On est une armée de fortune. On a récupéré mon vieux sac blanc pour nous faire des armures. Les poignées servent de bracelets de force et le corps du sac sert d’armure, trop serrée à la base d’ailleurs. On est dans un marécage infesté de spectres se cachant dans les fondrières et dans l’eau en général. Au bout du marais, on trouve des marches qui emmènent à des rideaux. On s’approche prudemment, on s’attend à une manifestation quelconque et rien ne se passe. Les marches sont typiques des films de fantasy chez le méchant. On redescend et on attend l’attaque d’une autre armée. On se fait à moitié écraser et on fuit en retraversant la clôture. En haut des collines je vois les âmes de nos morts s’amuser et je vais les rejoindre. Je saute de bosse en bosse sur l’étang et arrive sur l’herbe. Malheureusement je suis pieds nus et je saute parfois sur des orties, même si je saute haut et bien et que je peux me diriger dans l’air. Des varans se baladent dans le coin et j’évite de leur marcher dessus ainsi que sur leurs petits. Ils me font peur. J’essaie d’arriver au pied des falaises mais ne peux pas car je ne peux pas traverser les ronces qui me barrent le passage.