Je suis dans les jardins d’un château, près de l’entrée et sous uns statue. J’essaie de dormir mais le temps se gâte et il pleut. Le propriétaire vient me voir avec une autre personne. Ils sont sympathiques mais je pars. Je suis un chemin qui a une forêt à sa droite. À un embranchement, j’y rencontre un homme-arbre qui est aussi un elfe. Il est très gentil et me fait visiter son habitation-arbres. Dans les souterrains de sa maison on trouve des serres, qu’on visite avec H. Puis les tunnels ressemblent à ceux de Fort D. H cherche une autre sortie en s’enfonçant sous terre. On y rencontre pas mal de gens. Puis on arrive à un cul de sac. On se rend compte qu’on n’est pas loi de l’enfer et il nous faut réussir une épreuve pour avancer d’une salle vers la sortie. Je suis dans une salle coupée en deux par une charpente en bois. Il y a un seul trou pour passer mais il est bouché par une toile d’araignée. J’en casse une moitié avec un bâton mais l’autre résiste. Je vois l’araignée qui n’est pas grosse mais paraît méchante. Je tape encore sur la toile et je finis par la casser. Je sors et retrouve mes amis dehors. Sauf H. On retourne la chercher puis on s’en va. On est dans un bateau et on a avec nous de la drogue et un papier prouvant qu’on en a. On cache celui-ci dans une boîte. Des policiers en barque arrivent et fouillent un peu le bateau. Ils prennent la boîte pour l’examiner. On est bien embêtés à cause du papier et ils disent qu’ils vont la ramener. C’est juste pour voir ce qu’il y a dedans. Quand ils reviendront, on aura tout caché dans la grande cale qui a une salle cachée. En remontant, on est dans un temple qui donne sur des jardins. J’ai une guitare que m’a prêtée A. É la démonte jusqu’au manche et s’en va. Je hurle et essaie de la réparer mais il a enlevé aussi les calottes sphériques qui vont sur le manche. Je ronchonne encore puis c’est une hécatombe dans le temple. Des gens meurent on ne sait pas pourquoi. Ce rêve me fait penser à deux rêves. L’un se passait d’abord dans un jardin public au milieu d’une ville. On en sort et on va voir un musée vide de gens. L’autre, j’étais accompagné de J M et de D. On montait une route surmontée à gauche d’un mur de pierres.