On est enfermé dans un camp de concentration. Je sais que c’en est un même s’il n’en a pas l’air. Les gens sont maigres. On réussit à fuir et évidemment, les gardes sont à nos trousses. On est sur un chemin forestier et on sent que les gardes ne sont pas loin. Je quitte le sentier et me cache dans la forêt. Le chemin longeait un lac très long. Je suis entre les deux. Les gardent passent pas loin et je m’enfouis sous des feuilles. Des gens passent sur moi et à côté de moi sans me voir. Ils s’en vont, sauvé ! Le camp était dans un bocage très boisé. Il n’avait pas vraiment de barrières mais on pouvait y trouver pas mal de miradors.