dit que les raisons qui l’ont motivé (la jalousie) ne sont pas très dignes. L’indigène comprend qu’il a été « corrompu » par le mauvais côté de la chose. La salle où était le grand chef était remplie de bazar en bois de couleur rouge-marron et peu éclairée.