Rêve x+194 J’assiste à une conférence sur de l’épistémologie de la physique, ou de la physique. Plus tard, dans un bar pas loin, un type m’insulte (« Pédé. ») Cela m’emmène dans un autre bar encore plus mal famé, à l’accès difficile, compliqué. Un de ses accès est un tunnel qui s’enfonce dans les sous-sols de la ville (Paris ou Rennes). Dans ce second bar, on m’insulte encore de la même manière, le type a des comparses dans le bar, bien plus que dans le bar précédent : à croire que tout le monde est complice. Je suis forcé de fuir, d’abord par les entrées usuelles puis dans le tunnel, et devine un moyen de me sacrifier (à Cthulhu ?) Je remonte en courant, la police n’est pas loin. Un tuyau courant le long du tunnel dégouline de sang. À la surface qui commence à se remplir de militaires, le tentateur insultant recommence son manège. Je hurle à la tentative de meurtre, ce qui attire immédiatement la police. Le type se fait embarquer, la police et l’armée descendent dans le tunnel. Le tuyau ne dégouline plus. J’ai la nette impression qu’ils vont faire chou blanc. Je retourne à la conférence en suivant un couple d’asiatiques dans le dédale de la zone commerciale pleine d’immeubles. Rêve x+195 Je suis journaliste dans les montagnes où des gens se révoltent contre une junte. Ils en prennent plein la gueule. L’un d’eux tire sur une voiture officielle, l’arrête et tue ses occupants et essaie d’enflammer le carburant qui fait une grosse mare, sans succès. Il se fait tuer. Les militaires sont proches et les gens du peuple sortent de partout, ils fuient dans les champs (de blé) à pied avec les enfants et rien d’autre. Rêve x+196 Je suis sur un bord de mer ensoleillé rempli de maison empilées. Je fuis des méchants. J’essaie de remonter sur la terre ferme mais la falaise résiste. Plus tard, je participe à la victoire contre ces méchants sur un autre bord de mer, on les renvoie à la mer. Un des combats se passe sous terre, on essaie d’utiliser des monte-charges pour remonter à la surface. L’un d’eux nous échappe, et je suis le seul à utiliser le deuxième. Mes camarades sont alors à leur merci. Après la victoire, je suis à la mer en train d’essayer de revenir sur terre, ce que m’empêche de faire des barrières en contre-plaqué. Je trouve un abri sous une plaque moulée, mon frère s’assoit dessus et je l’envoie bouler vers le mer. Rêve x+197 Je cherche quelque chose, que cherchent aussi trois ou quatre méchants habillés en jaune luisant. Ils m’ont chopé dans un coin, et lors de la discussion, des hommes-baudruches les mordent, ce qui les transforment en hommes-baudruches. J’en fais éclater quelques-uns avec un crayon et je retourne chercher le quelque chose, en traversant une plaine, en direction de petites montagnes. Rêve x+198 J’habite dans une petite ferme à la campagne, pas loin de la mer. Nous faisons pousser du riz. On entend au loin un immense vrombissement. On a la trouille, ça peut être un nuage d’abeilles, les Celtes (on les devine au loin) ou un nuage d’oiseaux. Une femme passe à cheval en dépendant par terre derrière elle, un mélange de riz et d’amandes décortiquées. On se planque et on attend. Le nuage d’oiseaux passe, il n’est pas si dévastateur que prévu. En fait, ce sont de petits oiseaux rougeâtres, il picorent un peu. Rêve x+199 Je suis professeur dans un bahut pourri, et je fais cours dans un amphithéâtre avec un très haut plafond. Les élèves râlent et la moitié de la classe se barre. Deux hommes entrent dans la salle. Je demande aux présents de faire passer un papier pour savoir qui est là. Je rassemble mes affaires pour reprendre le cours. Les deux hommes se lèvent, viennent me voir, disent que je dois continuer et que tout va bien (tiens, deux inspecteurs). Un autre homme vient me voir en me disant qu’il est un peu la cause de tout ce bordel, parce que j’avais niqué sa bagnole avec la mienne en roulant sur de la glace. Rêve x+200 Je traverse une ville pour faire profiter une cathédrale gothique en construction de mes compétences en menuiserie. Je commence par quelques parquets, et devant ma maîtrise, ils me laissent tout finir. Par exemple, je réalise des coins de piliers en creux avec parquets superposés descendants (oui, avec un sol horizontal par paliers, comme dans Doom). Le sol de la cathédrale est recouvert de parquet de super qualité par mes soins. Une fois le travail terminé, je redescends à pied, prends le premier métro, quitte à la première station (un peu au hasard, mais mon sens de l’orientation pifométrique ne m’a pas encore trompé). Cette station est dans les égouts, ou du moins, c’est tout aussi crasseux : la station donne sur l’extérieur parce que la ligne de chemin de fer entre sous terre juste avant la station qui n’est presque pas éclairée, le quai est exigu (à peine de quoi tenir debout de travers entre la rame et le mur), d’ailleurs le quai est au niveau des rails, sous les rails on devine de la flotte verdâtre, et la sortie pour les piétons ressemble à une sortie de garage raide et crantée (sans marche, donc). De retour à la surface, je suis le chemin inverse et rencontre un militaire. Il me conseille quelques outils coupants pour protéger mes mains (si je fais des rencontres désagréables). Ces outils sont censés se coller tous seuls, mais le temps qu’il me les montre, ceux-ci viennent s’enficher dans l’autre sens dans mes mains et mes doigts. Ça fait drôle de voir ses mains recouvertes, enfin transpercées à ce point. On passe un temps fou à les enlever pour les remettre dans le bon sens (la partie coupante au-dessus). Rêve x+201 Je fais de l’escalade sur des cailloux difficiles dans un site déjà visité (en rêve), en particulier sur des blocs déversants. Plus loin se trouve un barrage infesté de zombis et de liquide vert comme de l’acide. Je participe au massacre à coup de fusil à pompe. Les zombis reviennent, je traverse le barrage pour les tirer de loin, surtout ceux qui sont sur le toit. Je dois esquiver leurs balles (eux aussi savent tirer). Rêve x+202 Je bois un coup avec mes parents dans un troquet dans le nord de l’Allemagne. Dans le fond, Alexi Laiho et un copain à moi sont en train de cuver, avec un mal de crâne évident. Ils ont l’air seuls, comme si le reste de la bande s’était tiré. On les ramène en bagnole en Finlande, chez les parents d’Alexi Laiho. C’est chouette, la Finlande : le paysage est forestier puis change pour de la lande fleurie et colorée. On se gare derrière la maison en bois dans un lotissement, en les attendant. Rêve x+203 Je suis dans la maison toute bizarre de ma tante américaine. La douche est perchée dans une petite cabane dans la maison. Les pièces sont grandes, sous les toits (il n’y a pas d’étage). Rêve x+204 Mon bahut est soudain classé ZEP. Un de mes collègues à l’agrégation manque de tomber suite à un méchant coup de vent. Le professeur grincheux retient une antenne. Je suis dans une salle pleine de gens blessés ou morts. Mon pistolet est enrayé, celui d’un copain marche mais n’a plus de munition. Il m’en pique pour tirer sur les encagoulés de Half Life 2. Je fuis, esquive des robots et d’autres encagoulés du même jeu. Rêve x+205 Je me suis fait prendre par une mafia qui va organiser un double attentat contre une banque. On me donne une calculatrice avec un compteur horaire qui diminue (que je nique sans faire exprès) et une oreillette reliée à un quart de tonneau pour communiquer avec mon homologue (même calculette, même oreillette). J’ai vachement envie de me tirer. On va s’installer en bande sur la plage près de la banque, au milieu de la foule, quelques heures avant. Rêve x+206 Je suis à la campagne chez les parents d’une vieille copine. Je vais dans un champ avec elle, on s’allonge par terre dans l’herbe. Je finis de manger un bout de pain, et elle termine son sandwich au pâté. Je l’embrasse mais profite du pâté. Je crache les petits bouts. Rêve x+207 C’est le début de l’année et j’accueille une classe que j’avais de cette année. La présentation commence, et après quelques minutes, quelques racailles/poneys/boulets se lèvent en entraînant la classe dehors. Tous les élèves se sont barrés de toutes les classes. Et c’est le bordel. Rêve x+208 Je suis dans une maison dévastée par les zombis. Des corps déchiquetés traînent partout, quelques collègues sont zombifiés mais cela ne se voit pas trop : ils sont plus lents, veulent bouffer des cerveaux (braaaiiins) mais ne sont pas trop détruits physiquement. Une inondation de quelques mètres arrive, elle recouvre les maisons et toute la campagne. Je vais voir ailleurs. Je suis un homme surpuissant comme mon frère, je vole, je peux déplacer des objets à distance, en détruire d’autres. L’armée me cherche pour utiliser mes pouvoirs. Je fuis dans un complexe militaire désaffecté et souterrain au bord de la mer, à l’aide d’une femme, de quelques résistants et de mes pouvoirs (pratiques pour savoir où ils sont). Je finis par faire comprendre à l’armée qu’ils me fichent la paix. Rêve x+209 J’emmène des gens à Strasbourg sur un pont fait d’un rondin de bois. Il est juste assez large pour deux. On arrive à une maison dans un lotissement. Une des salles contient un livre en bois dont une des page dessine en bas-relief un dieu de la guerre avec une demi-douzaine d’attributs guerriers. Ces attributs manquent, le dieu attend que quelqu’un vienne les poser sur un endroit poli. Une femme vient foutre la merde dehors et bute un voisin. Je sens que le dieu est derrière cette zizanie. Je fuis en voiture, une autre femme veut partir avec moi, je la supplie de fuir de son côté, car je sens que notre fuite ensemble va exciter le dieu. Rêve x+210 Je suis sur une île volante (avec des arbres au loin), en train de dézinguer une tripotée de monstres copiant ceux de Serious Sam (kamikaze, squelette, taureau-garou…) avec le minigun. Puis l’île devient une mini planète, ou alors je saute sur une mini planète pas loin, remplie de tentacules violets. Les monstres n’arrivent pas à m’atteindre mais je dois me débarrasser des tentacules. Rêve x+211 Je descends une route avec un copain, dans ma grosse bagnole de pauvre. La route descend en tournicotant vers le bas de la ville, au bord de la mer (un peu comme Rio mais moins grand et plus européen). Je la gare près d’un centre commercial tout laid. On termine à pied, mais quand on veut la retrouver pour partir, je ne sais plus où elle est. On marche sur une route en arc de cercle qui monte pour rejoindre le centre commercial. Des tours nous entourent, je ne trouve toujours pas la voiture. Rêve x+212 Je visite une « ville » égyptienne, ce n’est pas vraiment une ville puisque personne n’y a habité, ce n’est pas fait pour, de plus c’est une reconstruction faites par le groupe Nile. L’ensemble est très grand, impressionnant et pas fait pour un humain : les marches sont très souvent hautes, les endroits pas toujours accessibles. Une place centrale assez basse amène, par un escalier montant au Nord, vers une autre place au niveau du sol. Celle-ci a une pyramide et des colonnades. L’Est mène à des souterrains plus sombres. Un escalier au Sud plus petit, mène à des salles plus petites, comme un bazar contenant des gadgets mais aussi des livres et des habits. Tout semble gratuit et libre. De petits couloirs secrets se rejoignent. L’ensemble laisse croire à un manque d’entretien. Je visite Pragues en hiver avec des amis de circonstance. La ville est couverte de neige. On remonte des rues en jouant avec la neige. On se lance des boules de neige, on joue avec des passants et meurs enfants. On débouche sur une place. Un bus fonce sans se préoccuper des passants : je lui envoie une boule bien placée. Il tourne comme pour essayer de m’écraser, puis continue sa route. On remonte encore la place pour arriver en haut dans un petit appentis accolé à une maison, qui héberge une colonie de chats et des étudiants. Je connais ce lieu, je l’ai déjà vu en rêve. Un des chats s’en va derrière dans la campagne, un autre très poilu vient réclamer des caresses mais râle assez vite (comme si j’allais lui piquer ses poils). Rêve x+213 Je suis Gordon Freeman en train de faire de l’hovercraft sur l’eau. Je rejoins des camarades sur le bord de la mer. On passe un bunker, la falaise est un peu plus loin. On doit passer dans un tunnel formé au-dessus par un fourré tassé, taillé en pavé et touffu, et à droite par une longue grille (qu’on pourrait faire tomber). Comme je marche pieds nus, je fais attention aux ronces sur le sol. Arrivé au bout, on voit la mer mais on est une vingtaine de mètres au-dessus. On voit une petite crique, donnant sur une grande baie avec un cap à notre gauche. On voit des ennemis en bas à droite dans la petite crique, les pieds dans l’eau et au loin, un canon ennemi. Quelques camarades nagent une trentaine de mètres devant nous. Le canon tire et touche les camarades nageant, puis dans l’eau, puis les ennemis de la crique. Les dégâts sont faibles mais les gens touchés se grattent. Je fuit en passant par le haut du fourré, qui forme une ruelle bétonnée. Des ennemis présents étaient en train de tirer au fusil à eau, ils me laissent passer. Rêve x+214 L’un de nous tue un troll de Glorantha à l’arc, nous sommes en haut d’une montagne. On se cache dans des ruines mais on doit courir dans les prairies, en descendant, vers une forêt elfe, qu’on ne peut pas traverser car trop dense dès les premiers arbres, jeunes et fins par ailleurs. Ils nous rattrapent. On discute sans animosité. Je descends une montagne déjà descendue en rêve, avec des amis. Rêve x+215 On est dans un grand temple carré à colonnes. Eu milieu se trouve un escalier circulaire carrelé de grande taille qui descend sous terre. On hésite à descendre, craignant un vampire. S’il est sous forme de nuage, je propose de le disperser avec un sort de vent. Je descends seul et arrive en bas en dix tours, chacun descend d’environ dix mètres. En bas, l’escalier arrive dans un cul-de-sac, brutalement sur un sol horizontal. Je soupçonne un passage secret avec derrière l’immense salle du vampire. É et moi on est dans une chambre double de cité universitaire. Il a maltraité certains de mes derniers CD achetés. Je lui montre er je râle. L’un d’eux est fondu-plié et taché. Une trace de fondu a coulé de son sac sur mes affaires et à travers elles. Rêve x+216 Je monte dans la voiture d’un couple d’amis dans la place d’une ville méridionale. La voiture se faufile entre une colonne et des habits en vente puis file à vive allure dans les rues, beaucoup trop vite, dans des rues souvent très étroites. Un enfant qui sort est écrasé s’il ne fait pas attention. Arrivés dans une autre place, je les gratifie d’un « Au revoir, bande de cons. », ce qui énerve l’homme. Il veut me taper, j’esquive en suivant un défilé, espérant trouver des gendarmes. Ma voix est enrouée. Rêve x+217 Je me promène au bord de la mer sur une construction loufoque. Pour le moment, je marche dans le sable et dans la vase, pour rejoindre C et G, en montant une petite falaise. Je rejoins des chemins et des escaliers, puis des bâtiments. Les rochers sont reliés par des allées couvertes et par des bâtiments aériens. Je fais un aller et retour en haut d’un escalier vers une corniche, l’escalier se trouve être piégé : les marches tournent, des gens passent au travers et se retrouvent allongés sur le sol en dessous. Je préviens les gens restés en bas du danger, quelle que soit la porte d’accès. En face, un enfant a grimpé sur le toit d’un clocheton protégeant une allée aérienne, glisse et s’écrase sur l’eau quinze mètres plus bas. Mon portable sonne, je suis appelé à l’Élysée. Je prends mon temps, visite un couloir richement décoré, monte dans un hélicoptère et visite les constructions. Elles ont été primées et construites inspirées par les contraintes des Papous dans la tête. Certaines parties sont mobiles, comme des engrenages. Rêve x+218 Je suis au bord de la mer, on va dans la mer, parfois assez loin, et sous l’eau, très claire. On est dans une grotte avec en guerre avec des trolls de Glorantha. Je tombe dans un trou piégé et ne peux pas en sortir. Je suis englouti. Je sors du trou. Rêve x+219 Je participe à un jeu collectif sur des tunnels et des tuyaux faisant couler de l’eau. Le jeu est très violent et en même temps, il utilise la vacuité de nos vies privées pour éliminer les joueurs. Je retarde autant que possible mon élimination. Rêve x+220 Je suis dans un château, en fait on est en train d’essayer de le prendre mais la résistance est grande. De plus on est peu. Les défenseurs nous envoient des boules de neige, dont quelques unes de la hauteur d’un homme. L’une d’elle tombe dans la place après le l’entrée principale et arrose tout. D’autres roulent venant de plus haut, je crains des dégâts vu leur taille. En fait, elles s’écrasent plus qu’elles écrasent. On cherche plutôt à entrer discrètement dans l’église en y entrant par le chœur. Rêve x+221 Je suis des rues perpendiculaires qui zigzaguent. Je rejoins un bâtiment de télé. Des gens sont assis sur des chaises et attendent qu’on vienne les chercher pour participer à une émission de Dechavanne. Je me tâte pour y aller. Finalement, comme je ne suis pas habillé correctement pour participer, je parcours les rues en sens inverse. Je rencontre une émeute, des policiers, des racailles. Quelques racailles qui ont à la main de petites tronçonneuses (à peine plus grosse qu’un gros couteau) prennent pour cible mon vélo. Celui qui a la plus grosse tronçonneuse découpe la roue avant. Je les suis pour les tuer discrètement, en leur faisant croire que je suis des leurs. On fuit la police, on arrive le long d’une falaise au bord de la mer. Je pousse discrètement l’un d’eux dans le vide. Il en reste deux, qui remontent dans le village au-dessus. Rêve x+222 Je monte dans un avion qui part pour une expédition. L’avion est énorme, il a des tuyères et même un cockpit sous le bout des ailes, mais pas de passage pour rejoindre le corps de l’avion. Le pilote conduit comme comme s’il conduisait un petit avion, et l’avion se montre étonnamment maniable. Le temps est exécrable, presque une tempête, on passe en rase-mottes, on touche les arbres, on frôle des maisons, on suis même des chemins forestiers au ras du sol et donc entre les arbres. Je suis dans le cockpit de l’aile tribord, je râle et fais des signes aux autres parce que je n’ai pas envie que ma cabine soit arrachée. On monte vers le Nord sous les nuages et vers quelques carrés de beau temps. On finit par arriver au but, à savoir une forêt ancienne. On traverse aussi des ruines. Le but est le repère d’un Grand Ancien et de ses minions. Je porte le Signe des Anciens qui éloigne les minions, calme le Grand Ancien pour le renvoyer dans son repère. Rêve x+223 Il fait grand beau, je grille au Soleil à l’A. H grille aussi. Elle me fait une remarque sur mon dos qui pèle (comme le sien, semble-t-il), c’est une espèce de maladie. Je suis maintenant dans la cuisine. Rêve x+224 Je suis dans la belle propriété du XIXe siècle d’un ami. Elle est entourée d’arbres dans un terrain clos, dans le style de bord de mer d’avant guerre. Ma voiture est garée à côté. Des gens ont volé et vandalisé certaines voitures garées aux alentours. Je cherche la mienne, je fais le tour de la propriété, sans succès. Certaines voitures sont fracturées, d’autres sont enfoncées comme si un poing géant s’était abattu dessus. Rêve x+225 Je suis dans un bateau, qui devient vite une villa de bord de mer de la Belle époque. Je suis dans la salle, Big daddy à foreuse rôde. Je prends par un escalier pour me cacher. Je sors de la villa pour rejoindre l’esplanade entre la maison et la mer. Je marche avec précautions sur la corniche autour de la maison. Big daddy se rapproche encore. J’ai caché des affaires volées sur une colline plus loin, que je rejoins. En fait, la colline est une ville éclairée la nuit. Rêve x+226 Je quitte le manoir de mes grand-parents, en très mauvais état et déjà visité en rêve, pour la maison basse de mes parents, en tout aussi mauvais état, au point que des gendarmes l’occupent pour empêcher qu’on l’occupe. On se cache dans la maison malgré tout, mais qu’on finit par quitter. Un chat joue avec une souris ou un rat. On s’en va par le Sud, à travers la longue cour qui est la profonde soue aux cochons (mais sans cochon), ce qui nous recouvre de merde et de boue. On n’était déjà pas très propre. On squatte une chapelle plus au Sud dans le village. Il pleut. Rêve x+227 J’habite à Rennes à Beaulieu dans un appartement sur trois étages dans un vieil immeuble vide. En fait, j’occupe plusieurs appartements les uns sur les autres. La cage d’escalier tombe en ruines, à tel point qu’il faut sauter pour franchir un pan d’escalier effondré, et qu’il n’y a pas de rambarde. Le reste est en mauvais état mais je suis tranquille, seul. Je fais visiter à F. Dehors, je suis sur une esplanade neuve. Je dois aller un peu plus haut, une voiture m’emmène de l’autre côté de la ville, à Villejean, le conducteur s’excuse. L’ancienne rocade Nord a été refaite. Rêve x+228 Je suis dans une ville ressemblant au Sud de la carte Vésuve de RtCW:ET. Des gens bizarres traînent, je les cherche. Rêve x+229 Je suis un gros balaise qui protège un château style XIXe siècle anglais, entouré d’une muraille. J’essaie d’empêcher des gens extérieurs d’entrer. Les autres personne du château s’en fichent, occupées par la vie oisive. Je tourne dans les jardins et sur les corniches pour surveiller. Je suis sûr que certains sont entrés, j’entre dans le château par une haute porte en haut d’un escalier pour essayer de protéger ce qu’il reste, grommelant et pestant contre les autres incapables. Rêve x+230 Je suis dans un égout avec du liquide vert comme dans Doom. On circule dans les tunnels et les salles sombres. Des murs dégoulinent des filets et des ruisseaux de liquide. Je suis dans un collège Pailleron, tout moche. Je suis envoyé dans une petite salle, juste après une salle assez grande pour contenir une demi-douzaine d’élèves. La mienne voit mes trente élèves entassés là, dans un simulacre d’hémicycle. Un inspecteur attend, il n’était pas prévu. Les élèvent foutent le bordel (bavardent et travaillent peu), je gère la classe comme un pied. Rêve x+231 Je vole un document important dans le camp d’en face, et traverse le terrain qui est une ville en ruines. La maison dans laquelle on fuit est sur roulettes, on s’en sert. J’observe un chaton à qui il manque toute la partie inférieure du corps : seuls la tête, le haut du torse et les pattes avant subsistent. Il rampe mais ne semble pas remarquer le problème. Une souris mange du fromage et se cache dans un trou du mur. Nous sommes dans une maison sans porte, les pièces et les murs sont vides. Rêve x+232 Je tue, dans un champ en gradins, des effigies en forme de pierre tombale de Seth. Il en reste une demi-douzaine, menaçantes, que je fuis en quittant ce monde par une porte dimensionnelle entre deux pierres. Rêve x+233 Je suis dans une salle de sciences physiques pleine d'élèves. C'est un peu le bordel, un gros brouhaha. Je regarde des grimpeurs sur un très grand mur d'escalade artificielle le long d'un long bâtiment d'une université. Le mur a des parties franchement déversantes, d'autres en arête, d'autres en toit. Il est réellement impressionnant. Rêve x+234 Je suis dans un vaisseau spatial avec des camarades militaires à la chasse aux xénomorphes. On est caché dans une grande salle pleine de caisse et de containers. Des chats nous aident. Je fais de l'escalade avec la Mouche, sur un bloc en 6C. Rêve x+235 Je quitte un amphithéâtre dont les gradins sont verts et marrons de terre et de plantes. Je fuis. Je traverse un château bas à la Quake, avec des passages sur des planches en bois qui se lèvent, qui franchissent des mares d'eau verte et acide. Je reviens sur mes pas et retraverse le château. Je descends la colline en direction d'un château féerique dans une forêt de peupliers. Je dois traverser d'abord un champ de broussailles avec des se,tiers, mais impossible. Je me suis trompé de car, la conductrice, cette salope, refuse de s'arrêter aux arrêts intermédiaires et m'oblige à aller jusqu'au terminus pour reprendre le sens contraire. Je me trompe encore, cette fois, le car est rempli de racailles (wesh, zyva) qui l'ont volé pour aller là où je ne vais pas. Ils me laissent sortir à la lisière d'un bois aux arbres bas mais serrés. Je rejoins ma route à quelques mètres. En marchant, je resserre mes lacets, et ce faisant, je vois à ma droite une rivière dans laquelle se baigne une belle femme nue.