Je suis dans un jardin en pente. Des bâtiments avec des murs moulés, des prises et des gens sont sur ma gauche. Des gens suivent des traces que j’ai fait plus tôt, j’en efface une devant moi et ne semblent même pas voir que je leur passe sous le nez. Je suis encore dans un jardin d’hôpital, avec des collègues de classe. On suit un cours puis on se promène dans ce jardin rempli de grands arbres. Je suis dans un monde onirique. Je suis avec une belle dame en haut d’un endroit couvert avec vue plongeante de cent mètres au moins sur la mer, un port et une ville. En face, je vois une autre montagne. Je vole avec cette cheffe parmi des objets qui changent de forme. On revient au bercail et elle me propose de l’enculer. Je m’exécute mais on n’avance pas beaucoup, on n’est pas dans une position pratique pour finir vite. Parfois, elle se met à s’exciter alors que ma bite est sortie, je me dépêche de la calmer pour remettre ma bite dans son cul. Avec É je rentre de vélo de M. Il fait nuit et j’ai un autre vélo pourri. On m’a volé mon rouge et blanc. Les phares marchent à peu près. À La T, des flics nous arrêtent et mettent un procès verbal de 50 F à € car sur sa roue il y a un emplacement pour des fils en plastique et ils ne sont pas tous là. Je meur explique que c’est con et que mon vélo aussi a des ennuis, mais ils s’en foutent. Pendant le trajet, ma lampe de devant éclairait vraiment bien mais pas celle de l’arrière, contrairement à É, donc je me mets devant. En réglant sa position, j’éclaire la route à droite et à gauche.