Je suis dans la forêt, et je vole. Ma famille ne le sait pas encore. Je disparais de temps en temps et elle se pose des questions. Puis je lui montre que je vole. Ils sont tous impressionnés. Ils construisent une grande cage pour empêcher C de passer, car lui aussi, vole. Cette cage ne me dérange pas et couperait C s’il cherchait à passer. Je me promène sur un chemin entre deux villes médiévales. Il est peu sûr et on doit le nettoyer. À un double virage, des bandits nous attaquent. On les élimine et on rejoint l’autre ville. On est acclamé par la foule qui prépare une fête et va élargir ce chemin pour en faire une route. On en a une vue de dessus jaune et orange moussue pour nous représenter les bandits ou la ville. M est revenue. On se caresse longuement et on fait l’amour. On a quelques problèmes de slip, je l’embrasse partout et la lèche en même temps. Je l’embrasse et elle m’enfonce sa langue dans ma bouche. Je trouve ça amusant. À un moment, je lui touche le sexe avec la main et elle jouit. On a fait l’amour sur un canapé, puis s’endort. Je m’en vais. É, F, P et M me demandent où elle est : « Elle dort. », ils me sourient malicieusement. On va au bord d’un canal en voiture en ville peut-être pour l’y retrouver, mais elle n’est pas là. On sort en voiture d’une porte de propriété provençale. Il fait beau. Je suis aux Arts et métiers et on me demande de laver une nouvelle chambre : c’est la rentrée. J’entre et elle est pleine de sang à demi caillé. Une petite fille de douze ans vient et me dit que c’en n’est pas. Elle a un drôle de bras flétri, gris et avec trois doigts et un pouce, l’auriculaire manquant. Je vais demander à une autre personne ce qu’elle en pense, elle trouve que c’est du sang. La fille est partie. Je pars à sa recherche dans la barre qu’est ce bâtiment. Je la trouve car elle aussi me cherchait. C’est une rousse très mignonne. Elle me montre son bras gauche flétri. Celui-ci essaie de m’agripper. Il a sa volonté me dit-elle. Elle me montre le chemin jusqu’à sa chambre : aller au bloc D et c’est là. Il faut prendre pas mal d’escaliers datant du siècle dernier pour y arriver. On m’en fait voir de toutes les couleurs car je suis un bizuth. Puis je me retrouve avec le bras gauche flétri. Il a changé de porteur. À l’A je dévaste tout de couloir à l’appentis. Je reviens dans ma chambre et espère ne pas me faire tuer par ce bras. Je reçois un coup de téléphone d’elle et m’appelle par son surnom. Elle me dit qu’elle m'aime deux fois, j’essaie de lui répondre mais elle a raccroché. Elle part sûrement. Je veux la voir et lui dire aussi avant. Je descends et cherche où elle est. J’entre dans les bureaux en train d’être lavés et je me fais éjecter parce que j’ai des bottes, elles sont neuves que je leur dis. De toutes façons ce n’est pas là. Je vais à la cafétéria au rez-de-chaussée et il est plein de monde. Je prends l’escalier au milieu. Le colimaçon est archi plein et je me fraie un chemin, comme tout le monde. Je n’arrive pas à retrouver le bloc D. On parle dans un marais avec F et É. On pense qu’il est comme ceux de Jurassic park. Il est vert marron boueux et moussu. On joue au ping pong dans la salle de sports de l’école. Je joue seul contre deux. Je me débrouille pas mal mais mes effets rétro sont un peu ratés. Puis, il faut nettoyer la salle. Je commence à l’éponge sur le parquet. Une fille prépare de l’acide dans une cocotte minute. Je la vide sur le parquet et un peu sur moi (elle l’a préparé dans une petite cuisine dans la salle). Ça chauffe dur et l’acide va bousiller la cire. On le verra au prochain lavage.