Je vole sur une mer pleine de petite îles en compagnie d’un bateau petit et contenant des amis. Les îles sont hautes ou sont en général des bâtiments inhabités, voire en ruines. Certaines sont blanches et belles, on dirait des constructions arabes avec des maisons à terrasses. La mer est belle et calme. J’arrive en vue d’une ville terrestre dont un immeuble m’intéresse. Il est haut et large. Je regarde d’abord le bas et je vois qu’il est très riche. Le rez de chaussée est rempli de tapis et d’or. Sur un lit, un couple riche est allongé. Je regarde la femme, moche comme un boudin blanc fripé, saturée de cellulite. Les étages au dessus sont moins riches mais bien bourgeois quand même. J’entre par une fenêtre dans un appartement et poursuis mon chemin à l’intérieur jusqu’au dernier étage où habitent les H. Entre temps, H, H et É qui étaient sur le bateau, me tendent un piège dans l’immeuble. J’arrive dans l’appartement des H en sachant déjà qu’on me prépare quelque chose. Cependant, ils sont sympa. S me montre sa chambre. Je trouve que ça tangue. Je sors et remarque effectivement que l’immeuble est souple et tangue avec le vent. Je suis sur mon lit en B120 avec un livre qui retrace, entre autres, l’évolution de la beauté chez les femmes. Ma bite sort de mon slip et je me débrouille pour qu’É, H et H ne la voient pas en la cachant avec le livre. Sur le livre, il y a des mochetés, une série de jambes superbes… une écluse avec des arbres… On joue à Légendes. C a un ennui avec un adversaire mais fait 1 puis 4.Le problème est réglé mais c’est temporaire. Je fuis vers un immeuble vieillot. Je vais jusqu’à une chambre pour ne pas qu’on me fasse transmettre une maladie. Ceux qui veulent transmettre la maladie ne sont pas loin et complotent entre eux. Je suis l’un des leurs et j’essaie de retrouver le type qui a fui pour faire transmettre la maladie aux charbonniers. Je mets une combinaison avec du charbon dessus pour les contaminer mais je le suis moi aussi. Je décide donc de contaminer tout le monde. Je sors par la fenêtre vers le balcon pour retrouver le fuyard. De là, j’utilise le fil à linge qui traverse le jardin du quatrième ou du troisième étage où je suis. Je ne trouve rien. Je saute dans le jardin, ne trouve rien, veux voir dans la rue en passant par le toit mais j’ai le vertige et retourne au jardin. Je calcule mon coup pour atterrir sur une table gonflable où le verre posé dessus ne devrait pas bouger. Pas de bol, il se renverse et son contenu aussi. Il arrive à l’envers. Je le fais remarquer avec le sourire de quelqu’un qui essaie de faire pardonner une connerie. De toutes façons, il n’est pas cassé.