On est dans les glaces sur la banquise. Le temps est mauvais et notre igloo est petit. Nous sommes trois plus un chien. L’un de nous va partir à la base pour chercher de l’aide. Il emmène un petit micro-émetteur récepteur. Et il s’en va. La tempête se calme et on visite le coin. On n’est plus la banquise. On est dans une campagne verdoyante et formée de collines. En revenant, on reçoit un message de notre ami. C’est un SOS. On le retransmet à la base avec un appareil plus puissant que le sien. La banquise est souple, plate et violette. Soudain, on voit une gigantesque explosion derrière la montagne. On suppose que c’est la base et l’onde de choc ne nous a pas frappé contrairement à la banquise près de la berge. On se balade encore sur la banquise avec le chien. Elle est parfois striée de chemins parallèles et perpendiculaires aux autres. Puis on se rapproche de la berge et on voit des militaires recherchant quelque chose activement. On rampe, on s’approche et on se cache dans un lit superposé. Malheureusement, un soldat nous repère. Il pointe son fusil et tire. Non, je lui arrache le fusil et tire.