Je suis avec un copain dans une clairière. On lui a donné rendez-vous ici où un bon paquet de camions et de cars sur rails stationnent. Ce rendez-vous était un piège et les camions se mettent en route, tuant net le copain. J’y réchappe de justesse car je suis passé entre deux bolides et de peu. Je n’étais pas une cible sinon je serais morte. En fait, je cherche un moyen de m’échapper et je rencontre un mafioso qui rentre chez lui. Il me parle de ses affaires et j’acquiesce comme si j’étais du milieu. Il me dit même que s’il y avait un témoin gênant, il n’hésiterait pas à lui donner une visite à l’hôpital accompagnée d’une balle. Il ne sait même pas qui je suis. Puis on rentre chez lui et le long du trajet, je commets quelques gaffes comme être surprise de l’étroitesse de tunnels en comparant à des routes bretonnes. C’est une gaffe car ça suppose que je suis venue autrement et que je ne suis pas du coin. On a ensuite des relations amoureuses et on se prostitue. Lui en plus pratique la contrebande. Je lui cache toujours d’où je viens jusqu’au jour où je décide de le quitter en lui laissant un mot très triste et la moitié d’un paquet de fruits secs qu’il m’avait offert. Il y avait dedans des oranges séchées de la taille de raisins secs, des citrons pareils et autres. Le mot explique pourquoi je le quitte (il cache des boîtes en carton sous le toit par exemple) et m’excuse dix mille fois en pleurant disant que ne veut plus de ma vie de pute et que rien n’allait plus.