Je suis dans un champ avec plein de chats blancs à fourrure. Ils sont rares et certains s’endetteraient pour en avoir. On est plusieurs à en ramener. Dans un autre champ, d’autres chats ont mal réagi à un de mes actes et m’en veulent. Ils me poursuivent jusque dans un musée dans une maison médiévale retapée. Je leur échappe à peu près. On suit une réception dans un château avec tous les membres influents de l’ONU. Ils sont habillés richement. On sert et on est sur la sortie du château-fort blanc. L’entrée est un pont de bois avec, à un endroit, une pédale. J’appuie dessus et un autre pont apparaît à ma droite, moi qui suis dos au château. L’autre voit ses traverses prendre des hauteurs aléatoires et une autre partie se mettre à se balancer avec une rambarde qui n’existait pas avant. L’un de nous a perdu son épée dans le coup et m’en veux à mort. Je me jette dans la neige à ma droite, là où était la rivière, pour échapper aux boules de fléau qu’il me lance. L’une d’elles me touche aux fesses mais les autres m’évitent, maladroit comme il est. On est en route vers la mer, C, moi, des copains et copines, la famille et A B. On rencontre d’autres personnes qui vont aussi à la mer et ne savent pas où c’est : « Là-bas derrière la colline. » On s’arrête près d’un marais qui arrive à une rivière. Je glande sur le marais pendant que d’autres construisent un barrage. Je viens les voir quand il est fini et me fais engueuler car j’ai fainéanté. Je regarde leur barrage et critique la construction à un endroit : le bois est coupé bizarrement. Ce n’est pas eux qui l’ont fait, ils ont repris le travail d’un autre.