Je suis Lino Ventura qui veut échapper à la police. Il profite de la course de Monaco pour rouler et se faire passer pour un coureur normal. Je finis par y arriver et par me sauver en camion au nez et à la barbe des flics. Le camion m’attendait sous un pont. On est une bande de sympathiques beatniks vivant dans la jungle montagnarde. Notre abri est à ciel ouvert et on y cache du shit. Des flics viennent nous chercher et on fuit. On se retrouve dans des toboggans en terre avec de la paille pour glisser et poursuivis par des hommes lézard. On essaie de ruser pour les éviter en changeant brusquement de direction, mais ils sont nombreux. On s’enfonce progressivement sous terre avec É, puis on débouche sur une salle taille géant. Les lézards ne sont plus là. En revanche, É se fait attraper par la langue d’un homme caméléon géant. Pendant que ce dernier dort par terre dans sa chambre sous un toit et à moitié éclairée, j’en profite pour sortir de ma cachette et pour l’étriper pour retrouver É. Je n’y trouve que des sardines. Il me dit que je ne trouverai pas É. Il me donne une clé prise dans un trou du mur/toit. J’ai deux trous et je vois sous moi une fente en carré. Je tourne la clé dans le trou le plus près. La trappe s’ouvre et je ne tombe pas car j’ai fait un écart. Je lui dis que je ne suis pas si con. Il a retrouvé une taille humaine et je plonge dans le trou où j’ai vu la mer. J’arrive à D, dans le port. Je suis nu à part un collier de pin’s. Je n’ai pas un rond pour téléphoner. Je quête le long de la route qui va à S M par la côté. Je demande à un flic mais il ne veut rien donner. Un petit marché aux bibelots est organisé plus loin. Je demande de l’argent à une marchande de pin’s. Elle sourit et me donne deux pin’s d’une boîte. Je m’en vais en la remerciant. C’est l’hiver et la nuit va tomber.