On suit un lac ressemblant à celui vu à la frontière Espagne Portugal [San Martin del Pëdroso ?] : même lac, même environs. On longe un côté assez longtemps, le temps de trouver des falaises puis de se rapprocher de l’eau. On poursuit ou on est poursuivi, on ne sait pas. Le terrain change et on est dans un grand hangar à paille. Le changement s’est fait progressivement. On sent que ce qui suit est proche. On descend d’un grand tas de paille et on continue. L’eau est sur notre droite, elle est proche et coule de devant nous. On approche de mur en amont du hangar et sur notre droite on voit l’ennemi : des petits serpents. On s’arme de planches bardées de pointes et on écrase les serpents avec sans se faire mordre. Ça marche tellement bien que F et H ont descendu un étage. En haut restent moi et L. La rivière est invisible là où on pensait la voir, on n’y voit que du gris. Je me balade dans un grand jardin public naturel. Je le trouve bien et pense aux copains qui sont dehors. J’en sors et pense au règlement du jardin. Ceux-ci changent tout le temps et les motos sont interdites à des heures extravagantes de même que l’entrée et d’autres choses. Le chemin de retour me gène car je suis en moto. Il faut rouler dans l’eau, faire le tour de barrières ou de planer sur l’eau quand il n’y a plus de chemin. Une fois sorti, je cherche les autres puis fais le chemin inverse, qui est très joli (bocage dans le brouillard, végétation dense et début de forêt). J’écoute Joy division dans une maison où il y a d’autres personnes. J’ai déjà rêvé de tas de paille. On y faisait des batailles de bottes entre deux camps, ou alors, celui qui allait le plus haut.