On est prisonnier dans une très grande cave éclairée et sous une ville. Une personne nous libère et on fuit, après un combat acharné, par une petite porte en bas d’un escalier. Elle amène sous un pont et on longe une route en restant hors de vue, c’est-à-dire en restant au bas du talus car la route est comme sur une digue. On évite les patrouilles qui nous cherchent mais je me fais voir par la police en moto qui vient nous voir. Les plus connus d’entre nous se cachent dans le fossé en soulevant un pan de champ. Ils sont mouillés mais les flics ne les voient pas. Ces flics sont des femmes et on est tous des hommes.