Liste complète des rêves

Rêve 1

Fuite précipitée de l’A par la rivière la F sur un radeau. La rivière passe dans une forêt presque aussitôt (le paysage se transforme). Le terrain descend dangereusement et le radeau fait du rafting (nombre de personnes encore inconnu). On arrive à une mare -l’eau y est claire- où le torrent aboutit. Le terrain aux alentours est une vallée herbeuse (verte) minuscule et en U, terminée par des rochers et des arbres. Un barrage retient l’eau et un mince filet en sort vers un courant étroit et profond. Le fond de la vallée est fait de rochers et d’arbres (au dessus). Les poursuivants invisibles nous talonnent. Ce sont sûrement des chiens d’enfer (ceux de Willow). On décide à nous deux de transformer le radeau en 2 verres pour suivre le cours d’eau en les ayant sur la tête. On arrive au fond de la vallée. Le ruisseau disparaît et on grimpe sur les rochers. Les poursuivants ont disparu. Les rochers forment un trou dans le fond de la vallée mais l’un de nous passe par dessus à 2 mètres environ du sol. On découvre de l’autre côté un château sur un rocher, il semble maléfique. Il est entouré d’eau sombre, le lac est entouré d’arbres noirs, en mauvais état. Un tour dans le château montre une ville de verre incassable, des gens nus, habillés, faisant l’amour, se baignant, se lavant, chassant, mangeant, conduisant. Ils y sont à l’étroit. On y trouve aussi des animaux. Des citadins viennent les voir, dans leur cité transparente. Ces boîtes sont des pièges qui se baladent dans le nature à la recherche de proies. Ainsi, au sommet d’une colline caillouteuse, des lapins se font piéger avec leur environnement immédiat, qui se constitue de terre, d’herbe, de cailloux. Le piège revient ensuite dans le cylindre de verre noir qu’est la ville. Cette ville émet un liquide noir et épais dans le lac. Ce liquide semble nocif car la cité avait un air sinistre lors de son émission.


Rêve 2

Recherche active de monstres du mythe. Elle aboutit à une grotte dans un rocher entouré par des maisons fermières. Il fait nuit. Dans la grotte, je trouve d’autres types dans le même cas que moi (au moins deux et ils semblent possédés). Je ne suis pas possédé mais j’ai une faculté spirituelle : déplacer mon esprit de corps. Les autres ont aussi des dons de ce genre. Les possédés ne maîtrisent plus très bien leurs corps et je soupçonne les shoggoths de s’être introduit dans leurs corps. Après des essais réussis pour éprouver nos dons (avec escalade de la charpente, surprise de l’esprit dans mon corps…), je me rends compte que les autres sont mauvais. Je m’enfuis et je les observe en m’attendant à voir surgir un shoggoth d’une crevasse pas loin. Je ne sais pas si j’en ai vu mais j’étais au bord de la folie. Il fait encore nuit. Après une fuite précipitée, je reviens et je vois un amas de maisons où seuls des hommes sont dehors. Ils semblent malveillants. D’autre part, seul mon esprit est revenu, car je volais sans être vu.


Rêve 3

Celui-ci commence par un combat contre des Aliens. Il me semble facile de tuer cependant un seul résiste et j’épuise contre lui mes munitions et mes armes. J’utilise exclusivement des armes à feu du type mitraillette à main. À la fin, on se retrouve à deux et on s’enfuit chacun de son côté pour se refaire une santé. Il poursuit sa route vers une planète et je le suis pour l’empêcher de nuire. Sur cette planète, j’y rencontre une charmante créature du cru, semblable à Mi-Nuee dans Aqua Blue. Elle semble être fille de quelqu’un d’important, peut-être le roi. La ville où je suis est probablement une capitale, le palais est sur une colline surplombant la ville et la mer bleu pâle. Le ciel est blanc-bleu et le soleil brillant. Les plantes sont vert pâle et le paysage est clair. J’aperçois enfin l’Alien déguisé, il a une combinaison moulante violette et jaune. Il fait des avances au roi sur une probable alliance. J’avertis sa fille mais l’influence de l’Alien grandit. Il me repère et mon existence est liée à ma prudence. Maintenant je me cache dans un lieu qui est comme un mélange de lieu de culte, de salle du trône et de salle de cérémonie. J’y suis protégé par mon amie et amour. Enfin arrive le moment de conclusion des accords entre le roi et l’Alien. Il se passe dans la salle où je suis caché. Il est invisible sauf un anneau brillant que je vois. Il parle dans un micro et mon amie est à côté du roi. Là, je saute sur l’Alien et le poignarde ; on le voit sous son vrai visage.


Rêve 4

On termine un voyage spatial vers une planète habitée. De loin elle à l’air plus océanique que la Terre mais plus petite. En s’approchant, on rencontre un vaisseau du cru, de la même taille que le notre et ayant à peu près la même forme, c’est-à-dire une fenêtre dans un cockpit demi-cylindrique, surmontant une sphère contenant les pieds de l’appareil. On tourne autour de l’appareil pour trouver la fenêtre, on la trouve enfin et on voit l’ET. Sa peau est blanchâtre un peu rose et ressemble aux monstres drogués dans Akira sauf que les muscles et les veines ne sont pas saillants. Puis l’ET prisonnier d’une de nos salles s’échappe et casse une vitre. L’engin entame une trajectoire parabolique vers la planète mais la dépressurisation ne vient pas. Sur la planète, qui est paradisiaque, on trouve des êtres moins repoussants. J’y ai même une amie. On se balade sur la planète qui est bourrée de pièges, de plantes venimeuses, tentaculaires, à pointes empalantes dès qu’on marche dessus, de montagnes secouées par des géants. Ces pièges sont mortels et les habitants indigènes me répétaient sans arrêt le danger. On y trouve même des déesses grecques prêtes à semer le trouble entre des amis. J’en ai rencontré une qui essayait de me soustraire à mon amie et elle a à moitié réussi.


Rêve 5

On est dans les glaces sur la banquise. Le temps est mauvais et notre igloo est petit. Nous sommes trois plus un chien. L’un de nous va partir à la base pour chercher de l’aide. Il emmène un petit micro-émetteur récepteur. Et il s’en va. La tempête se calme et on visite le coin. On n’est plus la banquise. On est dans une campagne verdoyante et formée de collines. En revenant, on reçoit un message de notre ami. C’est un SOS. On le retransmet à la base avec un appareil plus puissant que le sien. La banquise est souple, plate et violette. Soudain, on voit une gigantesque explosion derrière la montagne. On suppose que c’est la base et l’onde de choc ne nous a pas frappé contrairement à la banquise près de la berge. On se balade encore sur la banquise avec le chien. Elle est parfois striée de chemins parallèles et perpendiculaires aux autres. Puis on se rapproche de la berge et on voit des militaires recherchant quelque chose activement. On rampe, on s’approche et on se cache dans un lit superposé. Malheureusement, un soldat nous repère. Il pointe son fusil et tire. Non, je lui arrache le fusil et tire.


Rêve 6

image du rêve 6 On se balade dans un jardin public. Il y a moi, G, L, J et F. On s’approche de collines. Ce sont presque des falaises. Deux véhicules nous accompagnent : ce sont deux voitures pour enfant, des trucs en plastique creux qui avancent dès qu’on se met dessus. J’en récupère un et remarque que ces véhicules sont passe-partout, étrangement. Avec ça, on grimpe en haut des collines et le paysage se dégage, un peu comme aux Pays de Galles. Ceux qui n’ont pas de voiture suivent avec difficultés. En haut, on redescend dans une forêt verte d’automne. Les arbres sont petits, c’est-à-dire minces mais assez serrés. Puis je me retrouve dans les WC de la salle des fêtes de M en train de répondre avec des collègues de classe (XP) à des questions sur Rome. Le paysage devient mi-provençal, mi-gallois. On est sur une descente de garage au bord de la route. Tout ceci est garni de pierres et d’herbes. On se met en route pour Rome. Je quitte mes collègues en cours de route et les alentours deviennent plus plats et plus méridionaux. J’arrive à Rome qui est au bord de la mer et c’est pas très grand malgré une banlieue villageoise importante. Là, je retrouve Éric et on se retrouve les pieds dans l’eau froide du type de l’Océan Atlantique. Auparavant, j’avais repéré au dessus d’énormes montagnes à notre gauche, un gigantesque ventilo qui faisait du vent. À la plage, on se retrouve confronté à un raz de marée ou plutôt une lame de fond, et on rentre à Rome par l’estuaire, les pieds dans l’eau. Rome était constituée d’un centre culturel et très dense et d’une banlieue relâchée et villageoise. Le temps était nuageux et les villages constitués de maisons en pierre usée, avec des toits en pierre comme aux Pays de Galles. Cependant, l’ambiance était méridionale. Rome était une ville bien méditerranéenne, du moins, le centre.


Rêve 7

C’est la fin d’un concert d’Iggy Pop (Iggy ou David Bowie ? sûrement les deux dans le même type). Je viens demander un autographe, tout content. Iggy-David est accueillant. Seulement, j’ai oublié papier et crayon et il faut sortir de la salle qui ressemble à une salle de cinéma et de théâtre. En sortant je retrouve H et vais chercher avec lui ce qu’il me faut dans la 305. Là, on discute ferme à propos de je ne sais plus quoi, j’oublie le matos, le reprends et y retourne. Là, je me retrouve dans un magasin petit supermarché. J’entre et me voilà en train de joue au chat avec des punk-skinhead-instits où je reconnais Mme C mais elle est « gentille. » Dans le magasin, qui est jaune-vert pastel sec, les souris se cachent dans et sous les rayons labyrinthes. celui qui est pris est gentiment mis en pièces puis continue (je me fais avoir une fois). Je réussis à partir.

Le tout début me fait penser à un vieux rêve de course poursuite avec des skins dans un concert de hard (Iron maiden). On courait partout, dans les coulisses ou dans les gradins. On était au premier rang et j’avais l’impression que F et É étaient là. Il y avait du monde mais pas où on courait.


Rêve 8

Je me balade dans des rues sombres, la nuit et assez longtemps. Les ruelles sont médiévales ou au moins assez vieilles. Le jour vient et j’entre dans une librairie de classe qui fait imprimerie. Elle est dans une rue brillante de métal, cyber quelque chose. Je viens vendre quatre cassettes DAT à très grande capacité. Dedans, il se trouve une histoire originale racontée par l’auteur. Chaque cassette a son histoire et un genre particulier, à la fois reprise et créateur. Je déploie des trésors d’imagination pour vendre mais il n’accepte d’acheter que des écrits ou des mémoires. Un client passe et accepte de taper les quatre cassettes et le marché se conclut. Ensuite, je suis au nième étage d’un immeuble cyber etc. en train de trucider des ET avec une équipe d’hommes. On a quatre armes différentes avec des tirs différents. On ne voit plus le fond (de la rue) et les ET occupent quelque chose qui ressemble à un immeuble. Le tout est très coloré, brillant et ressemble à un soot em up. Je ne me rappelle tirer un certain nombre de fois sur des canons, des écrans qui tirent.

Ce rêve me fait penser à deux rêves différents. L’un est une course poursuite dans des rue sombres et relativement vieilles. Course en vélo ou à pied dans une ville ressemblant à Rennes (rue à l’est du Thabor). L’autre est une histoire policière de meurtre dans une ville tenant de Pragues, de cités lovecraftiennes et de cités cybertruc. Il y avait une histoire de bouche de métro, de parvis surmonté par un pont et le tout était extrêmement sombre et sale. La recherche du criminel devait se finir mal comme le début. Histoire d’amour peut-être avec la victime dans un conapt sale et petit. On y parlait aussi de corruption à haut niveau et de meurtre étouffé.


Rêve 9

Il commence dans une ville futuriste comme Néo Tokyo ou Hong Kong. Il fait sombre. Une voiture traverse une baie sur un pont autoroute qui sert aussi de ponton. Cette voiture est peut-être poursuivie et provoque un accident énorme. Les occupants s’enfuient par les bateaux jusqu’au quai d’où part l’autoroute. Là, ils montent dans un gros bateau, ont des rapports avec une mafia d’assassins. Ces assassins portent du gris et du noir et tuent à l’aide d’aiguilles bagues. La mort vient en quatre secondes. Les ex-poursuivis rencontrent une dame habillée à l’orientale, se baladent dans le bateau et sortent. Le bateau avait de grandes salles richement décorées de draperies. On voit ensuite des assassins à l’œuvre dans une rue. Ils semblent fous et tuent tout à leur portée. Ensuite, sur un terrain au dessus du port, se trouve une assemblée de personnes voulant lutter contre les assassins. Ils sont hystériques et sont vraiment très nombreux. Ils trouvent quelqu’un qui porte du gris et l’étripent. L’assemblée contient au moins 20000 personnes, est éclairée de vert pâle pastel sec.

On est quatre, F, L, É et moi à Chausey, sur la plage où on est allé. On va dans l’eau puis on commence à grimper sur des rochers. En remontant vers les dunes derrière la plage, on trouve des blocs à escalader ainsi que des bateaux en réparation ou en fabrication. La difficulté des voies est indiquée et F et É grimpent du 5+ et L et moi on grimpe de 5 sur une coque de bateau. L n’y arrive pas et je ne comprends pas. Devant nous, on voit une vallée boisée et derrière, des rochers comme au Blaireau.


Rêve 10

On cherche des écureuils à photographier. On se balade dans un chemin où en dessous se trouve une rivière, petit torrent. Ce chemin ressemble à celui des Biards mais il est en terre et en pierre et le bord du ruisseau est verdoyant. On a découvert, avant, deux écureuils cachés dans un livre creux. En l’ouvrant ils se sont enfuis et on est parti à la recherche d’écureuils. On est deux. On se balade le long du chemin et on en voit de temps en temps, sans pouvoir les photographier. On peut les suivre mais on n’appuie pas sur le bouton. À un moment, l’un de nous en suit un longtemps et curieusement, ne le prend pas. Il le suit jusqu’à une sorte de garage souterrain, on le perd donc de vue et on découvre une maison au dessus où aboutit le chemin. Derrière la maison, le paysage est champêtre. Dans la maison se trouvent un couple de fermiers sympa. L’extérieur moderne contraste avec l’intérieur vétuste, ou au moins n’allant pas avec. La femme me plaît bien et je semble lui plaire aussi, ce qui ne plaît pas au mari. Je me retrouve en train de lui faire l’amour. Le mari veut enfoncer la porte, on bloque avec un matelas mousse avec une housse bleue. Il essaie de passer par la fenêtre (opposée à la porte et qui donne dans les champs) mais renonce avant d’avoir fait le tour de la maison. Et on termine tranquille dans la chambre à coucher.


Rêve 11

Je suis à la piscine avec tout le monde. Au plongeoir, je saute et vole. Je vole quand je veux mais ne sais pas quand et comment ça s’arrête. Je suis donc prudent. J’imagine diverses situations.

On joue au tarots à quatre puis à cinq avec F et C C (entre autres). Je suis celui qui a le plus pris.

Rendez-vous sous terre entre gens chaotiques. L’entrée est dans une porte de maison mais on passe sous terre par les murs. Histoire de désertion de ma part. En dessus douches et colloques puis poursuites.

Ce rêve me fait penser à un vieux rêve. On se baladait dans une maison labyrinthe. On était recherché par je ne sais plus quoi dans la maison les murs étaient fins. Cependant, on a réussi à sortir par un vélux. dehors il neige et la maison est en haut d’une petite colline. On s’en va en voiture ou à pied.


Rêve 12

On organise une visite au nième étage d’une tour de verre au milieu de la campagne et près d’un passage à niveau. Il fait nuit. En haut, on observe quelque chose sous le toit pyramidal puis on descend rapidement. On suit ensuite un chemin un peu creux en plein jour pour arriver dans un village vacances constitué d’une grande maison entourant une piscine. On est complètement étranger au village mais on se balade et on observe. On a l’impression qu’on est suivi ou poursuivi. On fait quelques tours du bled en essayant les trucs et on s’en va.


Rêve 13

J’entre dans une maison vieillotte style Granville au début du siècle. J’y sens quelque chose de mauvais et vais au grenier gris et poussiéreux et sens la présence d’un fantôme. J’essaie de le latter mais je change de pièce et il me suit. Je visite ainsi la maison jusqu’au rez-de-chaussée. Il fait nuit et je rentre dans la maison. Le fantôme est Olivier éthéré et je le sens guetter quand j’avance dans le noir dans le couloir jusqu’au salon. Puis je suis dans un jeu vidéo dans la maison et je nique des rectangles de couleur dans des parties de pièces. Je nettoie le salon mais pas la chambre d’à côté (en face le couloir) où se trouve une grand-mère. Cependant je n’arrive pas à me faire le fantôme. Il attaque et je me barre pour jouer au petit soldat dans un lieu ressemblant à l’extérieur de la cantine côté route. Il se passe des tas de mouvements de troupe et on est ensuite assaillis dans un château fort tenu par nous. Le château a été au préalable dessiné par nous en dessin industriel. J’étais le premier ex-æquo et P était derrière moi même si son dessin était meilleur. Après de durs combats et des acrobaties sur château, je me tire dans la forêt d’à côté et près d’un torrent. Là, je fais connaissance avec un peuples d’hommes qui vieillissent en arbres. Ils me doivent reconnaissance pour je ne sais plus quoi. Dans la forêt je suis poursuivi par les autres soldats, je trouve l’arbre le plus haut (deux fois plus) grimpe dedans (c’est le roi) et lui demande de m’aider. Les sapins jettent de leurs aiguilles sur les assaillants et les font fuir. Ensuite des arbres redeviennent hommes et on banquette avec le roi et sa famille.


Rêve 14

Je me balade dans une FNAC bouquins (BD). Des livres sont couverts (protégés) par une vitre. Le choix est restreint car il a peut-être beaucoup de livres mais beaucoup de fois le même, même s’il n’est pas connu. Il y a des titres de la FNAC des Halles que je reconnais. Je découvre un endroit que je trouvais manquant car il manquait la fin de l’alphabet (je connaissais déjà). J’y trouve des livres sur la BD et même un livre sur Tintin avec une couverture de Fournier (Spirou). L’étalage de BD fait penser à un stade et effectivement, je me retrouve dans un stade avec une petite amie et un costume de concert-ballet. C’est Sinéad la chanteuse et j’ai l’impression d’être elle en même temps qu’un danseur normal. Le concert se fait sur patins à ? et dans un stade vert plein à craquer. C’est l’ovation et un nouveau style de musique apparaît. On y trouve de tout en plus de la danse. Après, je me retrouve une copine et la famille (du danseur et à la fois de Sinéad, je suis étrangement les deux, un homme et une femme). Pour les retrouver je suis obligé d’enjamber la foule. Les danseurs étaient en blanc et ils furent portés en triomphe.


Rêve 15

Balade en forêt mal entretenue avec des elfes, des hommes et des chiens loup sympas. La forêt est vert pâle chlorophylle et pleine de mousse. Soudain, des trolls nous tombent dessus. On se défend et la bagarre est acharnée, un troll se prend des coups dans les roubignolles par un homme. Le troll tombe par terre et l’homme pistonne avec ses pieds contre les couilles. Ça fait très mal. Je change parfois de camp (de personne) et me prends les coups dans les boules. Les trolls sautent sur les gens par terre et tapent dessus avec leurs massues rudimentaires.


Rêve 16

Celui-ci commence par un baston entre hommes primitifs et crocodiles. Elle se passe dans un verger. Les crocos sont majoritaires et l’avantage de la bataille semble être pour eux. Cependant, les hommes inventent des arbalètes à main étranges. Elles sont construites d’une manière espacée et avec peu de matériaux. Elles sont cependant efficaces. En fait, les crocos deviennent des hommes crocos puis des hommes habillés en croco. À la fin, on gagne donc et le chef croco se fait sodomiser par le chef primitif. Je me retrouve en train de pisser dans un chiotte sombre dans un bahut des fois moderne et ailleurs crade. Ce chiotte n’est pas loin de la salle des profs et est ouvert à tout vent par une porte de verre fumé. Après ça, je me perd dans le bahut et je demande mon chemin. La bataille commençait dans une eau boueuse avec les crocos puis continue dans le verger, avec les crocos qui ont changé entre temps en hommes crocos.


Rêve 17

On joue au foot dans un petit terrain avec des rollers. Le terrain est bosselé et composé de manettes bloquées. Il est multicolore et freine les rollers. On gagne 2 à 40 ou 80. Ce match se passe dans une forêt et près d’une rivière. Une maison se trouve dans un champ de l’autre côté de la rivière. On est dans celle-là et on cherche quelqu’un dedans. Elle est délabrée, sombre et sale. On s’y perd. On est ensuite dans la cave de cette maison (du moins, on suppose que c’est une cave et que c’est la même maison même si ça ne concorde apparemment pas toujours). On cherche un escalier particulier pour aller au rez-de-chaussée mais on ne le trouve pas et on s’y perd encore. La cave est encore plus délabrée que la maison mais une lumière diffuse y existe comme si elle était au rez-de-chaussée mais elle reste quand même sombre. Puis on est deux (moi et une asiatique). On descend une rivière avec je ne sais plus quel bateau. C’est la rivière derrière le stade. Elle est marron et la végétation est de jungle, cependant plus dispersée et du même côté que tout à l’heure, il y a encore un champ. Des ombres sont plantées dans la rivière et au bout d’un certain temps on aperçoit des excroissances sur les arbres. On dirait des tubes verticaux faits de matières organiques. Dedans vit une bête blanche à tentacules qui est paraît-il dangereuse. J’en sors une de sa gangue. La fille a l’air un peu effrayée par la bête. En tirant dessus (vers le bas), les tentacules ont disparu.


Rêve 18

C’est un repas entre connaissances, des personnes bien placées socialement. Ce repas se passe dans un mas au sud de la France avec piscine et tout. L’heure est soit avant le crépuscule, soit avant l’aube.
Ensuite, c’est une course de voitures inégale. J’ai un tacot par rapport à l’autre voiture. Je suis cependant en avance sur l’autre qui me rattrape et qui n’arrive pas à me doubler car en fait, ma voiture semble + rapide que la sienne (!). En clair, j’avance puis il avance par à-coups et ainsi de suite.


Rêve 19

Conan se balade dans la jungle. Le terrain monte et il est, semble-t-il, poursuivi par les Pictes. La forêt varie suivant le moment, c’est parfois une jungle, parfois une forêt de feuillus bien entretenue. Il regarde de temps en temps en arrière. Il grimpe ensuite à un arbre et surveille ses arrières. Sur cet arbre, un oiseau est haut perché. C’est une femelle. Conan s’approche transformé en oiseau, ils font l’amour et se retransforment en humains avant la fin. La dame oiseau est une reine et ils organisent ensemble la défense et la surveillance du coin. Ensuite, je suis en train de ranger des affaires le plus vite possible sachant que quelque chose va arriver. Et trop tard un bruit sec survient, c’est un tremblement de terre et/ou un orage.


Rêve 20

image du rêve 20 On est des marines de Space Crusade dans un terrain boueux. On doit tuer des méchants. On en voit et on tue une femme. L’un de nous a l’idée saugrenue de la nécrophilie pour peut-être, semble-t-il, tuer les autres. Cependant, ça ne marche pas. Jusqu’à maintenant, on est du côté de la rivière. On se fait exterminer. Puis on demande à réessayer sans nécrophilie, car ça bloque un marine, mais avec des tarentules. Elles sont efficaces mais il nous en manque pour tout bloquer. On en a trois qui bloquent la salle. On est malheureusement pas couverts du côté de la rivière. On essaie alors d’autres positions dans d’autres salles mais finalement, on en choisit une pas meilleure que les autres et la partie recommence.


Rêve 21

Je suis sur la plage avec d’autres personnes. Pas mal de monde se baigne. On aperçoit au loin quelques ailerons de requins et personne ne bouge. C’était en effet inutile de sortir de l’eau car les requins ne sont pas méchants. Ils se baladent entre les baigneurs et personne ne les remarque. Le ciel est bleu-rose et derrière la plage on trouve une lande. Les requins deviennent plus sournois, ça ne se voit pas mais je le sens. Puis vient un moment où je sens du mal partout autour de moi, venant des requins et des hommes. Je me tire vers la lande et on commence à me suivre. Je suis entravé par je ne sais plus quoi et les autres approchent. J’essaie la téléportation et n’y arrive seulement quand je suis encerclé. Je suis dans une maison de bois clair avec H et sa nouvelle copine. On discute et H disparaît. Je me retrouve seul avec elle et on fait l’amour longtemps et n’importe comment.


Rêve 22

On emmène H à l’aéroport. Celui-ci est à flanc de montagne et cette dernière est à pic (assez) et pas grande. Ce qui fait un aéroport plus en hauteur que d’habitude. On est dans un escalier roulant et on monte. Au dessus de nous se trouve une grande plaque de béton oblique. Dans cet aéroport, la nuit. On ne voit aucun avion et l’aéroport est constitué de dalles de béton le plus souvent obliques ou verticales. Quelques personnes sont assises au bord du vide retenues par une rambarde peu solide. Ces personnes sont en général pauvres. Un chaman-ankou se balade et tue quelques personnes en récitant un texte disant que la mort n’est rien, etc. Il tue au toucher avec un bâton et ensuite pousse les os dans le vide ou pousse carrément le bonhomme. Parfois il s’y prend à plusieurs fois car le squelette se disloque.
Des JO artisanaux en montagne boisée. Le terrain est petit et est consacré à l’athlétisme : course à pied. Un coureur fait un temps impressionnant et on teste s’il a été dopé ou pas. Un commando est chargé de tuer un participant. Il y arrive et s’en va. Il s’ensuit une poursuite dans la forêt qui se termine en poursuite électronique sur le terrain quadrillé au fur et à mesure de l’exploration du terrain. On peut boucher des passages en mettant une croix dessus. Le poursuivi est bloqué et pris mais en fait c’était un leurre et il était ailleurs. Ou alors le leurre est parti et le poursuivant s’est fait avoir.


Rêve 23

Une femme est perdue sous Terre. Elle est dans une salle avec au moins 3 portes. Cependant, chaque porte amène à des soues à animaux peu sympas qui se pressent sur la porte. Ces animaux tiennent du porc ou du chien. La troisième porte est en haut d’un escalier en pierre et aboutit à la sortie (qui n’est pas trouvée). Même si on est sous terre, le coin est éclairé et la lumière y est ambrée. La femme sort grace à une personne qui était dans le chateau (chateau au dessus des soues). Elle se fait violer par le propriétaire. Avant sa sortie, la femme paniquait complètement car on lui avait montré avant une fille sous le chateau, peut-être, avec un escalier, où on tirait et on montrait des squelettes ou au moins des morceaux. L’escalier montait peut-être vers la salle à trois portes (en fait sûrement quatre).
On est dans un bateau doré (un vieux gréément). On recherche un trésor, un anneau. Il fait nuit et on arrive au bord d’un mur en or. On enlève une partie de celui-ci et on trouve l’anneau et deux autres objets. Ma coéquipière se tire avec l’anneau et il me reste une espèce de clou argenté et une pièce (?) de monnaie. Derrière ces objets on voit un fond bleu-vert-rouge dans le mur. Puis je rentre en triomphe quand même dans un vieux chateau de Moyen-Âge profond, et délabré dans lequel est entassée une armée.


Rêve 24

Entre mafiosi, on s’organise à la recherche d’un trésor indiqué par un texte. Il fait nuit lors du rassemblement. On se sépare. Puis, de jour, quelques personnes se retrouvent et on recherche ensemble avec quand même un esprit de compétition. On est à pied et on est sur la route de la T à st H. On prend ensuite la route de M et le texte indique que l’arbre au trésor se trouve sur une route touchant un taillis et qui est sur notre droite, entre ici et M. Je trouve la route : celle après l’usine qui va vers la G (le GR). Il y a un taillis que j’ai déjà vu en rêve, pas dans le réalité. On y trouve l’arbre et le trésor.


Rêve 25

On se balade avec É et un copain en ville. On passe sous un pont et avant, un immeuble sur pilotis. Puis le copain s’allume un pétard en forme de carton fort plié roulé en quatre. On se balade encore et É fume avec le copain. Moi, je grogne dans ma barbe et sens que quelque chose va de travers. Je les quitte et vais retrouver la 305 garée sur un parking où il fait sombre. J’y retrouve un parent qui demande où est É.
On soupçonne celui-ci de fumer des joints. On rentre à l’A où tout le monde cherche des traces d’herbe. H cherche sous mon lit en moi je trouve du gerbis dans les chiottes du haut. Je tire la chasse d’eau et remarque un truc impossible à enlever dans la baignoire. C’est orange et ressemble à du frai de poisson. Puis on s’en va dans un lycée et on cherche encore É en sortant d’une réunion. On ne trouve rien dans la maison et j’y ai aidé.


Rêve 26

On est dans un camping avec H (au moins). Il est entouré de deux canaux parallèles. On fait un tour dans les environs, on visite le camping et avant de s’installer, je me fais poignarder au cœur par un inconnu que je me rappelle assez gros. Je ne suis pas mort mais la blessure en croissant met du temps à guérir. Je ne suis pas mort car l’inconnu a pris la fuite après avoir dit qu’on me tuera. Ma blessure guérie, je prends des précautions et m’arme de bâtons avec H. Ensuite, on se balade avec H dans un musée en plein air dans des ruines en roche claire. Là, j’y reconnais des gens qui me veulent du mal. On a oublié nos armes. Le temps que H coure en chercher, le gros assassin me saute dessus et me taillade la main. Il me coupe presque un doigt et H le tabasse à coup de batte de base ball.
J’ai créé un être humain dans une maison au premier. Autre chose me fait peur et je fuis en 2CV avec ma création qui conduit (je lui apprends). À la G je sors du côté du gîte et je grimpe dans le hangar sur le mur voir des chats, puis je redescends.


Rêve 27

On suit un lac ressemblant à celui vu à la frontière Espagne Portugal [San Martin del Pëdroso ?] : même lac, même environs. On longe un côté assez longtemps, le temps de trouver des falaises puis de se rapprocher de l’eau. On poursuit ou on est poursuivi, on ne sait pas. Le terrain change et on est dans un grand hangar à paille. Le changement s’est fait progressivement. On sent que ce qui suit est proche. On descend d’un grand tas de paille et on continue. L’eau est sur notre droite, elle est proche et coule de devant nous. On approche de mur en amont du hangar et sur notre droite on voit l’ennemi : des petits serpents. On s’arme de planches bardées de pointes et on écrase les serpents avec sans se faire mordre. Ça marche tellement bien que F et H ont descendu un étage. En haut restent moi et L. La rivière est invisible là où on pensait la voir, on n’y voit que du gris.
Je me balade dans un grand jardin public naturel. Je le trouve bien et pense aux copains qui sont dehors. J’en sors et pense au règlement du jardin. Ceux-ci changent tout le temps et les motos sont interdites à des heures extravagantes de même que l’entrée et d’autres choses. Le chemin de retour me gène car je suis en moto. Il faut rouler dans l’eau, faire le tour de barrières ou de planer sur l’eau quand il n’y a plus de chemin. Une fois sorti, je cherche les autres puis fais le chemin inverse, qui est très joli (bocage dans le brouillard, végétation dense et début de forêt).
J’écoute Joy division dans une maison où il y a d’autres personnes.

J’ai déjà rêvé de tas de paille. On y faisait des batailles de bottes entre deux camps, ou alors, celui qui allait le plus haut.


Rêve 28

On est dans un site d’escalade en forêt où j’essaie le départ de la voie en 7A de la prairie. Je réussis et ça surprend. Juste à droite e cette voie se trouve le dévers 5+ de la Big. Je redescends et on va voir ailleurs avec la fille qui était avec J P B. On s’approche d’une rivière et on essaie un bloc. Derrière celui-ci s’en trouve un autre, je vais voir plus loin, quand je reviens, je vais voir de l’autre côté un camp tenu par des animaux. Ce camp semble tenu par une dictature et avec des animaux rebelles, j’organise une rébellion qui va se faire réprimer avec peu de sang, grâce à la reddition des rebelles. Ceux-ci ont tenté de fuir en amont mais ils ont raté leur fuite.


Rêve 29

Je suis une galerie qui commence moderne et finit en chinatown. Je regarde en arrière et essaie de la retrouver. Je fais demi-tour par l’extérieur et essaie de la reprendre pour la montrer à O et V. Je prends des escaliers roulants voisins de la galerie mais n’y parvient pas. On redescend un peu et on la retrouve. On la suit et on sort à l’air libre. On est perdu et on continue dans une rue typique de R. On cherche où dormir et on rencontre un gérant sympathique qui nous dit de dormir sous son magasin. Si on a des problèmes appeler les pompiers et indiquer le numéro de la vitre. En effet, toutes les vitres on un numéro, même au magasin en face. Là, on est à Paris. On se réveille dans une grande étendue d’eau où O et V me tournent autour car ils veulent que je leur donne quelque chose. Je sors de la tente et on veut savoir où est le boulevard Leclerc à R. Là, je descends le pont et prends à droite de la route de T. Je suis en vélo et prends la piste cyclable. Il fait nuit. On la suit et on trouve un plan de ville. On a beau chercher on ne trouve pas la rue car le plan est imprécis. Il manque des rues et il ressemble à celui de Rennes du côté des Gayeulles.


Rêve 30

J’entre dans l’eau d’une piscine surpeuplée et pas grande. On y trouve des plongeoirs dont un à cent mètres. De là un gus saute et plonge sans se faire mal, car il rate quelques sauts. De plus, le fond n’est pas profond mais il se rétablit correctement. Puis, je suis dans une île-atoll avec une sortie vers la mer. Je dors dans un lit sous une cabane et le niveau de l’eau monte jusqu’à perdre mon lit quand je suis ailleurs. Je retrouve cependant mon lit comme si de rien n’était. En me baignant, j’évite de sortir et surveille s’il n’y a pas de requins. L’île est beaucoup plus petite qu’on pouvait le penser. Puis je suis en ville et il fait nuit.


Rêve 31

Au bord d’une rivière entourée d’une forêt, des maquisards forment une société secrète. Ils sont armés et un va et vient constant de personnes entoure un chef assez enveloppé. Le sol est gris clair, comme neigeux, et le reste malgré le piétinement des hommes. L’organisation gagne en puissance et en méchanceté. Le chef a une estrade et le camp s’urbanise. Cette organisation contrôle presque l’autorité (K) à laquelle elle s’opposait. On sent que le chef est par rapport à ses soldats comme le camp avec K. La rivière est une espèce de canal peu large, de la largeur d’une rivière. Puis arrive une femme qui se fait respecter car elle raconte un exploit à elle. On sent qu’elle veut se mesurer au chef. Son exploit, son acte d’entrée, est : un homme la menace avec un couteau ou deux. Elle les lui arrache et lui entaille un peu la gorge. Elle le fait se déshabiller puis aller dans la rivière (le canal), car cette action se passait avant l’organisation. Elle va dans l’eau, se déshabille et viole l’homme. En le violant, ils suivent le courant et entrent dans un tunnel, comme si le canal était une bouche d’égout ; le tunnel était en demi-cercle. En tant qu’observateur quasi immatériel, je vis quelquefois la terreur de l’homme se faisant violer par une femme devenant démone. L’homme éprouve bien plus de plaisir que d’habitude et cela lui laisse présager une fin horrible, peut-être déchiqueté par des griffes ou des dents ?


Rêve 32

Je suis É dans le passage d’A. Il fait nuit. É traîne une charrette/remorque et avance plus vite que moi. Il entre à ste M par la porte grillagée et quand j’y arrive, elle est fermée. Je grimpe dessus, fais un soleil et je me retrouve pendu par les mains de l’autre côté où É s’éloigne. Je fais demi-tour et le laisse. Je continue mon chemin vers le stade. Je traverse la rue du stade et suis la rue pour aller à l’internat. Je prends à droite là où est normalement le stade et suis des rues semblables à celle du quartier de Rennes sous Maurepas. J’y rencontre A et T qui se rappellent des souvenirs de fumettes et qui me tiennent compagnie jusqu’à ce qu’on retrouve la rue qui mène à l’internat.


Rêve 33

Je remballe mes affaires dans ma chambre d’internat (côté soleil et près du téléphone). Mes voisins en font autant. Je suis en chambre côté E ressemblant à une 24. Les affaires rangées je descends les escaliers du D4 qui est beaucoup plus grand que d’habitude : une grande salle de vingt mètres de côté s’y trouve et au bout il y a l’escalier. Je le descends et sors de la salle. Puis je me dirige vers la cantine et me ravise. J’ai dû oublier quelque chose. Je rentre dans la salle où un groupe de gus en cuir me provoque. Je les ignore et ressors pour aller vers l’entrée face au stade. Je monte les escaliers et arrivé en haut, je cherche où est le E4 et je l’ai perdu. Je cherche un couloir menant au E4 et je ne trouve rien. Je sens juste la présence d’un taureau qui veut me tuer. Je sens cette présence grandissante et je descends pour aller vers la rue Mirabeau. Il fait maintenant nuit et quelqu’un me recherche pour me tuer. Je suis en pleine campagne parmi des champs de maïs et de blé et des hameaux. Cette personne ne me trouve pas de peu et recommence avec un chat qui flaire mon haleine de chameau. Il me trouve finalement avec d’autres personnes et commence à me charcuter avec un couteau qu’un soldat qui traînait s’est fait piquer. J’essaie de lui prendre le couteau.
J’essaie un jeu de rôles vidéo du style Gauntlet 2. Manettes : croix directionnelle plus feu et saut plus manette de contrôle de puissance du tir, le tir est le même que Black dragon (chaîne ou autre plus boule). On est deux et on doit traverser une forteresse mauvaise. On a un plan et on choisit notre itinéraire sans connaître les pièges. On part et on essaie les armes. Elles sont en bois ou en feu, en fer… On arrive au hangar de l’A et le mal est dans la maison (un serpent rouge et un animal vert). On nettoie la maison et au moment de partir, on est mis au courant qu’il existe encore deux sales bêtes dedans (la verte et la rouge). On essaie de les tuer puis on fuit dans le bi-arbre à côté du sapin coupé. On est tout en haut quand M nous appelle. Le plan était très grand et il représentait un endroit où la forteresse était étalée. C’était en effet chaotique et on trouvait aussi de l’eau et des portions de désert. Le plan était divisé en carrés mais suffisamment bien fait pour qu’on choisisse où on voulait aller et pour qu’on voie quelques détails. Chaque carré représentait environ un niveau, une scène (stage). On avait aussi une armure comme dans Black dragon.
Enfin, on est quelques soldats dans un magasin de bouffe et on se bat contre d’autres qui sont aussi dedans. On échange des balles et j’en prends une dans la cheville gauche et je ne l’avais pas vu, je me vantais de n’avoir rien eu, et si ! Les autres étaient très proches (moins de dix mètres) et presque personne n’était blessé.



Rêve 34

image du rêve 34 On est invité à environ cinq dans une belle villa à l’ancienne. Les plans ne sont pas bien ordonnés, les pierres sont marron et de granit, enfin il y règne une atmosphère d’ancienneté même si elle est bien entretenue. On entre, on est menacé avec des armes à feu et on est obligé d’aller dans une prison au rez-de-chaussée. Celle-ci se situe dans une tour encastrée dans la maison. Elle est vitrée avec des vitraux et a la forme d’un champignon. Le côté tour est bordé de bancs et au bout du pied (du champignon) est placée une porte. Un bruit court à propos d’arbres carnivores. On sort en s’évadant ou en étant emmené. On est donc dehors et on contemple la villa, ses environs et deux grands arbres au milieu d’une pelouse. On est seuls et on sait que les deux arbres sont carnivores. Les habitants de la ville s’approchent et ils veulent nous pousser vers les arbres. On imagine que l’un de nous y est poussé et on voit ce qui se passe alors : des branches et des lianes enterrent le malheureux et l’emmènent se faire étrangler au dessus. On essaie ensuite de fuir en suivant un mur de pierres posées qui entoure la maison. Le terrain est vert d’herbe et a tout d’une lande à part un petit bois derrière la maison. L’ensemble donne l’impression de haut-lieu de fantasy, de magie puissante, calme et qui est peu exprimée.


Rêve 35

image du rêve 35 Je suis journaliste dans une jungle asiatique. J’enquête sur la drogue dans la jungle et j’y trouve un type basané mi-colombien, mi-asiatique. Il vit dans une cabane juchée dans un arbre. Il se shoote à l’héroïne, il en est fier et me montre les cicatrices de seringue sur son bras. J’essaie de lui parler de la dépendance que crée la drogue mais il ne voit que le paradis ouvert par son premier fix ; comme les Arabes avec le haschisch, quelqu’un qui en a pris est dit bienheureux.
Je suis dans une ville comme Rennes, mi-médiévale, mi-moderne. Je m’y balade avec D, J M et, je pense, M. Je me suis déjà baladé dans cette ville en rêve. Elle contient un grand porche où une rue passe dessous et de chaque côté du porche se trouve une place, sur la place en bas, on y grimpe et on se rassemble autour d’un kiosque-marchant de pâtisseries.


Rêve 36

image du rêve 36 On est quatre et on traverse un torrent entouré de bosses vert bleu foncé gris et orange. On se dépêche car on pense être poursuivi. La bosse derrière le torrent est en fait un promontoire au dessus d’une vallée très grande. On grimpe dessus et on le visite. Il est au dessus mais on voit qu’il y a quelques trous sur les flancs. On entre dedans et on s’aperçoit que c’est une maison égyptienne du temps des pharaons. On est des Égyptiens (depuis le début) : moi, deux femmes et un autre homme. On s’est installé et il m’arrive une histoire sentimentale qui se finit en poursuite dans la maison. Celle qui est en cause de l’histoire était de teint mat et avait au voisinage des lèvres trois grains de beauté en triangle. Je descends l’escalier vers ma chambre poursuivi par l’une des deux femmes. J’arrive dans ma chambre et m’y barricade avec les rideaux : personne n’ose y entrer car je suis dans un sanctuaire divin.


Rêve 37

Plage poursuite dans les champs puis la gelée (CON×5) sous un pont.


Rêve 38

S et H jouent à chat dans un jardin public. elles courent, S devant H. Le sol bouge et se débrouille pour cacher S de plus en plus, c’est-à-dire faire un mur de terre avec de l’herbe dessus. Puis elles s’amusent à sauter sur les coins de rectangles d’herbe. Le but est de passer au travers du sol et elles y arrivent. Elles sautent ainsi car je pense qu’elles savent qu’en dessous se trouve un réseau de souterrains (dangereux mais elles ne le savent pas). Ces souterrains sont éclairés comme par la lumière du jour mais ne sont pas éclairés. Ils sont tapissés d’herbe et de mottes de terre couvertes d’herbe. On y trouve quelques bestioles monstrueuses comme un loup-garou. Celui-ci croupit dans un coin et a l’air d’avoir faim, de s’ennuyer ferme et de regretter sa nature, ce qui ne l’empêche pas d’être agressif. Les murs du souterrain sont très minces (cinq à dix centimètres). Il communique avec une ferme ancienne mal famée et délabrée qui est dans le jardin. Il y fait toujours noir et dedans on peut y trouver, à l’étage, un fantôme qui se « matérialise » du sol. Quand je l’ai rencontré, j’ai aussitôt fuit par une porte donnant sur l’échelle extérieure. Je suis allé chercher des potes et de l’eau bénite pour y retourner la nuit.


Rêve 39

Je suis avec un copain dans une clairière. On lui a donné rendez-vous ici où un bon paquet de camions et de cars sur rails stationnent. Ce rendez-vous était un piège et les camions se mettent en route, tuant net le copain. J’y réchappe de justesse car je suis passé entre deux bolides et de peu. Je n’étais pas une cible sinon je serais morte. En fait, je cherche un moyen de m’échapper et je rencontre un mafioso qui rentre chez lui. Il me parle de ses affaires et j’acquiesce comme si j’étais du milieu. Il me dit même que s’il y avait un témoin gênant, il n’hésiterait pas à lui donner une visite à l’hôpital accompagnée d’une balle. Il ne sait même pas qui je suis. Puis on rentre chez lui et le long du trajet, je commets quelques gaffes comme être surprise de l’étroitesse de tunnels en comparant à des routes bretonnes. C’est une gaffe car ça suppose que je suis venue autrement et que je ne suis pas du coin. On a ensuite des relations amoureuses et on se prostitue. Lui en plus pratique la contrebande. Je lui cache toujours d’où je viens jusqu’au jour où je décide de le quitter en lui laissant un mot très triste et la moitié d’un paquet de fruits secs qu’il m’avait offert. Il y avait dedans des oranges séchées de la taille de raisins secs, des citrons pareils et autres. Le mot explique pourquoi je le quitte (il cache des boîtes en carton sous le toit par exemple) et m’excuse dix mille fois en pleurant disant que ne veut plus de ma vie de pute et que rien n’allait plus.


Rêve 40

Je suis avec des potes gnomes lutins dans un grand château (pour nous) mais de la taille d’une maison pour les trolls. Le château est fait de planches et est bancal. Un troll défonce la porte d’entrée et visite un peu. Il ne nous voit pas mais fait entrer ses potes trolls et orcs. Il les prévient avec un feu d’artifice bleu qui ricoche sur les planches. Il en relance un rose qui marche. Avant que le le reste vienne, on essaie de le buter avec de minuscules traits de lumière. Ses potes viennent, sont surpris et regardent partout sans trouver (on est vraiment petit).
On est dans notre chambre à l’A avec J P et . On regarde derrière le placo derrière la table et on trouve une planque matelassée de laine de verre verte. Dedans on trouve un assortiment d’objets en métal brillant comme des clés plates, cinq coupe ongles et autres trucs pour bricoler.


Rêve 41

Je joue à un jeu vidéo qui est sûrement virtuel. Je suis un vampire qui se balade dans la campagne. Il semble pourchassé car il va se planquer dans une mare d’eau électrique. Je pense que ce jeu a un petit défaut : autoriser qu’un vampire se cache dans l’eau. Puis je suis un homme dans le même paysage mais plus sombre. Je suis acculé par un vieux vampire et je me fais mordre. Je deviens vampire dans le film et malgré tout je ressens le manque de sang que je contrôle pour l’instant. Le maître me conseille et on est dans une ville, en fait dans un très grand jardin public. Là, on rencontre quatre jeunes gens qui seront je pense nos prochaines cibles. Le maître m’apprend que le jardin possède des pouvoirs que les vampires contrôlent. Puis la ville est en fête et on utilise nos ruines pour une marche religieuse. C’est une danse on avance et on recule très vite. Certains se plantent. Enfin, on attire les quatre jeunes gens dans les ruines. Elles me suivent, ne sachant pas que je suis vampire et encore moins qu’un vampire existe. J’essaie les pouvoirs et ils semblent tous fonctionner ; par exemple, un grand souffle de vent se forme pour déstabiliser des gens qui sont près d’une ouverture quand je souffle ou inspire la bouche grande ouverte. Je soupçonne le maître de connaître une des quatre personnes mais je ne lui dit pas que je ferai tout mon possible pour ne pas sucer le sang des gens, c’est-à-dire pour contrôler mon besoin, car je ressens un besoin, je l’ai même ressenti au début du rêve.


Rêve 42

Après une poursuite je ne sais plus où, je guette un militaire qui me suit. Je suis d’abord sur un plateau, une plage en terre couleur prés salés plus bleus de même que le ciel, plus blanc vers l’horizon. En face de moi, je vois quelque chose de vertical avec un trou. C’est une barrière de terre comme un pli de peau, un bourrelet. Je m’y cache derrière en espérant n’avoir pas été vu. Derrière, je suis le pli en montant une colline. J’y troue en fouinant des gens qui se terrent. Ils sont maigres à l’extrême pour ne pas dire dégénérés. En concertant avec eux, je les emmène dans un endroit plus sûr. Je sens que le militaire suit. De temps en temps, j’escalade le pli pour voir, je trouve que le pli est parfois abîmé et que la nuit tombe. Je continue et j’arrive à une grille qui mène à une cachette en béton. J’y mets tout le monde et j’attends. Le militaire vient et me loge une balle entre les deux yeux. Non, je le bute avant.


Rêve 43

Je suis dans les couloirs d’une faculté au milieu de la campagne. Je suis perdu car je ne sais pas où est la salle où je dois aller, ni même le tableau où tout cela est écrit. Je monte des escaliers et je rencontre des connaissances qui ont moins réussi que moi. Je continue à chercher et on me dit que c’est au rez-de-chaussée. Effectivement, je dois aller un peu plus loin. Je continue sans m’arrêter et je suis en train de faire une course. J’ai un ballon de rugby dans les mains et je dois l’amener contre un mur. Les autres doivent m’en empêcher. Je dois passer par dessus un terrain fait de poutres les uns sur les autres. Une fois au bout, j’y arrive, je dois recommencer.


Rêve 44

C’est une histoire d’homme de feu qui se balade. Il va en hélicoptère et part d’une maison où il était enfermé ? Il a une histoire d’amour malheureuse. Peut-être même qu’avant il était une femme. Une femme de feu. Une chose est sûre, après être arrivé(e) sur le sol, après le voyage dans les airs, elle est devenue femme. Une magnifique femme de feu qui se met à aimer l’homme qu’elle était avant. Cet homme est de métal et semble mort. Elle essaie de lui faire l’amour mais sans résultats. L’homme de chrome ne bouge pas et elle est triste. Elle finit par ne plus bouger.


Rêve 45

Je suis dans la jungle avec des soldats. On sent que quelque chose rôde. Un capitaine s’envole et note ses impressions sur un bout de Canson. Il ne part pas noter grand chose mais parle de masturbation et dit que tout va bien. Puis il écrit avoir vu pendant une fraction de seconde un guerrier armuré qui a disparu dans la forêt. Il disparaît et on va vers le Sud pour trouver un garde barrière. Il lui dit de quoi il est question puis s’en va. Le garde ferme la barrière et laisse un fusil juste avant. Puis une tribu arrive et essaie de passer. Le garde refuse disant qu’il a des ordres.


Rêve 46

Des pierres vivantes. Ayers rock n’est pas un rocher, c’est une amibe rocheuse. Apparemment, seuls les gros rochers vivent. Ils sont de plus en plus menaçants et avalent ce qui passe à leur portée. Puis ils deviennent des dinosaures très durs, comme s’ils étaient faits de roche. On fuit ces monstres et on se cache sur des rochers ou dans la végétation pour ne pas être mangé. Tout cela en réveille un encore plus gros que les autres. Il casse toute la jungle de bambou où on était caché. Ce monstre a l’allure d’un crapaud rouge brique foncée sans pattes. On grimpe dans des bambous fraîchement cassés et qui poussent en touffe. On mange l’intérieur qui n’est pas mauvais. Puis explosent quatre bombes atomiques, l’une après l’autre, aux quatre points cardinaux. Elles nous éblouissent mais ne cassent rien. Je retrouve F dans un bambou. On descend et on va voir là où ont explosé les bombes. On trouve des bâtiments de béton répartis chaotiquement et un objet sous plastique et de la taille d’une voiture. Quelqu’un nous dit que c’est la bombe. On s’en va et on arrive dans une gare avec des quantités de rails. Là, un homme essaie de passer sous des trains, ce qui amuse les conducteurs car ils freinent avant la mort du bonhomme. On passe en évitant les trains et on arrive en pleine jungle marécageuse. On survit comme on peut mais on s’ennuie. On s’approche de rails et un train passe. On le prend et il est rempli de gens, en majorité des femmes. Je regarde tout le monde et finit assis dans une espèce de demi coquille transparente dans un wagon couvert.


Rêve 47

Je vole. Je suis un super héros ridicule à Torg et je suis en aventures. On cherche un objet. Cela nous amène à un tunnel noir avec une porte dimensionnelle au bout qui donne, je crois, à une ouverture dans une gigantesque falaise rose orangé comme le ciel. Le tunnel est noir et bleu et brille d’humidité. J’y sens une présence. On remonte du tunnel et on est en pleine rue, la nuit. On avance et on est attaqué par une bande de femmes. On fuit jusqu’à la campagne et en plein jour. On s’arrête dans une ferme pour se reposer. Les femmes attaquent et parmi elles de trouve H G. Je la prends avec moi et je l’enlève. On fait l’amour en volant puis on retourne voir le reste de la bande dans la salle à manger de la ferme. La bande de femmes était peu habillée mais nombreuse.


Rêve 48

On revient par un chemin de campagne. Il est peu praticable par endroits car marécageux. On arrive à une route goudronnée qu’on suit et on tombe sur un magasin de jouets pour enfants. On en fait trois fois le tour puis on entre. Je suis alors au bord de la plage avec une autre personne et on en part. On passe sur un chemin qui monte sur un talus. Et enfin, je suis dans le magasin mais c’est comme une maison remplie de jouets et d’enfants. C’est aussi une auberge où on se fait servir. Ce qu’on y fait : on joue avec les enfants.


Rêve 49

L’Œil Noir. Puis un dessin de deux arbres se croisant fait, non pas au cubisme, mais au pavéisme. Il règne une zone floue entre les deux. Puis un casse dans une ferme. On est plusieurs à s’incruster. Je suis avec un pote dans le hangar à foin, avec les tracteurs. Quelque chose met la puce à l’oreille des fermiers et on est obligé de s’éclipser discrètement après avoir fait un tour dans la maison. On s’en va vers la route et un champ de maïs derrière mais les flics arrivent. On est alors de sympathiques voyageurs qui viennent dire bonjour au chien. Puis l’un de nous transforme la ferme en un bassin où nagent des requins et le constructeur. C’est une piscine très haute et correctement large. On peut voir dedans et le constructeur est assis sur un trône au dessus et à côté. Un jour où il y a beaucoup de monde, il ouvre les vannes et les requins se précipitent sur les visiteurs, pour la plus grande joie du constructeur et des requins. Le constructeur nage et vole autour de ses requins, complètement fou de joie.
Rêve de vélo route en face de celle du parcours santé. J’en sors et me retrouve sur le virage de l’A en vélo avec A en essayant de l’embrasser sans tomber dans les orties.


Rêve 50

On est trois à l’A dans notre chambre. Les chiens assis sont plus bas. Je suis le super héros ridicule et côté Ouest, on a une porte pour descendre, pas au côté Est. Justement, au côté Est, une porte s’ouvre et laisse entrer trois fantômes squelettes. On essaie de s’échapper en se séparant, mais ils nous rattrapent et ils finissent par tuer et paralyser les deux autres et je m’enfuis en volant. Je me demande si j’avais pu les tuer avec mes électro-rayon. C’est une arme magique ?


Rêve 51

On est des hobbits avec Gandalf. On est près de la mer et dans un taillis. Il fait nuit et on scrute le ciel à la recherche d’éventuels Nazgûls. On traverse une plage et Gandalf nous fait signe de derrière un rocher. On se cache et en effet, un Nazgûl surveille. Puis on est dans un hôtel pas loin d’un spatioport et on attend l’arrivée de Vador pour le tuer. On approche du port et on est peut-être capturé car on se retrouve ensuite dans un bâtiment métallique où on est perdu. On essaie de s’enfuir sans résultat.


Rêve 52

H et moi on dort côte à côte puis décide de faire l’amour. Cependant on n’aura pas d’enfant.


Rêve 53

Suicidal tendencies en concert sur la mer. Ils sont sur une plateforme qui n’arrête pas de bouger. Il y a très peu de spectateurs. La mer est gris clair comme leur plateforme. Puis on est dans une décharge avec des grands bidons. Quelqu’un en a renversé et a semé le bordel parmi nous. Sûrement à cause du contenu (du papier / pas à brûler / des œufs de lumpe gluants). Puis on est dans une DS ou une CX. On essaie de se garer mais ça ne marche pas. On est sur une colline près de la mer à Warhammer. On est un groupe de personnages et on recherche un méchant. On sait où il est mais ce n’est pas évident de le trouver. Il est caché dans un trou dans la forêt, qu’on voit, mais on sent que si on approche, on se fera écorcher. D’ailleurs, on approche après être passé par une colline dénudée. On approche et Il arrive. Sachant qu’il ne sait pas grimper aux arbres, on grimpe dedans et il saute en bas pour essayer de nous attraper. En vain, mais de justesse. On est à trois dans l’arbre. Puis je suis seul et comme lui. Dans sa cachette est enfermée une femelle. Il n’est pas au courant. Une autre se balade dans le coin et ne connaît pas le danger. Sa maison a la forme d’un podium et le 1 est un clocher où elle est enfermée. J’approche de la maison le plus près possible sans me faire repérer. Je sais qu’il chasse et vais voir la prisonnière. Je la libère et avant qu’on ai pu s’en aller, il est là. Il est surpris mais on le calme. Je le prends par devant et elle par derrière. Il en a l’air content mais elle dit qu’en fait il va garder les enfants et nous manger. Bonne idée, dit-il, car il n’y avait pas pensé. Je la soupçonne de mèche avec lui et je suis triste. On a l’apparence de grands hommes griffus et musculeux, sans peau et avec des dents saillantes. Gueule de smilodon. Abdomen maigre.


Rêve 54

image n°1 du rêve 54 image n°2 du rêve 54 On est dans une ferme sur une colline. On est eux équipes l’une contre l’autre et on est armé de revolvers comme celui de T, sauf qu’on met des cubes dedans et pas de chargeur. On fait le tour dans le sens trigonométrique et on les encercle. La mitrailleuse se poste derrière eux et le gus la monte en attendant. Le combat commence et la mitrailleuse n’est pas terminée. On pousse les ennemis dans les arbres et on leur tire dessus. Seulement, les munitions ne sont plus cubiques mais déformées ou étranglées. On est obligé de fuir car ils ont des munitions et pas nous.
Je vais de rue H au mur en mobylette. Arrivé là-bas, je vois qu’ils ont changé le revêtement en pierre et qu’il y a un toit sur le mur et sur la moitié du terrain à côté. Il n’y a que moi, H et une copine. On descend par un chemin en terre en vélo. On se retrouve dans une forêt. H dit connaître alors on la suit. Elle nous emmène dans des chemins boueux où je me gamelle avec la copine d’H (à cause d’une flaque cachée par des branches). On continue et voit en face dans la vallée. On continue et on se retrouve derrière cet en face. Je dis qu’il faut faire demi-tour. En effet, on regarde derrière nous et on reconnaît les maisons d’en face. D’autre part, on a encore à côté de nous une rivière, et plus largue que tout à l’heure. On fait demi-tour mais on ne comprend plus rien.



Rêve 55

On est dans une maison et on cherche une arme secrète pour tuer Vador. On cherche aussi un vaisseau qui nous permettra de quitter le coin. La maison est en métal et ressemble à un spatioport. En quittant la maison, on est en pleine campagne.



Rêve 56

Combat entre le bien et mal dans un château délabré. On sort du château et on est en pleine forêt marécageuse. Je vois un ennemi : j’envoie des bulles bleues pour le faire changer de côté mais il résiste avec une main griffue rouge. J’envoie encore des bulles et le maîtrise. Il existe trois niveaux dans chaque moralité : piétaille, sous-chef et chef. Il n’existe qu’un chef et par exemple, un sous-chef du mal n’a aucune chance face à un chef du bien, pour ce qui est de la conversion. Je réussis à le convertir et on s’en va dans la forêt. On arrive à un étang et on est obligé de passer par la rive. Avant de venir ici, on pensait que c’était un jeu de rôle maîtrisé par F et bien délirant, à recommencer. Au lac, on suit la rive, moi d’abord (on est trois) et je sens le mal dans le lac et sur la rive. Chaque pas j’ai une épreuve que je passe sans problème. Pas mes suivants. Le premier se plante et la rive s’abaisse comme des trappes. Il court mais pas assez. Il est dans l’eau et barbote en attendant qu’un crocodile du mal lui tombe dessus pour le convertir, tâche facile car le copain nage dans le mal. Cependant, le crocodile attend et le copain sort du lac sans problème. L’autre attend toujours.



Rêve 57

Je me balade avec quelques autres personnes en ville. Elle est médiévale. On s’arrête à une place où deux spectacles font concurrence. L’un représente des anges et l’autre des démons. On s’approche de ce dernier. Il est en haut d’un immeuble de quatre cinq étages et est sur trois étages. On attend la fin du spectacle pour s’introduire dans la scène puis dans l’immeuble. On fouine et on rencontre un démon qui nous propose de visiter. On accepte et il nous emmène dans un centre de sélection. On y passe des tests, comme peler une orange le plus vite possible, où seuls les quatre premiers survivent. Les autres sont écrasés. Les tests se passent dans un gigantesque bâtiment en métal qui devient un parc d’attractions quand j’essaie de le quitter avec mes amis qui ont aussi survécu aux tests.
Star wars. J’essaie de détruire l’Étoile noire avec un missile à protons. Je n’y arrive pas et le couloir où je suis rétrécit pour devenir un couloir très haut et peu long où en face se trouvent des TIE. Ils me canardent avec des missiles. Ils me touchent et moi aussi.



Rêve 58

Je me balade dans une forêt de feuillus. Elle est relativement sombre, vert sombre. Je peux me transformer au besoin en loup-garou ou en démon, les trois formes peuvent prendre des ailes. Après quelques pérégrinations, je combats une horreur liquide et tentaculaire. Il faut utiliser des navettes personnelles pour avoir une chance. On fonce et on découvre des tunnels illuminés par des boules ou des traits de bave reliant deux côtés et derrière, un complexe plus technologique qu’on pensait.



Rêve 59

Rêve de Dragon. Un aventurier entre dans une tour. Il monte l’escalier principal et le découvre fermé par une grille avec un dragon derrière. Il redescend et monte un escalier secondaire et arrive derrière le monstre avec la possibilité d’ouvrir la grille. Il sent qu’il a fait comme il faut car ses poursuivants se sont fait avoir dans un piège. Il se faufile puis s’en va derrière le dragon. Il sait qu’il est encore poursuivi et arrive à la lisière d’une forêt d’automne. Il y bâtit une maison pour sa famille et attend l’envahisseur.



Rêve 60

Je me cache dans des locaux scientifiques et/ou scolaires. Il fait nuit verte.



Rêve 61

On est des super héros se battant contre des super vilains. On est de lumière et d’ors. L’un de nous se fait emprisonner dans un prisme qui l’écrase. On continue le combat dans un marais verdâtre (avant, on était dans des rues, autour de buildings et à un autre moment, autour de planètes, petites pour nous et entourées de lumière).
Changement de décors : on est dans une maison souterraine avec toutes les personnes du jeu de rôle grandeur nature. Il fait sombre et on rigole bien et on mange bien. On entend des cris venant de plus profond et on se rend compte qu’une bête va tous nous manger si on ne fuit pas ou si on ne la tue pas. On la fuit dans la maison mais elle semble plus rapide. On sort, on se cache dans des arbres ou on demande de l’aide à un routier. Il nous emmène mais la bête attaque le camion.



Rêve 62

Je lis un article dans un canard féminin qui ne me plaît pas trop. Je suis dans une pièce faite de murs de papier. Je passe dans la salle suivante et montre la chose à celle qui a écrit l’article. Je lui montre la correction, et aussi comment faire l’amour. Elle en est contente et je lui apprends quelques autres choses.



Rêve 63

Je grimpe dans un arbre très grand avec beaucoup de branches. Je redescends car on m’appelle et je vais en direction d’une salle vitrée sans plafond.



Rêve 64

On est prisonnier dans une très grande cave éclairée et sous une ville. Une personne nous libère et on fuit, après un combat acharné, par une petite porte en bas d’un escalier. Elle amène sous un pont et on longe une route en restant hors de vue, c’est-à-dire en restant au bas du talus car la route est comme sur une digue. On évite les patrouilles qui nous cherchent mais je me fais voir par la police en moto qui vient nous voir. Les plus connus d’entre nous se cachent dans le fossé en soulevant un pan de champ. Ils sont mouillés mais les flics ne les voient pas. Ces flics sont des femmes et on est tous des hommes.



Rêve 65

On escalade une montagne encordés. On suit une faille dans le rocher et je suis peu courageux. Cependant, j’ose quand même suivre. On arrive près du sommet. C’est plein de neige mais il faut encore marcher : le sommet est plus loin. On y arrive après avoir marché un peu et on voit qu’on est au dessus de Tokyo en pensant que ce n’est pas le Fuji Yama. On redescend et on passe par une ouverture dans le rocher. On se retrouve dans une cage d’escalier immense verticalement. On la suit et après avoir rencontré quelques personnes, on débouche sur une grande salle. L’atmosphère y est marron rouge et on y trouve un lac. Le tout est souterrain.



Rêve 66

Ambiance James Bond, comme un des films, même histoire de poursuites et de méchants. Il faut deviner quel est le titre du film mais je me trompe, d’autant plus que le nouveau né de 2001 apparaît. Ensuite, je fais des expériences alchimiques qui nécessitent du doigté dans une maison en ruines. Elles sont éclairées de vert phosphorescent. Au moment où j’ai le plus besoin de calme, toute une colonie de dinosaures se met à faire des trous dans le toit (c’est-à-dire au premier étage). Ils essaient de casser la maison mais ils se calment car je me rends compte que je suis un vampire. D’autres personnes autour de moi sont elfes, trolls… ou vampires. Les trolls sont lents, les elfes sont beaux mais les vampires sucent le sang. Il y a quatre races. Naturellement on se cache dans les charpentes des maisons ou sur les toits. On est cependant désolé d’avoir à sucer le sang mais on n’a pas le choix. Les maisons où on se trouve sont celles de la G.



Rêve 67

Je suis dans un camp. C’est une concentration de rôlistes menée de D. Gerfaud. Elle est au bord d’une route et tout le monde a posé son sac sur une place. On rentre avec un car à étage. Je suis devant en haut et D passe dans l’allée centrale. C’est un nain un peu gros et déformé, exactement comme Casus Belli le caricature. Cependant, c’est un type très sympathique. Je rentre en ville par une autoroute et j’arrive à un carrefour gigantesque d’autoroutes à huit voies. J’arrive à un hôpital et je trouve un trafiquant. Je conclus un marché avec lui qui me fait aller au centre. Dans une maison, je suis attaqué avec un ami par un monstre de métal et de fourrure. Il bute mon ami mais je réussis à l’éviter et à avoir la personne qui me l’a envoyé. Je l’utilise comme je veux.
J’ai gagné une voiture dans un rouleau de PQ et un autre lot.

Ce rêve me fait penser à un autre. Je me balade parmi des routes autour du centre d’une ville (Rennes ?) et j’arrive à un aéroport.



Rêve 68

image n°1 du rêve 68 image n°2 du rêve 68 Je suis dans un avion qui ressemble au vaisseau de Lone Sloane. Un ami m’accompagne dans un autre avion. Ces avions sont très maniables (capables d’angles aigus dans les changements de directions) mais n’ont que très peu de carburant. En survolant une zone, on rencontre des ennemis. On les aligne mais il faut rentrer car on manque de carburant (un déplacement). On rentre à l’aéroport qui est sous le niveau de la terre. Il est fait de plastique à maquette, vu de loin. On se pose et on se balade dans l’aéroport. Il est fait maintenant d’immeubles-tours et de restaurants en verre. On cherche A et on nous a demandé si V était là (il ne l’est pas). Au fur et à mesure de nos recherches, le terrain devient boueux et bosselé. Des plantes poussent et on ne trouve pas A. La personne qui était avec nous est sûrement C.
Space Crusade. On est deux équipes de marines contre une équipe aidée du chaos. Il faut tuer deux gobelins ou autres puis revenir. On se méfie des dreadnought qui tirent sur un couloir, en particulier ceux qui ont un déplacement de six.



Rêve 69

image du rêve 69 Balade la nuit dans un grand village au bord de la mer. C’est la fête. Il fait sombre malgré le nombre de lumières. H et moi cherchons É qui s’est perdu dans la foule. On fait donc le tour du village pour le chercher mais on n’y arrive pas.
On est sur une île méditerranéenne (dans le style grec) avec un village et un bois de pins. On est plusieurs équipes à la recherche d’un bout de papier qu’une personne a. Certaines font de la plongée. D’autres sont habillés à la couleur de leur équipe, d’autres sont des gendarmes. Certains arrivent par la plage et d’autres font des batailles rangées dans le village. D’autres se cachent dans les dunes pour épier d’autres groupes. Deux de ces groupes trouvent l’objet et sont l’un en face de l’autre, bien rangées. Le papier est plié et collé sous une capsule de bouteille.



Rêve 70

Je suis dans les jardins d’un château, près de l’entrée et sous uns statue. J’essaie de dormir mais le temps se gâte et il pleut. Le propriétaire vient me voir avec une autre personne. Ils sont sympathiques mais je pars. Je suis un chemin qui a une forêt à sa droite. À un embranchement, j’y rencontre un homme-arbre qui est aussi un elfe. Il est très gentil et me fait visiter son habitation-arbres. Dans les souterrains de sa maison on trouve des serres, qu’on visite avec H. Puis les tunnels ressemblent à ceux de Fort D. H cherche une autre sortie en s’enfonçant sous terre. On y rencontre pas mal de gens. Puis on arrive à un cul de sac. On se rend compte qu’on n’est pas loi de l’enfer et il nous faut réussir une épreuve pour avancer d’une salle vers la sortie.
Je suis dans une salle coupée en deux par une charpente en bois. Il y a un seul trou pour passer mais il est bouché par une toile d’araignée. J’en casse une moitié avec un bâton mais l’autre résiste. Je vois l’araignée qui n’est pas grosse mais paraît méchante. Je tape encore sur la toile et je finis par la casser. Je sors et retrouve mes amis dehors. Sauf H. On retourne la chercher puis on s’en va.
On est dans un bateau et on a avec nous de la drogue et un papier prouvant qu’on en a. On cache celui-ci dans une boîte. Des policiers en barque arrivent et fouillent un peu le bateau. Ils prennent la boîte pour l’examiner. On est bien embêtés à cause du papier et ils disent qu’ils vont la ramener. C’est juste pour voir ce qu’il y a dedans. Quand ils reviendront, on aura tout caché dans la grande cale qui a une salle cachée. En remontant, on est dans un temple qui donne sur des jardins. J’ai une guitare que m’a prêtée A. É la démonte jusqu’au manche et s’en va. Je hurle et essaie de la réparer mais il a enlevé aussi les calottes sphériques qui vont sur le manche. Je ronchonne encore puis c’est une hécatombe dans le temple. Des gens meurent on ne sait pas pourquoi.

Ce rêve me fait penser à deux rêves. L’un se passait d’abord dans un jardin public au milieu d’une ville. On en sort et on va voir un musée vide de gens. L’autre, j’étais accompagné de J M et de D. On montait une route surmontée à gauche d’un mur de pierres.



Rêve 71

Un satellite observe une ville et sa criminalité par une caméra très précise. Elle arrive à suivre un chemin au bord d’une rivière. Puis des événements étranges se passent, comme si des êtres doués de pouvoirs extraordinaires étaient en cause. L’armée est sur le coup et je me retrouve à l’A futuriste avec des gens dont certains ont des pouvoirs comme moi et un autre qui est le plus puissant ou le premier. C’est notre maître à penser mais des événements qui ont aura maléfique arrivent. Je finis par en conclure que c’est lui le coupable. Il apparaît et nous explique que ce qu’on pense du bien et du mal sont des conceptions uniquement humaines, même s’il paraît auréolé de noir. Les pouvoirs dont on dispose sont la téléportation, la télékinésie, la télétransformation d’objets…



Rêve 72

image du rêve 72 J’arrive avec H, É et peut-être H à un rendez-vous avec des bizuts et des deuxième et troisième années. On a traversé la ville où se déroule ce rendez-vous. On a eu du mal mais on a réussi quand on a changé de conducteur. Celui-ci dérapait sur la route mouillée mais nous a emmené là où il faut, près d’une gare de marchandises. Au lieu de rendez-vous, je décharge mes affaires, visite les lieux et note les personnes. Je reviens à la voiture et remarque qu’il manque des compacts. J’envoie un coup de pied au cul d’É en gueulant et H rapplique. L’excuse d’É : j’ai pris ce qui semblait bien. Après cet incident, on rentre en ville et on visite un jardin public. Je suis les chemins, rencontre des grands-mères et entre dans un bâtiment. J’y remarque encastré dans la porte (mais fixe) un guide d’onde. Je le fais remarquer et on en voit un autre de l’autre côté du bâtiment. Je suis un monstre et je chasse l’humain dans les égouts et les souterrains de la ville avec des collègues. Ça marche bien jusqu’à ce que la police de la surface vienne nous chasser. On sort donc et les monstres fuient. Je prends une direction voisine mais avec un sens interdit pour ne pas que les flics me tombent dessus. Ça l’air de fonctionner et dans ma cachette je trouve un chaton. Je le caresse et je découvre un poste de police à côté des décombres où je me cache. Je passe devant et ils me repèrent. Ils vont au même endroit que moi mais on ne sait pas où c’est. Je leur cache sur la carte et essaie de les perdre. Après avoir suivi une avenue bien droite, on sort de la ville. On arrive près d’un château d’eau. On descend et on en fait le tour. On frappe, un homme nous ouvre et nous fait entrer. On s’installe, on boit un pot mais on ne voit pas de monstre, mon état leur est invisible. Je voulais leur cacher le lieu de rendez-vous car, pour moi, les gens y étaient des monstres.



Rêve 73

Ja suis à la G et je descends le chemin. Il fait nuit. Je commence à voler mais je ne suis pas stable et j’oscille autour de la trajectoire que je devrais suivre. Au dessus de ma tête je vois un réseau de fils électriques qui gêne mon ascension. J’essaie de passer au travers mais mes oscillations me gênent. Je me dis qu’en touchant les fils je ne risque rien, cependant, j’hésite et remarque que plus j’attends, plus nombreux sont les fils au dessus de ma tête. Je finis par passer et je m’assoie sur les fils. Je redescends et j’aperçois une fille pas loin ; je vais la voir. Elle est légèrement plus petite que moi mais a le physique d’une personne de quatre ou cinq ans. Je l’embrasse sur la joue et dérape sur des lèvres baveuses. On aperçoit sur le chemin des enfants qui courent, on s’enfonce dans le champ vers une forêt pour ne pas être vus. On arrive à la lisière du bois, on s’assoit. Elle a à manger des yaourts, des corn flakes et des corn flakes agglomérés. Je propose de manger d’abord les corn flakes et le yaourt ensemble pour pouvoir grignoter le reste en marchant.



Rêve 74

On est dans un village alsacien, K, É, H et moi. On le visite et on prend une route de sortie. Il est très long et avant de sortir on rencontre un couple avec deux gosses qui grimpent à une maison sans assurance. Je leur crie qu’ils sont fous mais ils vont au sommet et sautent dans le vide. H et É les rattrapent de peu. On continue, on voit une cigogne voler pas loin de nous et on continue. On sort du village et on entre dans une forêt. On traverse un pont et on arrive dans une maison. J’y suis un nain bossu et simple d’esprit. Je dois rire et ne rien comprendre, ce qui n’est pas difficile car je n’écoute pas ce qu’on me dit. Je dois participer à un jeu du type de Flashback et je dois tuer des crocodiles dans l’eau et en dessous de là où je suis. Celui qui me dit ça est le méchant de la fin. Il insiste pour que je prenne des objets dont j’aurai besoin plus tard.



Rêve 75

Une maison dans la forêt près d’un étang ? J’y vois une famille de lapins près de mes pieds puis une famille de souris aussi grosses que les lapins. Je sens une douleur qui me cloue sur place : les petits lapins sont sur mes pieds et les mangent. J’essaie de les enlever, ils s’accrochent mais j’y arrive mais je pense que l’un d’entre eux est plus profond et qu’il va me manger de l’intérieur.



Rêve 76

Je suis dans les nouveaux bâtiments de l’école. Ils sont dans une tour. Je monte dans un amphi. J’y suis allé pour me cacher de quelque chose qui me suit quand j’étais ailleurs (près ou dans une maison). Puis on m’amène en voiture au bout du chemin et je dois retourner à l’A où T2 m’attend. Je revois ce dont il est capable en marchant. J’essaie de me cacher dans la nuit mais des traits lumineux me gênent après la maison des B. Je traverse le champ en rampant et je passe devant la maison. Je grimpe sur le toit de la maison de L. H vient me voir discrètement mais É et S suivent et T2 me découvre. Il grimpe sur la maison et j’en redescends. Il me suit et au moment où il va me rattraper je disparais et réapparais. J’ai réussi ma mission et quoi que fasse T2, je l’aurais réussie. Il s’arrache les cheveux et tout le monde est content. Je lui propose même de me tuer si ça peut lui faire plaisir.



Rêve 77

Des militaires me poursuivent. Je suis dans une colline et je trouve des trous dedans, comme un fort fait de tunnels. je m’y cache et vois que les personnes qui me suivent sont M et C. Je m’enfonce plus dans les souterrains jusqu’à une salle cul-de-sac qui est sept mètres plus bas que le tunnel qui y aboutit. Des amis viennent ? avec moi et on remonte dans le tunnel. Je suis le dernier et je porte quelque chose de lourd. On sort des tunnels et on remarque que le fort est coupé en deux, comme par une ligne de chemin de fer. On monte sur un des deux côtés et il est coupé par une voie de chemin de fer. Un pont relie les deux côtés. On y arrive et on voit que c’est seulement quelque chose de surélevé, comme une gare ; puis la ligne descend pour couper le fort. L’angle est d’ailleurs bien marqué. On arrive à la gare et on cherches F. On ne trouve pas en lisant sur les quais. On descend donc dans les couloirs souterrains qui ressemblent à ceux du métro à Montparnasse. On cherche aussi et on finit pas trouver. On monte l’escalier et on se rend compte que c’était le quai en face.

Cela me rappelle un ou plusieurs rêves. Dans l’un d’eux, on est dans le métro et on marche. Les couloirs bougent. La peste ? Beaucoup de gens. !un autre rêve : on descend des marches et on arrive dans une station. Le métro arrive. On est dans une autre station.



Rêve 78

Je suis un combattant dans un jeu de rôle grandeur nature dans une forêt. Des barbares nous poursuivent (je suis avec d’autres barbares). On va se réfugier dans une maison mais on ne peut rentrer qu’un par un et les barbares sont vraiment proches. L’un de nous reste dehors et meurt. On voit que la maison est une salle de concert (avant elle était faite de branches, de souches et de terre). La musique est bizarre : un homme seul est au milieu de la scène (qui est par terre) et danse sur un magnéto. Lui, il joue trois morceaux dont l’un des instruments est son casque (il s’en sert comme castagnettes). Il s’appelle Isia ou Asia. Il est applaudi quand il a fini. On sort de la salle et on est en ville, à Rennes (qui est tout près de la mer). On cherche à semer la voiture de C qui nous suit, ou le contraire.



Rêve 79

Dans ma chambre, qu’un ami m’a prêté et qui a une cassette avec Young gods, deux petites araignées se reproduisent. Quand je dors, elles envahissent la salle et me grignotent. J’essaie de les tuer mais elles m’échappent toujours. Je finis par partir et essaie de les faire mourir de faim mais il fut boucher toutes les issues, mettre du chewing-gum dans la serrure, boucher sous la porte, etc. Il en reste forcément, des trous, mais je n’ose pas entrer pour les boucher. À noter que j’ai la phobie des araignées, surtout si elles sont aussi malignes que celles-là.



Rêve 80

É, H et moi on est dans une ferme dans une lande montagneuse. On s’enfuit, redoutant des petits êtres ailés. On longe une rivière et on saute de grille en grille (d’égout). C’est moi qui ai trouvé le truc pour ne pas se mouiller. On grimpe une colline et en haut on rencontre un petit être malfaisant (du moins, on le pense). On redescend dans le marais et on l’asperge d’alcool à 90° après l’avoir écrasé dans un petit bol. Une fois que tout est carbonisé, on est plus tranquille. Apparemment, brûler la cervelle était le plus important.



Rêve 81

Je joue à othello pendant une quinzaine de coups sur un othellier un peu trop grand.



Rêve 82

Je suis dans une propriété au soleil et au bord de la mer. Les flics me cherchent alors je m’en vais dans un amphi où les Guns n’ roses vont jouer. L’amphi ressemble à W et C mais de la taille de F. On s’installe au premier rang mais on ne voit rien à cause d’un panneau blanc pour diapositives. On change pour le deuxième rang et je me retrouve à côté de P M, au deuxième rang. Les Guns n’ roses arrivent et ils proposent à chacun de venir jouer ce qu’il sait jouer. Une personne essaie Fade to black et cela me stresse car je ne sais rien jouer d’autre. Le bas de l’amphi ressemble à une cheminée avec de la cendre au fond. La police arrive et je m’enfuis dans la ville. J’arrive à un centre commercial. Je commence à m’y perdre et peu de temps avant de sortir, je rencontre C que je rassure. J’en sors et je vole une Porsche, un ami aussi. Les flics ne tardent pas et ils nous talonnent. La fuite est longue mais on parvient à les distancer en rusant beaucoup. On arrive à nos propriétés, les Porsche sont démontées et distribuées aux garages voisins. Ainsi, la piste des flics s’arrête car tous les garages ont au moins deux pièces de Porsche.



Rêve 83

image du rêve 83 Fuite en campagne (sur un autoroute) à moins que ce soit un autre rêve qui contiendrait une escalade de rochers et une balade en village anglais. On est ensuite dans une piscine puis dans une pièce assez haute traversée par une poutre. Des personnes veulent m’y emprisonner et je me libère grâce à ma magie en créant un sacré foutoir et la panique. La magie se sépare en quatre parties : une bleue qui commande aux objets, une noire, une rouge et une jaune sûrement qui doivent commander aux hommes, aux animaux et aux plantes, dans le désordre. La magie bleue se voit car ses effets extérieurs sont bleus.



Rêve 84

Le père d’une amie n’est pas bien (il a l’air lié à la mafia), à moins que ce soit le mien. Je suis entré chez lui et il parlait avec d’autres personnes de camions piégés. On se fait remarquer par les chiens et sa femme essaie de nous protéger. Il nous voit cependant et il me suit dans le jardin avec un revolver. J’en ai un aussi mais le mien est déchargé. Je grimpe sur le mur du jardin mais lui aussi. On se tient en joue et il sait que le mien est vide. Sa femme lui dit de ne pas me tuer. Des flics interviennent et me permettent de fuir. Je passe au port et leur dit ce que j’ai entendu (à C, É, H et d’autres). On voit quelques camions louches et aussi un bateau. On fuit en ville en criant que les camions qui quittent le port sont piégés. On est gênés par des sens interdits mais on arrive à la quitter, et pour éviter les camions, on continue dans une rivière qui longe la route avec H. La rivière est une ria qui traverse des marais salants. On continue en craignant les camions et on en voit passer. On entend des explosions mais on n’en voit pas de traces. On suit la route par le bas et en dessous de tunnels ou de surplombs terreux. C’est dangereux en cas d’explosion et on les évite. On arrive à une route de campagne et on craint encore les camions piégés car on sait que même à cinquante mètres, ils peuvent tuer si seulement notre tête est à découvert.



Rêve 85

On arrive la nuit près d’une colline-aiguille d’environ trente mètres sous toutes ses dimensions. On s’arrête à côté et on s’installe. On voit un feu avec peut-être des gens en haut. On est gênés par des arbres et des statues de pierre. On remarque cependant un escalier pour aller en haut. Le père du groupe va voir après avoir longuement hésité ne sachant pas ce qu’il y avait en haut. Les marches sont un peu grandes mais il arrive en haut sans problème. Le haut est fait de grandes marches en bambous entourant une statue en pierre. Sur chaque marche repose une boule en métal noir et très lourd. Le feu derrière n’a pas changé. Il redescend avec la boule. On se rend compte que la statue bouge et se tord. On se demande si c’est à cause de la profanation. La boule, elle, est molle et on lui donne la forme d’un S. La statue nous fait peur et on pense à remettre la boule là où elle était. Le père monte, dépose la boule après lui avoir donnée sa forme originelle et saute pour redescendre sur le haut des marches. Il rate son coup et tombe. Le programme de la colline se met en marche et des serres tranchantes l’accueillent en bas. Il est aussi mangé par on ne sait pas quoi et il se sépare en deux avant d’avoir touché le sol. On pense que c’est le châtiment pour avoir profané la colline.



Rêve 86

On est dans une maison qu’on cherche à quitter. Une fois que c’est fait, on est dans une ville portuaire dont la liaison avec la mer est une grotte pas très haute suivie par des récifs qui tracent deux sillons. Comme on cherche à quitter le port sur un bateau, on va voir les récifs pour prendre des repères à marée basse aidé d’un marin qui connaît. On retourne au port.



Rêve 87

J’habite dans un immeuble de vingt ou trente étages en verre et je vais manger au restaurant universitaire juste à côté. J’y rencontre un type qui me donne trente francs, des petites pièces et un jeton de lavage pour un repas. Je lui dis que c’est 12,30 le repas, on refait les comptes et il part avec ma carte. Je me dis que s’il a voulu me donner un peu plus de trente francs c’est parce qu’il avait trois repas à payer. Je le suis donc et il est effectivement avec deux autres personnes mais ne semble pas vouloir payer trois repas. Je finis par le perdre de vue. Dans le restaurant universitaire, beaucoup de gens sont debout, il n’y a pas de table et une scène est installée. Aerosmith va y jouer mais avant cela, ils descendent de la scène et inspectent les spectateurs. Ils en choisissent une vingtaine dont moi, le dernier car je cherche à ne pas être choisi : donc je me déplace. Finalement, être choisi consiste à jouer un petit morceau qu’on connaît. J’essaie le début de Fade to black sur une basse dont les cordes sont détendues. On n’entend presque rien. Puis, je suis dans une salle de cours. É me tombe dessus et je reste contre sa poitrine environ deux minutes sans rien faire et profitant passivement de la situation.



Rêve 88

Je suis dans la maison familiale avec H et C au moins. Je suis intéressé par la guitare et donc je vais en chercher chez G Brassens. J’en trouve de toutes tailles de même que des violons tous neufs et de bois clair. Je vole le tout et rentre chez moi. Je finis par me rendre compte qu’H va voir que j’ai un tas d’instruments et je les cache dans un appentis pour bricoler. J’ai longuement réfléchi à l’endroit où je pourrai les cacher mais finalement, j’ai trouvé une raison pour ne pas les cacher et je les laisse où ils sont.
Je me balade dans la campagne avec É, F et É. On est près d’une rivière et je rejoins les autres en passant sous une clôture de barbelés. F doit masturber les hommes mais É me dit qu’É… un signe du bassin, pour dire qu’elle est une femme. Je me rhabille et É me fait signe que G arrive au loin (on voit une tache blanche et noire en spirale dans les buissons). Elle approche et nous demande si ça va…



Rêve 89

Je quitte une ville à pied avec mon sac sur le dos. Soudain apparaît un ouragan. Il dévaste tout et je parviens à l’éviter de peu. Je crains pour mon sac mais tout y est dans l’ordre. Je marche dans la campagne et commence à traverser un champ. Je veux retourner sur la route mais une clôture sur le fossé m’empêche de passer surtout qu’un cheval méchant est dedans. Vingt mètres plus loin la clôture est remplacée par une haie d’arbres que je traverse.
Avec F, on fabrique un journal. On est très content des articles mais on le cache avant la parution, même avec des copains, quand on se balade dans un marais.



Rêve 90

On est dans une tour avec les joueurs de Rêve de dragon. Ils demandent à jouer et ajoutent que c’est le seul jeu où on peut fumer… On monte des marches et à un étage on rencontre l’administrateur du coin. Il nous cause et on redescend jusqu’au rez-de-chaussée. On voit une bosse en pavés et en sortant, je leur dis que c’est une pierre vieille de quatre milliards d’années. Ce n’est pas vrai des pavés mais à certains endroits il en manque et dessous on voit une pierre.



Rêve 91

H G nous a invité à manger chez elle et S M. Je passe de la cuisine à la salle à manger.



Rêve 92

Je suis une petite créature souffre douleur de deux sorciers. Je les ai fuis et je suis en campagne proche de quelques maisons qui peuvent être une ville. Je suis dans un champ fermé que je quitte. Je traverse un champ à découvert mais apparemment je n’ai pas été vu et je continue dans un champ de blé vert. Je finis par arriver à ma cabane dans un arbre à côté de la maison du sorcier. Je vois les sorciers arriver et je me montre. Ils montent dans la cabane et je tente vainement de me cacher. Ils me retrouvent, m’immobilisent et font ce qu’ils voulaient faire : me triturer les genoux avec des instruments de chirurgie. Ça me fait mal et drôle aux genoux.



Rêve 93

Dans un bois, un homme massacre à la tronçonneuse des enfants. Certains essaient de l’attaquer avec une hache mais le dos de l’homme résiste et il massacre l’audacieux.
J’arrive en voiture sur un port fluvial. On arrive d’Angers et on a mis une heure et demie pour venir. Au moment d’embarquer mes affaires je me rends compte que j’ai tout oublié chez moi. Je passe en revue ce que j’ai oublié et seuls les jeux de rôle ne sont pas dans la liste. La famille est avec moi et on me dit que si J P avait été là, il aurait pu faire l’aller retour en deux heures (le temps qu’il reste avant le départ).



Rêve 94

J’habite chez les L. La maison est presque la même mais la mer est de l’autre côté. Je vais à la plage mais j’ai oublié mon shampooing. Je retourne à la maison et vais chercher dans ma chambre le shampooing et y remet le livre que j’avais pris car j’estime ne pas en avoir besoin. Après plusieurs allez-retours dans ma chambre car je me trompe souvent d’objet à prendre, je passe devant la chambre de T enfant. Je remarque que la porte est ouverte et qu’elle me regarde. Je lui demande ce qu’elle veut et me propose une partie de Risk. Je préfère aller à la plage et on commence une partie de Stratego modifié : les canons peuvent charger et attaquent à cinq quand ils chargent de deux cases, comme le général, et à quatre pour une case. J’enlève une case remplie par un pion vide.



Rêve 95

É et moi parlons. Elle me dit de venir en Normandie. Je la félicite.



Rêve 96

On est plusieurs à se balader en forêt. On prend une route qui est parallèle à un chemin et une autre route. On arrive à une grande route qu’on suit. On sent venir au loin des tanks : on va se cacher derrière des buissons. Une fois passés, on se rend compte qu’en dessous de nous, c’est plein de galeries. On visite et on s’en fait une maison. Une des dernières salles a un accès caché vers l’extérieur. J’en fais ma chambre dont une porte est fermée par une clé minuscule et la chambre d’ami est juste à côté. En fait, la sortie de secours est sur un pont qui traverse la rivière de la ville. Vue de loin, la ville ressemble parfois à Carthage avec son temple du dévoreur. Vue de dessus, le pont est un pont de chemin de fer, même si seuls nous pouvons passer dessus. Puis, la sortie de secours est un bateau traversant la rivière en un endroit en sécurité. On l’essaie mais on se dit que si on veut que le truc marche, il ne faudrait pas. On note que le bateau ressemble beaucoup au pont.



Rêve 97

V est avec nous à la R. Il y a là-bas, moi, É, H, H, L, F au moins. On est là d’après lui pour fumer du shit. Bon. On verra. Il dit que c’est la raison de son invitation.
Un joueur de foot quitte son équipe (Lyon) pour diriger l’OM. Il l’a fait car lui et L n’ont fait crac boum que dix heures. Il en montre sa bite et ses couilles.
On voit J P P à l’œuvre. Il écrit à la machine le mot foot mais sur celle-là se trouve une touche double o à côté du o et au dessus de l’espace. J P P appuie sur l’une et sur l’autre sans s’arrêter. apparemment, la rondeur du o lui rappelle un ballon.



Rêve 98

Je suis avec A et d’autres personnes. Elle me dit qu’elle est avec M et l’embrasse. Je fais comme si de rien n’était mais mes yeux sont humides. Puis dans une maison, elle va dans une chambre où M est au lit et l’enlace.
Je suis dans un amphi et je m’emmerde. Les cours de physique mathématique est nul, comme le professeur. Au moment où je me lève pour aller au fond pour rejoindre V et compagnie, le professeur m’interroge sur le cours. Je lui réponds que je n’ai pas envie de répondre à sa question et que ça me fait chier. Je m’installe au fond et discute avec les voisins.
Je viens de quitter H et la famille pour me balader en forêt. Je passe un pont en métal et je suis dans des sous-bois marécageux près d’un étang. Je commence à m’y perdre quand je vois un couple et leur enfant marcher dans ce marais. Je les suis et finis par arriver à un refuge, touristique il faut l’avouer.
H et moi, on quitte É, F, L et É situés dans un champ derrière la H B. On rappelle les chats chez les B et on rentre. J’y trouve tout le monde dans une grange. É et F ont fait l’amour à É (du moins je le pense) et le matin, le réveil est dur.



Rêve 99

image n°1 du rêve 99 image n°2 du rêve 99 On est sur une planète jungle et on discute. On est une bande d’amis. J’ai un appareil constitué de facettes dont le milieu superpose les souvenirs de mon enfance à ce que je vois. Mon enfance signifie ma planète natale. Puis on vote le nouveau bureau des élèves. les non cotisants ne sont pas dans l’amphi, mais M y est. M à ma gauche écrit d’elle « M est trop naïve et « saillante » pour être au BDE. » Moi « Les mêmes que l’an dernier sauf bar et VP sponsor. » Il n’y a que très peu de réponses sérieuses et très peu d’inscrits. M est devant nous et se demande encore ce qu’on a pu faire. Puis on revient sur la planète jungle. Le chef de l’ancienne troupe écrit son livre et rentre au village. L’entretien des alentours du village diminue et tout est sinistre. Les maisons sont basses, rondes et en cloche. C’est la nuit donc la lumière est bleue-sinistre. Le retour au village est filmé et on s’attend à une catastrophe du style plus personne à son village. Puis le chef est vieux et seul. Il s’est mis sous une pierre et la laisse descendre. Il écrit pendant ce temps son journal et regarde quelquefois dans son objet à facettes et voit beaucoup de couleurs. Il se suicide car la planète est envahie par des pelleteuses qui font des routes et modernisent tout. On se rend compte que quelqu’un est là-dessous car des tiges mises sous la pierre sort un liquide jaune puis rouge. Le jaune est normal car c’est le liquide qu’on s’injecte. De petites grenouilles aux couleurs vives viennent regarder le liquide. Ce qu’écrit le vieillard est sombre, proche de la mort et désespéré. On le sauve et on lui explique l’histoire : le but de l’affaire est écologique et très étudié. Le vieux chef comprend et s’allie avec les constructeurs. Il habite une grande maison coloniale à un étage située près du lieu de son suicide raté (une route y passe près). Dans une salle de l’étage il parle avec une personne de la compagnie et une lance jaillit du couloir. Un indigène au ton très amazonien s’enfuit. L’ancien chef y reconnaît un de ses anciens amis, le rattrape et lui explique ce qui va se passer. Cela calme l’autre qui s’explique avec un accent petit nègre. Il sort de la maison et s’excuse. Il est abordé par un collaborateur du grand chef qui lui dit que les raisons qui l’ont motivé (la jalousie) ne sont pas très dignes. L’indigène comprend qu’il a été « corrompu » par le mauvais côté de la chose. La salle où était le grand chef était remplie de bazar en bois de couleur rouge-marron et peu éclairée.



Rêve 100

É et moi on conduit un tracteur pelleteuse. On en descend, on fait le tour et on remonte dedans.
Des gens visitent une maison vieille du Moyen-Âge dans les murs du château de F. Je les y enferme en bloquant toutes les portes. Seule une est encore ouverte et je vais m’en charger. Je suis un fantôme. Les gens ne se sont pas encore aperçus ni de leur emprisonnement ni de moi.



Rêve 101

Je survole un château dont les tours sont très hautes et qui est sur une butte de sable dans un lac. Ce château a une forme irrégulière et l’entrée est dans trente centimètres d’eau. Puis c’est un immeuble que je survole. Je le surveille, même. J’y remarque d’étranges radiations en métal plus ou moins liquide. J’entre dedans. Son architecture est compliquée mais je ne m’y perds pas. J’y trouve un couple de lesbiennes et je me fais l’une. Je lui fais l’amour, on discute et elle me dit qu’elle aime bien son amie et qu’elle ne regrette pas cette expérience hétérosexuelle. Les deux ne sont pas très humaines mais néanmoins très jolies. Puis l’immeuble est attaqué par mes amis. Ils montrent des photos pour raison de leur attaque. Ils supposent que l’intelligence de l’immeuble se trouverait là.
On est dans l’amphithéâtre E. J’ai rangé des figurines dans le tiroir d’un meuble de la salle. Je les cherche et A passe. Je m’en vais. Une des figurines est le guerrier celte au bouclier. On me dit que j’ai raté A de peu. Je regrette de m’être occupé de M alors que j’ai A sous la main. Je vais la voir et on discute en traversant une route vers une petite gare. A ne s’intéresse plus à M car il va partir (une obligation quelconque).


Rêve 102

On est dans une ville en guerre. On est des soldats et on va chercher une personne dans un immeuble. On envoie l’équivalent d’un grappin dans le pâté de maisons en face et qu’on suppose être l’endroit où il est. Le pâté se précise et on peut distinguer des maisons d’une couleur ocre-orange. Derrière le pâté se trouve une grande barre qui domine tout. On s’approche et on passe dans une place. Puis la barre se transforme en un rocher que je commence à grimper. É est en bas, dans un jardin public, et m’aide à descendre car je suis coincé. En bas, on se balade et on voit en face, une cabane bizarre. C’est la baraque où Karl Zéro sort ses histoires. Des grandes feuilles A2 en sortent. On les lit et on essaie de ne pas en perdre, car la feuille, une fois imprimée, est cachée dans la machine dans un endroit inaccessible par nos mains.


Rêve 103

Je nage dans la mer et évitant les requins. J’arrive au bord de la côte et je me dirige vers une rivière. Dans celle-ci, j’arrive à droite sur une maison où une seule personne habite. On est les deux seuls sur Terre. Je vais derrière la maison, trouve un WC et me masturbe dedans. Le propriétaire de la maison m’a appelé pour me dire quelque chose à propos de ma solitude.


Rêve 104

M vient me voir et me demande de l’aider en informatique sur un programme de traitement d’images. On monte un escalier relativement étroit puis on arrive dans la salle. Au fond, près de celui de M, je vois deux écrans l’un en face de l’autre et formant un angle de 100° environ. Dessus sont affichés des positions d’étoiles et on avance dans ce plan en trois dimensions d’une partie de l’espace. C’est vraiment réaliste.


Rêve 105

Je suis à l’A dans le champ des moutons. Des chèvres me courent après. J’essaie de les chevaucher mais elles bougent tellement que je tombe. Je me fais bousculer encore. Mon unique espoir de survivre est de m’approcher des barrières, monter sur une chèvre et sauter par dessus la barrière. Ce que je fais après beaucoup d’efforts. Une fois dehors quelque chose me cherche encore. C’est H et il me force à aller sur le toit de la maison. Une fois en haut, il casse les briques de verre qui font la liaison entre les deux versants du toit. Elles ont cette forme : ⅄ et le haut seul est cassé (c’est un petit cylindre), ce qui coupe ma main dans la paume. Je le crie à H que ce n’est pas très malin d’avoir tout cassé.



Rêve 106

On est dans un complexe lycéen ou un campus ressemblant à une usine en tôles. On est là pour manger au restaurant universitaire. Mais je n’ai pas un sou car j’ai tout oublié à l’A. J’ai encore les positions respectives des objets préparés et oubliés. A me prête dix francs pour payer le repas qu’on paie aux serveurs du plat principal. Le restaurant est très grand et la salle à manger a des tables, des bancs relevés au bout… et beaucoup d’espace. Puis je me rends compte que j’ai oublié tout mon matériel de Rêve de dragon, pour jouer avec A, C, M, O, F, V… On va d’abord à un spectacle théâtral. Je m’en vais en douceur pour chercher une voiture. Je sors du complexe et demande à des adolescents qui traînent une information. Ils sont cinq et me sautent dessus. Ils essaient de voler, dégrader la voiture, me parlent méchamment… Bref, des teignes. J’arrive à me débarrasser de quatre, celui qui reste est là pour me voir craquer mais je tiens bon. Au moment où il sort de la voiture, j’en profite pour fermer les portes et foncer vers le campus. J’ai oublié le coffre en espérant que le gosse n’aura pas l’idée de l’ouvrir. Il ne l’a pas eue. Je rentre dans le campus et prends en voiture le trajet qu’on a fait à pied (le chemin est couvert par les tôles, il est aussi sombre). Je cherche les autres dans le théâtre mais ils sont à l’extérieur en train de causer.



Rêve 107

Je marche au bord d’une route en bocage, entre E et L. Des flics passent en voiture et me demandent mes papiers. Ils les prennent et ils s’en vont. Je crie que ce n’est pas légal et qu’ils doivent me les rendre, mais ils sont partis.
Je fais de la randonnée en collines boisées. Je prends largement de l’avance et aperçois les retardataires trente mètres plus bas suivant le sentier sinueux. Celui-ci passe par dessus des fossés, des troncs d’arbre… La forêt est très verte et couverte de feuilles mortes. Le terrain est très pentu et le sentier est donc très sinueux. Arrivé en haut, des animaux dans et autour d’une piscine m’attendent. Je nage avec eux et on parle.



Rêve 108

Stormbringer. Je suis au service de Kakatal et on m’a donné du boulot. Je dois aller de la campagne où je suis vers une clairière où se trouve du beau monde. Arrivé là-bas, je vois tout ce beau monde assailli par des oiseaux. Je décoche des flèches pour les sauver. Je pense qu’Elric est dans le tas. Je m’occupe de sauver tout particulièrement une noble dame. Mission accomplie et on parle. On est ensemble sur le champ de bataille. J’essaie de lui faire l’amour, mais elle a ses règles et ça lui fait mal rien que quand je la touche trop près. J’essaie deux fois et une fausse troisième. On reste enlacés mais je sens des mains d’enfants qui me griffent. Je les chasse mais elles reviennent plus nombreuses pour me griffer le cul. Je demande ce que c’est et on me répond que c’est ma punition de serviteur de Kakatal, seigneur du feu et des oiseaux, pour avoir tué un oiseau en pensant à autre chose que tuer un oiseau : sauver le beau monde…
Je suis dans une vieille maison qui pourrait être une ferme. Un geôlier me menace parce que je n’ai rien à faire ici. Je recule et prends les clés des prisonniers qui sont derrière moi. Je fais semblant de me casser la figure sur un tas de paille en bottes. Les prisonniers de cette salle s’en vont en pagaille puis je fuis par la porte du bas en espérant que le gardien ne me rattrape pas. Je traverse une salle sûrement inconnue de la maison puis ouvre une porte. J’arrive en face de la salle de bain de la dame (du rêve au dessus). Je m’y réfugie et elle est assez autoritaire pour que le geôlier ne me suive pas.



Rêve 109

On est sur une île fortifiée à faire la fête entre étudiants (E et autres). L’île est touristique et des bars y sont installés. Je m’y fais chier car je suis seul. Je vois à côté des bandes qui picolent ou qui fument. J’essaie de trouver du monde mais je ne trouve personne. Je vois C en fin de soirée qui me dit où ils sont. Mais le bar est fermé. Quelqu’un a allumé toutes les lumières de l’île. On les voit à onze kilomètres à la ronde grogne quelqu’un. Je vais sur les remparts et un gosse en plonge. Je me demande ce qui arriverais s’il se prenait un rocher à dix mètres. Je continue à me balader et je cherche un appartement dans une ville qui est Berlin. Elle est surmontée d’une colline, elle-même surmontée d’une falaise. J’ai trouvé un appartement à peu près sous la falaise. Je range mon vélo puis je vais faire un tour dans les rues. Je sais que j’habite pas loin de chez K et d’un quartier chaud et pourri. Je l’ai essayé. Je cherche T. Je m’y balade avec ma copine et montre à un passant un passage vers une pute caché par une rampe en bois. Je cherche T pour lui montrer où sont les putes… Je fais l’amour à ma copine, mais on se contente de flirter.

Rappelle un rêve à Marseille. Je me baladais sur une colline qui dominait la ville. Un jardin public était installé dessus. J’avais un appartement dans un HLM du coin. Ensuite je vais sur la plage.



Rêve 110

Je suis dans une ambiance lovecraftienne. On est en train de découvrir une vérité sur les hommes serpent. L’un d’eux est parmi nous. On s’en va de la pièce sombre où on est.
Je suis en bateau dans une mer froide. J’accoste en terrain glacé et enneigé avec ma femme et mon gosse. Des vikings accostent après nous. Ce sont des femmes. Elles m’appellent Thorgal et j’essaie de m’enfuir, de me cacher dans un buisson.
Avec des amis, on est près d’un chemin herbu. Je discute de sorts que j’y ai trouvé. S parle d’un type plus chiant que lui et qu’il a rembarré joliment. D approuve.
On est dans un château, É, H, H et moi. On cherche la sortie en descendant. On voit qu’il est en trop mauvais état et on va le réparer. On range les branches de l’arbre, on nettoie, on fait un bassin en l’air, on pousse des branches énormes… C’est un arbre gigantesque, en largeur et en grosseur.
Je dors et pense à ma copine dans un lit monoplace. Dans un lit à côté elle dort. Je me réveille et vois qu’elle n’est plus là. Elle revient. C’est A mais pas ma copine. Je suis surpris car elle fait comme si j’étais son copain.

Me font penser à deux rêves : un dans un château où on grimpe dans une tour avec des vitraux. On grimpe dedans et au dehors sur un escalier extérieur. À l’intérieur, le plancher est troué en croix. L’autre : je me balade dans un marais aménagé. On y trouve une structure en verre-métal où des bateaux sont accostés. J’étais dans la structure et j’y ai foutu le bordel. Je prends un bateau et m’enfuis ? Je marche aussi le long de chemins autour du bâtiment.



Rêve 111

Je fais la guerre sur l’eau. J’ai des bateaux que je construis. Je mets les canons dessus. Sur un des bateaux une batterie de canons a une portée de cinq. Malheureusement, ils sont à quatre du bord du bateau en lego. Je ne peux tirer qu’au contact avec ceux-là. Au-dessus j’ai des canons beaucoup plus puissants. Un petit bateau ennemi passe à portée. On lui tire dessus et on finit par l’avoir. Il était tellement petit que les obus passaient à côté. On l’a coulé en le noyant d’eau. Une rescapée monte sur notre bateau. Elle est mignonne et je m’en charge. Une fois sur terre, je me rends compte que c’est un homme et que je lui ai fait des avances. On est avec d’autres marins et finalement je me laisse convaincre de sortir avec lui. On se donne la main. Il ne parle que l’anglais et je dois parler anglais. On se balade au bord de la mer et on cause en anglais. Un moment, il m’embrasse et veut échanger sa salive qui a un goût de poulet. Je ne veux pas et il ne le fait pas.



Rêve 112

Je suis dans les couloirs d’un réseau souterrain. J’ai un fusil un coup, je le vois quand je démonte le barillet. Je braque quelqu’un et lui prends son pistolet à plus de coups. Je vole et la police me cherche. Personne ne me voit car personne ne lève l’œil. Je cherche à monter pour sortir à l’air libre. J’y arrive en suivant des couloirs que je semble connaître.
Je suis dans une caverne et je cherche un passage secret pour en sortir. J’en trouve un mais la sortie est au plafond et donc inaccessible. Je trouve un autre indice qui me dit de chercher le neuvième. Je cherche partout et trouve à deux mètres du sol une douzaine de renfoncements rectangles. Le neuvième à partir de la gauche est rempli de bouse séchée. J’appuie dessus sans m’en mettre plein les doigts et une porte s’ouvre, là où j’avais déjà vu un escalier. La suite de cet escalier se forme dans la pierre et un rayon de lumière apparaît. Je sors par là. Dehors, je fais la guerre contre une autre personne pour la possession de la planète. Lui la veut noire et moi blanche.

Ce rêve me rappelle trois passages. L’un est une course dans les couloirs d’un métro. Les couloirs sont à section rectangle et courbés. Il y a du monde partout, dans les escaliers roulants aussi. Dans un autre passage, on attend un train de banlieue. Dans un troisième, on court pour attraper un TGV, ou un train quelconque.



Rêve 113

D joue de la guitare avec un cul de bouteille. Elle joue sous les cordes et les emmêle.



Rêve 114

Je me balade en campagne, sur une route et en direction d’une ville que j’ai déjà visité en rêve, j’en suis conscient. J’arrive à la ville au musée et au jardin public et vais directement au musée. C’est une maison en vois sur un éperon rocheux. On y accède par un pont en bois avec un panneau charge optimale six cents kilos. La maison a deux étages et ses fenêtres énormes. Je frappe et un homme m’ouvre pour visiter. C’est son école et sa maison. La première au rez-de-chaussée et le deuxième au premier étage. Je monte visiter l’étage et il m’installe dans une chaise dans un salon relativement vide. Au-dessus, il me répond qu’il y en a assez pour un piano et je vérifie moi-même. C’est beaucoup plus grand que je pensais (une aile de la maison en angle droit avec le troisième, réduit, qu’est le clocher).



Rêve 115

On est trois ; on monte en voiture pour quitter une maison au milieu d’une pelouse et dans une forêt. On roule et je sors avec une amie. Le troisième est le conducteur, il ressemble à Frankenstein. On débouche d’un virage et on voit un campement de saltimbanques. On s’installe avec eux en leur proposant un nouveau manège (une roue). On s’intègre facilement. Les villageois veulent nous expulser manu militari. On n’est armé que d’arcs de pacotille et de couteaux dont les lames font cinq millimètres environ. On les fait hésiter en les traitant de lâches… Pendant ce temps, on essaie de trouver des idées : casser les arcs pour en faire des nunchakus ou armurer une personne et construire en même temps un système de communication. Je m’occupe du chef que je roue de coups où je peux (sur la tête…) et les villageois hésitent d’autant plus qu’on leur demande où leurs enfants vont s’amuser si on n’est pas là.



Rêve 116

C (ou F) et L ont loué des chambres dans un hôtel situé dans une église, plus précisément dans le clocher essentiellement constitué de vitraux. Je décommande ma chambre louée ailleurs pour aller avec eux. De l’intérieur, je me rends compte que c’est bétonné, comme un motel normal. La ville où l’hôtel se trouve ressemble à Rennes et à Strasbourg futuristes et médiévales.
Avec les mêmes, on suit une voie de chemin de fer en évitant de se faire repérer par un quelconque usager, et on y arrive.
Les mêmes, sans C mais avec É, on est au gymnase universitaire, au mur. On a amené nos affaires de camping comme énormément de gens ici. On a même du mal à retrouver nos affaires. L’alvéole a été un peu changée. Ils ont rajouté quelques prises rose fluo et en ont enlevé un peu. Le mur a l’air de plaire à É.



Rêve 117

Je suis un petit garçon dans un château fort de vingt mètres × vingt mètres. Je me bats contre le chef ennemi, qui dirige un monastère sataniste. Je lui donne une épée et j’en prends une. On combat et je change d’arme fréquemment. J’essaie même une épée sans poignée, que je donne au roi ennemi. Il trouve l’autre moitié de l’arme et je réponds que je ne sais pas me battre contre ça, même avec une masse. Je fuis mais les portes épaisses d’un mètre se ferment. Tout le monde se met à me manger tout cru. C’est épouvantable. Non, je réussis à passer sous la porte mais je me fais écraser. Non, je passe et appelle mon père pour avoir un cheval. Il est loin mais m’en envoie un. Il s’ensuit une course poursuite complètement folle. Les ennemis m’envoient des boules de neige pour me faire tomber. Autour de moi, mais pairs fuient eux aussi dans le plus complet désordre. En haut d’une colline j’espère voir l’arrivée, mais non, ce ne sont qu’un ou deux hameaux dans la neige.
On revient d’une campagne réussie dans la forêt de Mirkwood, le bois aux araignées. On revient de chez l’homme des bois. On est dans un champ et on a le choix entre deux ponts qui passent au dessus de l’Anduin. L’un a deux rebords et l’autre un seul mais deux fois plus haut. On choisit ce dernier, car plus près, et malgré une appréhension. On le traverse et l’un de nous se fait attaquer le pied par une bande d’insectes. Le pied n’y survit pas. En tant que médecin, mon personnage féminin sort des herbes pour guérir tout le monde. Ce sont les mélanges qui guérissent le mieux (les salades). On est maintenant dans une cave. La puissance maximum de mes herbes est de neuf et je me demande si ça va être assez. On était passé par un champ herbu pendant un crépuscule. L’Anduin était au fond d’une gorge crayeuse qu’on ne pouvait traverser qu’en passant par l’un des deux ponts. C’est A qui a le pied détruit.



Rêve 118

Je suis Lino Ventura qui veut échapper à la police. Il profite de la course de Monaco pour rouler et se faire passer pour un coureur normal. Je finis par y arriver et par me sauver en camion au nez et à la barbe des flics. Le camion m’attendait sous un pont.
On est une bande de sympathiques beatniks vivant dans la jungle montagnarde. Notre abri est à ciel ouvert et on y cache du shit. Des flics viennent nous chercher et on fuit. On se retrouve dans des toboggans en terre avec de la paille pour glisser et poursuivis par des hommes lézard. On essaie de ruser pour les éviter en changeant brusquement de direction, mais ils sont nombreux. On s’enfonce progressivement sous terre avec É, puis on débouche sur une salle taille géant. Les lézards ne sont plus là. En revanche, É se fait attraper par la langue d’un homme caméléon géant. Pendant que ce dernier dort par terre dans sa chambre sous un toit et à moitié éclairée, j’en profite pour sortir de ma cachette et pour l’étriper pour retrouver É. Je n’y trouve que des sardines. Il me dit que je ne trouverai pas É. Il me donne une clé prise dans un trou du mur/toit. J’ai deux trous et je vois sous moi une fente en carré. Je tourne la clé dans le trou le plus près. La trappe s’ouvre et je ne tombe pas car j’ai fait un écart. Je lui dis que je ne suis pas si con. Il a retrouvé une taille humaine et je plonge dans le trou où j’ai vu la mer. J’arrive à D, dans le port. Je suis nu à part un collier de pin’s. Je n’ai pas un rond pour téléphoner. Je quête le long de la route qui va à S M par la côté. Je demande à un flic mais il ne veut rien donner. Un petit marché aux bibelots est organisé plus loin. Je demande de l’argent à une marchande de pin’s. Elle sourit et me donne deux pin’s d’une boîte. Je m’en vais en la remerciant. C’est l’hiver et la nuit va tomber.



Rêve 119

Je traîne du côté de l’endroit où se trouvait l’U. On y trouve maintenant des laboratoires, la maison d’É, moi et H et celle de M. É cherche H pour lui faire une crasse et moi M. Je la trouve chez elle et on fait l’amour. D’autres personnes comme É passent et on discute.
Je suis dans le métro et une femme noire. Je suis dans la ligne Montparnasse-Gare du nord. Je descends aux environs de Cité. La sortie est un escalier en fer extrêmement haut. Il tourne et par moments, aux paliers, il n’y a pas de rambardes. En haut, il faut presque sauter au dessus du vide pour arriver à l’étage du dessus. Là, c’est un circuit d’eau. On saute dans une caisse en fer et on suit un chemin où l’eau est reine. Après quelques mètres de progression, les caisses changent de sens et on monte. Les caisses disparaissent pour laisser place à des bandes en caoutchouc qui nous emmènent en haut. Le parcours se poursuit en dents de scie : la partie mélancolique. Puis une super descente qui aboutit à un matelas en mousse. En bas un labyrinthe nous attend. À droite, je m’amuse dans une boucle et on semble trouver la sortie facilement car les murs du labyrinthe font deux centimètres de haut. Tout l’ensemble est en mousse. Je redevenu moi et F au moins m’accompagne.



Rêve 120

On s’approche de la maison des S (C et A) et on entre. C’est en fait le prolongement d’une communauté et d’une tour reliée à un couloir. Ces deux derniers sont en verre. Le couloir relie l’arrière de la maison en haut de la tour. La tour a, suivant son axe, une spirale de matière ressemblant à du plastique et bordé de tissus qui va de bas en haut, comme un escalier en colimaçon. On le prend, ma copine et moi, à partir du couloir, pour voler un petit artefact magique en cristal opaque. Je le prends et me sens mal. Elle me le prend en me disant qu’il est empoisonné pour ceux qui ne sont pas de la communauté qui ressemble beaucoup au Bene Gesserit. Je le reprends et le lâche. Il se fracasse vingt mètres plus bas. On en est tous retournés et on va essayer de trouver quelque chose pour le remplacer. On s’en va et on se retrouve au milieu d’un ensemble de bâtiments qui rassemblés feraient un manoir-château. On y fait du cheval dans un camp où tout le monde s’amuse. On s’en va.
Je suis dans une plateforme penchée sur pilotis. Elle est reliée au sol par une rampe couverte, sur pilotis. C’est notre village. On y attend les Blues brothers et un volcan envoie de la lave. Il nous coupe complètement du reste du monde. Une coulée de lave coupe la route montagnarde qui nous amène les Blues brothers. Justement les voilà. Un paysan rescapé grimpe sur la rampe pour nous rejoindre. D’autres coulées nous encerclent. Dans la plateforme, tout le village est réuni, c’est la scène habituelle des catastrophes naturelles.



Rêve 121

On est deux agents secrets surarmés. On a volé un bazooka révolutionnaire. On l’a essayé. Les possesseurs nous poursuivent aidés de leurs agents. On se croirait dans un film et on rôde du côté de l’école privée à M. On fait un massacre. On voit de loin deux personnes qui nous ressemblent beaucoup se faire arrêter par des agents. Cela se passe en plein soleil. Les agents voient l’erreur mais les déshabillent puis les sodomisent. Non, on voit ça dans une bande dessinée qui retrace nos aventures, et on est morts de rire.
Une personne nous demande le chemin de Nürnberg en me montrant une carte. Je regarde, reconnais quelques villes et ne me trompe pas car la ville est en dehors de la carte mais indiquée avec des flèches. Finalement, j’en déduis qu’elle est dans une route circulaire, indiquée sur la carte contrairement à la ville.
S me poursuit, moi et É P. On est dans une forêt en montagne. Il est relativement loin pour ne pas nous faire du mal mais assez près pour nous suivre. Un moment, É trébuche et je le porte. On arrive en ville et S nous poursuit encore. On dirait Amsterdam et Prague. La ville possède deux églises toutes proches : l’une catholique, l’autre protestante et de style gothique. S nous poursuit et je commence à voler. Je lâche le cadavre qui m’encombre et on commence une course poursuite endiablée. Je ruse pour l’éviter. Je passe par dessus des pâtés de maisons en grimpant dessus et il suit. Ensuite, je suis la rue d’après mais il est encore là. Je finis, ultime ruse, par sauter plusieurs rues à la fois. Il me perd mais je m’étais caché dans une sortie de cinéma. Il est passé pas loin et dès qu’il a le dos tourné, j’ouvre la porte à la volée et m’envole. Seulement, S L qui passe par là me reconnaît et pouffe de rire et je ris aussi. S D se retourne et rit aussi. Je vais voir S L pour lui demander ce que je fais ici et elle me renvoie la question.



Rêve 122

On se promène sur une île couverte de landes. Notre équipe rencontre S L. Il nous emmène, un peu à contre-cœur pour nous, dans son île. Elle est à côté mais il faut traverser un gué pour y arriver. Pas de chance, la mer monte et l’a déjà recouvert d’un mètre. On traverse le gué, le courant est fort mais ne nous gène pas. On arrive à voir où est le gué : une marque lisse se voit sur la mer. Puis quelques chose me tire là d’où vient le courant. Ça m’emmène sous l’eau et je dois éviter ce qui me vient à la figure. J’essaie de deviner ce qui me tire et où est le fil. J’essaie de voir un poisson mais c’est fugitif comme impression. Tout est très coloré, contrairement à la normale dans cette mer qui est quelque part du côté de l’Irlande ou de l’Écosse.



Rêve 123

C’est la nuit dans un endroit boisé. M est la Mort et moi je suis la déesse qui tue avec son regard. Je la fixe mais elle me fait froid dans le dos. finalement, on se rapproche et on fait l’amour. On est des hommes et j’éjacule.



Rêve 124

Je suis prisonnier d’un méchant magicien et de son acolyte. Il me tient dans une maison isolée sur le bord de la mer. La maison est en bois et entourée de quelques arbres. Il me tient d’une façon sommaire et psychologique. Je sers ses travaux. Une barbare montée sur fauve vient m’aider à le battre mais elle aussi succombe au mal. Il lui envoie un voile noir auréolé de noir et elle s’écroule de douleur. Ce voile ne me fait rien, juste penser que je suis sûrement corrompu. Je ne sais plus si on arrive à s’échapper.
Concours dans une salle dont toutes les tables ressemblent à celles de TP électronique. Je cherche une place proche de quelqu’un de bon mais je ne trouve qu’une table isolée des autres. Je tourne autour des tables assez longtemps avant de trouver puis je tourne encore.
J’ai un livre doré dans les mains. Je m’en sert pour photographier tous les livres d’une bibliothèque. Je me dis que ça ne marchera pas. J’ouvre le livre et toutes ses pages sont dorées. On peut gratter l’or pour lire ce qui est derrière. Je gratte un peu. Je suis dans l’appentis mais le sol est ensablé de gris. Je m’amuse avec les figurines peintes d’É qui sont en majeure partie des loups. H crie pour que je l’aide au congélateur et j’arrive sans me presser. Je ramasse les miettes d’or du livre et on peut les revendre, ce que je vais faire avec C. Je fais le chemin (de fer) à l’envers pour retrouver ce que j’ai pu oublier comme pelures d’or. J’arrive à l’appentis et tout le sol est retourné. Je ne peux donc plus rien y trouver.



Rêve 125

On est dans une tour transparente. Plusieurs classes sociales sont présentes. Ça se voit au fric qu’ils peuvent dépenser dans leurs études. L’atmosphère et la tour sont vraiment transparentes, comme du cristal.



Rêve 126

On est à l’A. On veut attraper un mouton à plusieurs. On le coince mais il s’enfuit dans le chemin par un trou dans la clôture. On met les moutons dans l’autre champ. Et les autres vont chercher l’autre mouton, qu’ils ne tardent pas à ramener. Je reste dans le champ pour fermer la clôture une fois qu’il est rentré. Il va d’ailleurs rejoindre ses collègues en sautant l’autre clôture. On remarque qu’il n’y a pas de clôture entre ce champ et le jardin, ni entre le jardin et la pelouse de devant la maison. Le mouton qu’on a ramené creuse dans le jardin avec ses pattes avant. Il les enfonce à la verticale dans une parcelle de salades et a une mine pas contente du tout. J’arrive à côté de la cabane et on trouve des planches pour servir de barrière. Malheureusement, aucune n’est assez longue pour boucher le passage. J’essaie d’en aligner pour que ça rentre mais je trouve une planche de lambris que je remonte comme je peux. C’est pas solide et pas grand. Le lambris cassé et remonté c’est vraiment nul.



Rêve 127

Je suis appelé par des gens bizarres à passer la nuit avec eux. Je me méfie et fais quelques recherches dans une maison au milieu d’un grand jardin. J’entre par le toit. La maison est ronde. Je poursuis mes recherches dans une agence exprès. J’y trouve que trois autres personnes ont été invitées. Elles ont toutes des noms étranges. Je remarque aussi que nos quatre noms mis bout à bout, modifiés et lus à l’envers, on obtient une formule, ou quelque chose de ce goût-là, pour invoquer un monstre. Je suis allé à la fête mais ils n’ont invoqué personne, du moins je crois.



Rêve 128

Je me promène en Russie. Avec des amis on va interroger un homme important au moment où il va entrer dans un car. On lui pose une question méchante, on est tous pliés. On s’en va. On prend une rue qui débouche sur la place pavée où le bus déposait ses passagers. Une russe qui était dans le bus me tourne autour. Elle est pas mal du tout et me donne ses clés. Je lui demande si elle a des doubles — oui — et lui dit que je lui enverrai mes clés une fois que j’aurai fait les doubles. On s’embrasse longuement. Ses lèvres sont pointues.



Rêve 129

image n°1 du rêve 129 image n°2 du rêve 129 On se promène le long du chemin de l’A et sur les champs à côté. On se rappelle un jeu de piste que j’avais fait. On en voit encore des peintures à côté de la route. L’un de nous devient bizarre et je m’éclipse en observant.
On fait une manipulation dans une salle de lycée. On voit en noir et blanc. Quelque chose me chauffe et me brûle la tête. Je vois quelque chose qui goutte du plafond. De l’acide renversé ? H et C vont voir. Ils reviennent et ils ont trouvé des gens en train de regarder un film en noir et blanc.
On visite un château médiéval appartenant à l’un de nous et qui meurt. C et deux autres ont des problèmes car elles tombent des rebords des fenêtres auxquels elles sont accrochées. Ils glissent et tombent de plusieurs étages. Je leur dis de s’accrocher au fer forgé qui est en dessous. En bas, les chuteurs n’ont pas pris tant de dégâts que ça. Il reste des canons dans le château. On s’en va en décapotable pour visiter la campagne. L’une de nous veut se suicider. Elle y tient et je fais retourner la voiture (on vole). Elle prend à manger et s’en va. Le passage est plat. Peupliers. On revient au château et on voit plein de touristes. On pousse une gueulante. Le propriétaire revient en tant que koala. Il enferme une personne à s’enfumer, il en transforme une autre en chèvre avec des pattes rabougries, il n’a de pitié pour personne, même pas pour nous.



Rêve 130

On est deux dans une maison. Dans une salle, qui tient dans deux étages, on y trouve de la paille et/ou du foin. La personne a programmé quelque chose pour qu’on puisse faire l’amour quatre fois, bleue, jaune, rouge, verte, sans s’arrêter ni être gêné.



Rêve 131

On est enfermé dans un camp de concentration. Je sais que c’en est un même s’il n’en a pas l’air. Les gens sont maigres. On réussit à fuir et évidemment, les gardes sont à nos trousses. On est sur un chemin forestier et on sent que les gardes ne sont pas loin. Je quitte le sentier et me cache dans la forêt. Le chemin longeait un lac très long. Je suis entre les deux. Les gardent passent pas loin et je m’enfouis sous des feuilles. Des gens passent sur moi et à côté de moi sans me voir. Ils s’en vont, sauvé ! Le camp était dans un bocage très boisé. Il n’avait pas vraiment de barrières mais on pouvait y trouver pas mal de miradors.



Rêve 132

image du rêve 132 J’ai une mission. Je dois retrouver quelque chose. Dans une tente ayant une forme bizarre. On peut y dormir à trois, un dans chaque longueur. On m’y a donné la mission. Je pars avec une plaque volante solaire. Le soleil se couche et le temps est nuageux. Je dois rattraper le soleil et les rayons du soleil. C’est difficile mais même sans soleil mon engin avance. Je survole ma mer, un champ de troncs très hauts… Je reviens et j’arrive dans une maison où la personne qui m’a donné la mission habite. Je vais la voir et veux l’embrasser mais elle ne veut pas. Je l’aime. Je lui parle de la mission.



Rêve 133

On est dans une rue pleine de bars et de restaurants. On boit un peu. C’est une vieille rue avec des maisons en bois et torchis.
Dans un bâtiment moderne, on suit des couloirs et on arrive dans une salle amphithéâtre. On s’installe au fond. Ma copine a les cheveux frisés et en touffe. Elle est une sportive chinoise et elle veut dénoncer le système. Elle veut se prendre une bonne cuite le soir avant l’épreuve dans l’amphithéâtre exprès pour rater. On s’installe au fond de l’amphithéâtre. Son entraîneur est là.
A me demande comment ça va avec M. Elle me dit que ça tombe bien car avec M ça ne va plus très bien.



Rêve 134

On vient probablement des cinémas. On est entré à la F et la librairie K. C nous quitte et embrasse M sur la bouche. J’en suis très triste car j’essaie de la remettre dans le bon chemin (le mien).
On est des esclaves dans une ville de pierre au milieu d’un désert du côté de l’Israël. Ou alors on est des prisonniers qu’on torture. On se révolte et on menace les anciens généraux d’attaquer la ville d’à côté. Ce sont eux qui nous attaquent. Ils sont à cheval et à chameau. Les remparts et la ville entière font environ huit mètres de haut. J’ai menacé d’envahir la ville d’à côté en haut d’une tour creuse et crénelée d’une façon pointue. On renforce les portes avec des pierres de taille de la taille de la porte en question. Les pierres sont énormes et même s’ils cassent les portes, ils ne pourront pas casser les pierres.



Rêve 135

A a du massepain en poudre chez lui dans une boîte de lait en poudre. On propose qu’il nous en passe car il est riche et nous pas. Il a même du lait pour faire les massepains.



Rêve 136

On est trois, dont deux femmes. Les deux femmes libèrent chacune de leur côté un animal (un cheval et un renard). Ils deviennent des êtres hybrides et très beaux. Les filles leur font l’amour sans arrêt. Le troisième est un vieux professeur ou un vieux fou. On a réveillé des forces pas sympathiques. Avant on se baladait dans le F avec C et compagnie. Je suis sorti par derrière en aboutissant dans la campagne près d’une rivière.



Rêve 137

On habite dans une maison de campagne spacieuse. On la découvre. Puis des vampires arrivent. Ils sont très courtois. L’un d’eux est Lestat. De peur de devenir comme eux, je m’enfuis. Lestat me suit de loin. Je traverse une forêt qui se remplit de touristes et on arrive sur une plage. Je me déshabille et vais à l’eau. Lestat arrive. Il est mignon, va à l’eau et m’explique son état. Il a besoin de sang humain mais ne me transforme pas forcément comme lui. On passe sur une colline, déjà vue en rêve, avec une petite route qui monte, des maisons à droite quand on monte, une petite ria avec un port.



Rêve 138

image du rêve 138 On est trois ou quatre à vouloir entrer dans une maison. On entre et on est comme ignoré par les habitants. On essaie de se faire engager, comme voleurs.
Je dirige le sol et je peux le faire bouger sous les gens comme une faille, deux failles. Il faut veiller à ne pas créer de trous. C’est difficile.



Rêve 139

Je suis dans une maison moderne à étages, au rez-de-chaussée dans ma chambre. Je me lève de mon lit et visite. Je prends un niveau d’expérience en visitant le couloir et l’escalier. C’était facile : cinq actions je crois. Je retourne dans ma chambre et j’y réveille H en convulsions dans mon lit. Elle s’explique et s’en va. On est quatre dans la maison avec C.



Rêve 140

image du rêve 140 Je suis Lestat et je nettoie un pays, lieu par lieu.
Le circuit va du plus facile au plus dur sur la carte. Certains lieux s’appellent le Mur (à droite). D’autres sont des ruines (les dernières) ou une église (dans les premières). Je suis ma progression sur une carte.
Je suis encore Lestat. Je suis dans une église/maison et on veut ma mort. Je m’arme comme je peux avec mes amis et on cherche les personnes en question parmi les personnes présentes. Finalement, on s’en va car on ne sait pas où ils sont.



Rêve 141

Je suis dans la mer, au bord d’une plage et je cherche des vagues à surfer. Des tas de gêneurs me gênent mais j’arrive à passer la barre car les vagues sont grosses. De l’autre côté, tout est calme. Les vagues ne bougent plus et on peut se reposer ou faire des trous dans le sable.



Rêve 142

Je suis avec mes amis de l’école. M L est morte et c’est bien dommage, je trouve. On en parle suite à une autre mort. Si jeune, c’est con. On en parle à l’école dans les nouveaux locaux.



Rêve 143

On est réuni dans un amphithéâtre. Sur la paillasse sont réunies diverses pièces à conviction. Un homme les énumère et résout les problèmes. Ma pièce est la dernière. Il y arrive et demande ce que c’est. Je réponds que c’est à moi et que c’est un morceau cassé de marionnette pour dessinateurs et médecins.



Rêve 144

Je suis dans ma chambre F116 à A. Une larve d’Alien attaque l’un de nous. Il lui plante un œuf. Je me rappelle le film : c’est horrible. On se demande s’il faut le tuer avant que la créature sorte. Trop tard, elle sort et on combat le monstre comme on peut. J’essaie de trouver ce qui est plus efficace entre le pistolet normal et le canon à plasma dans mes souvenirs de Space Crusade et de Space Hulk. La larve revient sous forme de mouche qui vole au plafond de la chambre. J’essaie de la tuer mais je ne peux plus me lever, je suis paralysé. J’essaie de trouver la larve au sang acide. Si on la tue, son sang va trouer le plancher. Celui qui a été contaminé nous dit que la larve l’a contaminé par le cul. Il en est sûr même si elle était accrochée à sa bouche. La queue en dard ! Au bout de mon lit, il y a sûrement une larve caché et j’essaie de la tuer avec mon laser mais je suis paralysé. J’essaie de briser cette paralysie. C’est extrêmement stressant et difficile d’autant plus que je m’attends à tout moment à la voir surgir et me bouffer. En brisant ma paralysie, je vois qu’il y a rien d’autre que ma chambre — réveil.


Rêve 145

M m’a quitté et je suis triste. Je pleure et mes copains ne savent plus quoi faire. Elle m’a quitté pour C. On me met dans une voiture et je pleure sur mes genoux. S et A sont aussi là. Tout le monde essaie de me changer les idées mais c’est impossible.



Rêve 146

É, H et moi on arrive à Marseille pour l’école. J’ai du travail le lundi et le mardi peut-être le mercredi et c’est tout. Ça me fait entre quatre et cinq jours d’escalade. On va voir la plage et je ne reconnais pas Marseille que j’ai déjà vue en rêve, à moins que ça soit Nice. À la plage, on va vers un bateau échoué attaché à un embarcadère. Des gentils organisateurs sont sur le bateau et nous accueillent. Ils nous proposent un jeu marrant : se poursuivre en rampant de l’embarcadère au bateau. É y est fort. On s’arrête car É rappelle que ça coûte 300 francs de l’heure. Je rends quelque chose aux gentils organisateurs dans la cabine de leur bateau.



Rêve 147

image du rêve 147 Il est déconseillé aux femmes accompagnées de leurs enfants de circuler ainsi, et plus déconseillé aux enfants seuls encore. Les rues sont remplies de dealers qui s’empresseront de vendre à votre gosse sa cocaïne, ou de l’appâter pour plus tard. Si l’enfant est seul, le dealer échange sa coke contre les courses, et l’enfant revient shooté et heureux : « Mais où sont les courses ? »
Une étude est faite sur la propreté des douches publiques pendant deux périodes. L’une est franchement crade, l’autre moins. On observe des dépôts bizarres. On leur donne un nom et on observe les mêmes dépôts sur des draps au niveau des seins. L’autre est comparé à deux problèmes de digestion : dans l’un, les intestins ne digèrent rien (coloration rose), seul le gros digère, et il a bien du mal (coloration violette), dans l’autre, les intestins sont bouchés et seul le haut ne digère rien (rose clair). Le reste est coloré du rose au violet (quatre ou cinq couleurs). On leur a donné deux noms : rhomdrite (?) et un nom équivalent mais plus long rhomboédrite (?).



Rêve 148

image du rêve 148 On est une armée de fortune. On a récupéré mon vieux sac blanc pour nous faire des armures. Les poignées servent de bracelets de force et le corps du sac sert d’armure, trop serrée à la base d’ailleurs.
On est dans un marécage infesté de spectres se cachant dans les fondrières et dans l’eau en général. Au bout du marais, on trouve des marches qui emmènent à des rideaux. On s’approche prudemment, on s’attend à une manifestation quelconque et rien ne se passe. Les marches sont typiques des films de fantasy chez le méchant. On redescend et on attend l’attaque d’une autre armée. On se fait à moitié écraser et on fuit en retraversant la clôture. En haut des collines je vois les âmes de nos morts s’amuser et je vais les rejoindre. Je saute de bosse en bosse sur l’étang et arrive sur l’herbe. Malheureusement je suis pieds nus et je saute parfois sur des orties, même si je saute haut et bien et que je peux me diriger dans l’air. Des varans se baladent dans le coin et j’évite de leur marcher dessus ainsi que sur leurs petits. Ils me font peur. J’essaie d’arriver au pied des falaises mais ne peux pas car je ne peux pas traverser les ronces qui me barrent le passage.



Rêve 149

Je fais un travail pratique d’électronique numérique avec Y et Y. Les paillasses sont séparées au milieu par un mètre de bois posé en hauteur. On fait un travail de décodage d’adresses avec une puce assez longue. L’école ressemble un peu à ABS. Je termine vite cette partie.



Rêve 150

image du rêve 150 On est à plusieurs à se promener en montagne. On arrive dans une vallée. L’herbe est rase et quelques rochers dépassent. La vallée se transforme en grotte et nous en dauphins intelligents. On est tranquille à vaquer à nos occupations humaines. Le sol tremble et le plafond va s’effondrer. On s’enfuit tous par les galeries en rang et en direction de l’air libre. La sortie est bouchée avant que je puisse y arriver. J’essaie les autres. Elles sont bouchées par des décombres. De toutes façons, le plan est déchiré à ces endroits-là. On décide donc d’essayer autre chose. Les chutes ? Personne n’a jamais osé. On avait de petits glisseurs sur la plage.



Rêve 151

image du rêve 151 Nous sommes dans la maison de M. Des gens la font exploser alors qu’on en est à l’extérieur. Les étages descendent et s’écrasent pour former une maison plus basse. On cherche ensuite les auteurs de cet attentat. On en suit un qui s’est échappé dans un dédale de rues délimitées par des murets de terre, comme au Portugal. On arrive à un cul de sac. On fait donc demi-tour dans une petite cour et on le voit qui se cache contre un mur à gauche. On lui tombe dessus en le menaçant avec nos pistolets. On est ensuite à une réception avec fête dans un grand bâtiment plat et hexagonal. Il y a plein de monde et on soupçonne que d’autres terroristes traînent dans le coin. Ils foutent le bordel et dans la panique on essaie d’en attraper. On y arrive à peu près mais ils font des trous dans le plancher : ils sont donc durs à suivre.



Rêve 152

image n°1 du rêve 152 image n°2 du rêve 152 On combat des morts-vivants dans un château au bord de la mer. Je suis un barbare musclé et blessé. On casse à deux les trois épées d’une statue. Une seule résiste. Il nous manque les deux épées magiques (de justice ?) pour avoir une chance de vaincre. Malheureusement, un spectre m’enveloppe. Même si je m’enfuis, il sera encore autour de moi. On s’enfuit mais on a les deux épées.
On fait du stop de Paris vers l’est. On sort de Paris. On rejoint la famille dans une maison dans une propriété avec un bois de sapins qui est au bord de la route. On y est allé par voiture et on y dort dans une tente. Je dors avec S J et il se laisse soulever mais pas toucher les couilles. Il dit ah non pas ça et s’en va. J’espère qu’il ne va pas fayoter.
On est sur la côte ouest des États-Unis en visite guidée par deux membres d’Aerosmith : le chanteur et le guitariste. Ils sont sympathiques et on déconne bien avec eux. Ils nous font une petite conférence au bord de la mer sur un site fait exprès. Je m’éloigne un peu. La conférence terminée, ils nous demandent si on ne veut pas voir des filles sympathiques à la plage. Celle-ci est juste derrière et effectivement, de jeunes et jolies filles se bronzent. J’en trouve une vraiment bien, sympathique… Elle a quatorze ans et est née en 1979. Je m’en vais faire un tour et joue au ballon (ou suis le ballon). Le ballon rebondit dans toute la plage.



Rêve 153

J’arrive par le métro à la gare Montparnasse. J’ai un TGV dans une demi-heure et j’aimerais ne pas le rater. J’ai envie de me déguiser en vampire et de m’acheter une paire de boucles d’oreilles et des crocs. Le temps que je trouve un magasin qui se trouve du côté des escalators, que je fouine dedans et que je trouve ce que je veux, je me dis que la demi-heure est sûrement passée. Je cherche à rentrer mais le magasin s’est éloigné de la gare. Une grande rue les sépare et il n’y a pas de passages aériens. Le magasin était plein de tapis verticaux et de bibelots orientaux.



Rêve 154

image du rêve 154 O est mort d’overdose de shit. V et moi sommes désolés comme tout. On ne sait pas quoi faire du cadavre alors on le laisse dans leur chambre, là où il est mort. Je la console et on finit par s’endormir dans mon lit, juste à côté, l’un contre l’autre.
Je suis dans une chambre avec mes affaires et on me prévient que des voleurs armés ne vont pas tarder à venir. Je crie à ma fenêtre « Police ! » plusieurs fois mais personne ne répond. Je fuis par la porte et dans les couloirs de l’immeuble. Ils me poursuivent et visiblement, ils en ont plus à moi qu’à mes CD. Je crie encore « Police ! » mais toujours sans succès. Je me retrouve dans la rue avec eux derrière moi. Ils me suivent en voiture jusque dans le supermarché. Je fuis jusque dans un squat de punks où je sais qu’un concert des Sex pistols va avoir lieu d’un moment à l’autre. Je descends des marches vers un sous-sol et demande à entrer. La personne n’a pas l’air informée et j’insiste : c’est The great rock ’n roll swindle qui passe.



Rêve 155

On est dans un bus de voyage.



Rêve 156

Je retrouve deux amis : T et M. On mange chez l’un d’eux. Les deux derniers s’embrassent et je fais la gueule. Je m’en vais dans les rues. Je trouve pas loin des bars dont un clean. J’entre et m’installe au bar. Je veux ma cuiter mais ils n’ont pas de Soho. Je commande autre chose que je ne finis même pas. J’étale mes affaires sur le bar et m’en vais. Entre temps, un immeuble à côté est ravagé par un incendie. Des gens sautent… dans les rambardes. L’incendie se propage aléatoirement et les fenêtres explosent.
On va voir un théâtre d’improvisation en plein air. É P y participe. Le thème se rapporte à un rassemblement de gens bons rasés par une épée maléfique qui convertit tout le monde. Il n’y a pas de limitation d’espace. É disparaît et je prends sa place : il n’aime pas et m’engueule. Tout ceci se passe en plein air. Au début, les chevaliers paradent, puis un chevalier de la mort pose une épée en os par terre. Un chevalier la ramasse et se transforme en chevalier de la mort.



Rêve 157

Je suis dans la maison de M à la montagne. J’apprends comment aller chez elle dans cette très grande maison. Puis je pars je ne sais où. Je reviens en bus qui me largue au bout du chemin. Là, je dois retrouver d’abord la maison et j’y arrive après m’être fourvoyé assez souvent. La maison est un grand chalet et elle habite en haut, sous le toit. J’entre et commence à chercher mon chemin. Je cherche à entrer dans un ascenseur. Un clochard et son chien sont à côté. Le coin est pourri et bétonné. L’ascenseur a de quoi porter à peine une personne et agit d’une manière chaotique et dangereuse. Je préfère l’escalier. Je sais que c’est en bas : j’y vais mais ce n’est pas là. Je remonte et arrive dans un endroit habitable. Encore quelques erreurs, je prends le bon escalator et je suis chez elle. T est là et il me montre son nouveau virus deux dimensions : un cube de mousse dense pleine de jolies couleurs fluo. Je commence à le démonter et il me dit qu’il n’a pas tout à fait suivi le modèle.



Rêve 158

C’est le partiel d’économie d’entreprise. Je n’ai pas bossé et le texte est absolument incompréhensible. A gratte et m’explique (le professeur a autorisé le travail en groupe et/ou avec les cours que je n’ai pas). Ça y est ! Il suffit de faire un additionneur deux bits et c’est bon.? Ça m’étonne que le sujet ne tombe pas sur les ratios, comme il me l’avait dit.



Rêve 159

Je suis dans la forêt, et je vole. Ma famille ne le sait pas encore. Je disparais de temps en temps et elle se pose des questions. Puis je lui montre que je vole. Ils sont tous impressionnés. Ils construisent une grande cage pour empêcher C de passer, car lui aussi, vole. Cette cage ne me dérange pas et couperait C s’il cherchait à passer.
Je me promène sur un chemin entre deux villes médiévales. Il est peu sûr et on doit le nettoyer. À un double virage, des bandits nous attaquent. On les élimine et on rejoint l’autre ville. On est acclamé par la foule qui prépare une fête et va élargir ce chemin pour en faire une route. On en a une vue de dessus jaune et orange moussue pour nous représenter les bandits ou la ville.
M est revenue. On se caresse longuement et on fait l’amour. On a quelques problèmes de slip, je l’embrasse partout et la lèche en même temps. Je l’embrasse et elle m’enfonce sa langue dans ma bouche. Je trouve ça amusant. À un moment, je lui touche le sexe avec la main et elle jouit. On a fait l’amour sur un canapé, puis s’endort. Je m’en vais. É, F, P et M me demandent où elle est : « Elle dort. », ils me sourient malicieusement. On va au bord d’un canal en voiture en ville peut-être pour l’y retrouver, mais elle n’est pas là.
On sort en voiture d’une porte de propriété provençale. Il fait beau.
Je suis aux Arts et métiers et on me demande de laver une nouvelle chambre : c’est la rentrée. J’entre et elle est pleine de sang à demi caillé. Une petite fille de douze ans vient et me dit que c’en n’est pas. Elle a un drôle de bras flétri, gris et avec trois doigts et un pouce, l’auriculaire manquant. Je vais demander à une autre personne ce qu’elle en pense, elle trouve que c’est du sang. La fille est partie. Je pars à sa recherche dans la barre qu’est ce bâtiment. Je la trouve car elle aussi me cherchait. C’est une rousse très mignonne. Elle me montre son bras gauche flétri. Celui-ci essaie de m’agripper. Il a sa volonté me dit-elle. Elle me montre le chemin jusqu’à sa chambre : aller au bloc D et c’est là. Il faut prendre pas mal d’escaliers datant du siècle dernier pour y arriver. On m’en fait voir de toutes les couleurs car je suis un bizuth. Puis je me retrouve avec le bras gauche flétri. Il a changé de porteur. À l’A je dévaste tout de couloir à l’appentis. Je reviens dans ma chambre et espère ne pas me faire tuer par ce bras. Je reçois un coup de téléphone d’elle et m’appelle par son surnom. Elle me dit qu’elle m'aime deux fois, j’essaie de lui répondre mais elle a raccroché. Elle part sûrement. Je veux la voir et lui dire aussi avant. Je descends et cherche où elle est. J’entre dans les bureaux en train d’être lavés et je me fais éjecter parce que j’ai des bottes, elles sont neuves que je leur dis. De toutes façons ce n’est pas là. Je vais à la cafétéria au rez-de-chaussée et il est plein de monde. Je prends l’escalier au milieu. Le colimaçon est archi plein et je me fraie un chemin, comme tout le monde. Je n’arrive pas à retrouver le bloc D.
On parle dans un marais avec F et É. On pense qu’il est comme ceux de Jurassic park. Il est vert marron boueux et moussu.
On joue au ping pong dans la salle de sports de l’école. Je joue seul contre deux. Je me débrouille pas mal mais mes effets rétro sont un peu ratés. Puis, il faut nettoyer la salle. Je commence à l’éponge sur le parquet. Une fille prépare de l’acide dans une cocotte minute. Je la vide sur le parquet et un peu sur moi (elle l’a préparé dans une petite cuisine dans la salle). Ça chauffe dur et l’acide va bousiller la cire. On le verra au prochain lavage.



Rêve 160

On fait une fête avec A M, G et d’autres. Je fume un gros cigare qui enfume tout et me fait pleurer (il y a peut-être du shit dedans). C’est la première fois que je fume. Je sors de la salle et un flic m’arrête en me traitant de petit con. J’exige des excuses et les obtiens. Puis il me met dans un panier à salade en plastique, moderne, où je tiens juste dedans. L’intérieur est l’extérieur sont anguleux, comme un cristal taillé. Je lui dis que je suis claustrophobe mais il s’en fout. On organise ne manifestation contre ces flics dans la neige, au milieu d’une place. On est une trentaine et les viennent un peu. Pour montrer qu’on est beaucoup, on se met en ligne.



Rêve 161

On nage dans la mer, il fait nuit. Des objets tombent du ciel dans l’eau. On va voir et ce sont des personnes, j’en attrape une de justesse par les chaussettes alors qu’elle coulait la tête la première. L’une de ces personnes est M. Death, tout en noir et on ne voit pas son visage. Il dit qu’il va nous amener à la mort, à moins que ce ne soit une de ses blagues. Une autre est une jeune et jolie sportive, ça se voit à sa carrure. On est tous les deux sportifs et ça se voit à notre musculature. Elle est en maillot une pièce et une vague ou un coup de vent me montre son corps jusqu’à ses poils du pubis quand je la serre contre moi. Il fait jour maintenant. Des muscles de mon dos sont arrondis et prouvent que je suis sportif. Pour faire du bouche à bouche, il faut sortir la langue de la gorge, s’il le faut, coucher la personne et lui mettre un coussin sous la nuque.
On joue à Magic, je tue la personne à gauche de moi avec une boule de feu, la personne en face de moi tue mon voisin de droite et moi je tue cette personne avec des cartes créatures de plaines que je n’avais pas vues.



Rêve 162

Je dois tuer un méchant qui habite dans la montagne. Cependant, pour ne pas se faire repérer on ne passe ni par le sommet de la montagne ni par la vallée. On préfère prendre un chemin risqué sur une falaise de terre. Je passe en premier pour montrer à A B et G le passage sur les cailloux enfoncés dans la terre. Il faut bien se tenir avec les mains sinon, on peut tomber car les cailloux sont branlants. Puis on arrive sur des rangées de CD qu’on doit déplacer si on veut passer, nos mains arrivant au niveau du plateau. Les deux derrière sont reparties on ne sait où et le quatrième, volant, me dit que je peux tomber, il me fera voler au niveau des nuages, où on est.



Rêve 163

image n°1 du rêve 163 image n°2 du rêve 163 Je me promène avec C, É et H dans une maison en partie dans une grotte. Eux se promènent sur le plateau et moi je leur montre les passages.
H et moi on a une aventure. Toute la famille habite dans notre chambre à l’A. H vient dans le lit mais elle dort avec C. Le matin, elle se réveille à grands cris en hurlant que j’ai essayé de lui faire l’amour, tout ça parce que ma bite était contre son slip. Elle me dit après que c’est parce qu’elle est en cloque et qu’elle prend la pilule et C s’en est aperçu. M et T sont là et me proposent d’aller à Rennes voir des robots. Je n’ai pas envie et je préfère me balader dans un magasin où on présente entre autres des ENSI et autres écoles. Je chie sur mon lit, c’est plus fort que moi, je change de slip et j’amène la merde aux chiottes où je finis de chier. Il y a du sang sur le slip que j’ai porté. H, T et M sont sur le palier de l’A pendant que la porte est ouverte. Je sors du magasin et visite Rennes en bus. Beaucoup de choses ont changé, des usines sont en construction ou démolition, des quartiers classés sont reconstruits vieux avec des matériaux neufs.
Je préfère rester à Lorient avec L et être à avancées des magasins la plage.



Rêve 164

On est dans une fête foraine. Mes copains vont dans les autobutantes. Ça me fait chier, ce n’est pas ça que je veux casser. Une baston s’organise. J’en suis malgré moi. Un stand parle de jeux de rôle, en particulier d’un nouveau accompagné de figurines. C’est une remouture de Warhammer mais les figurines sont chouettes. J a un personnage voleur balaise dès le début et le sera encore plus (je reproche à ce jeu la façon de voir l’expérience : on lance d’abord un dé pour le premier niveau et on multiplie ensuite par le niveau). Je parcours le diorama : j’y aperçois d’abord les classes de personnage, voleur, guerrier, barbare, chevalier, leurs différentes maisons, puis les méchants, le roi de la mort… et tous leurs monstres, pseudo-humains avec trois amas de petits tentacules sur les joues, qui est d’ailleurs mis du mauvais côté du support et sous les tentacules, morts-vivants, élémentaires, créatures de l’eau…



Rêve 165

Je suis dans une ferme qui ressemble un peu aux rues de la ville de Lands of lore. Un moment, je chie dans des chiottes, et un peu autour. Je prends quelques merdes que je n’ai pas pu chier dans le trou pour les y mettre. J’ai vraiment beaucoup chié.



Rêve 166

image n°1 du rêve 166 image n°2 du rêve 166 Je me promène dans le quartier du Diabolo menthe à F.
Je vais manger au restaurant universitaire mais j’ai déjà un peu mangé et il n’y a que de la saucisse rose fourrée au gruyère. Je sors de la queue sous les yeux ébahis des serveuses. Je remarque que pour entrer dans le restaurant, il faut passer par un trou parmi deux pour aller à l’étage où le restaurant se trouve effectivement. Je regarde comment les gens font, les grands en particulier. Je vois qu’un trou n’est pas utilisé sauf par une personne qui descend et qui visiblement grimpe à un bon niveau. Je passe par ce trou mais moins bien que lui : je tâtonne pour chercher les prises.



Rêve 167

Je me promène dans la tour de l’école. J’y ai un cours d’anglais donné par A B et A. A B y est ainsi que beaucoup d’autres personnes. Ce cours est au cinquième étage, dans un amphithéâtre pas très haut, mais assez large. C’est amusant car ce cinquième étage se situe au milieu du patio, contrairement au reste du bâtiment. Puis ce cinquième étage se transforme en gazon pentu. Je m’éloigne du cours et trouve une pomme de pin coupée en deux. Je la fais rouler vers le cours mais elle s’arrête avant, restant sur le côté cassé. Je continue sur ce gazon et rencontre une belle dame. Elle dit être une des trois femmes que j’ai. Elles sont là pour la reproduction, entre autres. On fait l’amour dans un trou dans le gazon et je rencontre une autre belle dame, qui est seule. Elle m’explique qu’elle est là en tant qu’amie et on ne fera pas l’amour. En revanche, je lui lèche le sexe et elle y prend beaucoup de plaisir. Elle est ma femme intime, celle qui ne pond pas. Puis on fait un soixante-neuf mais en fait je me branle et j’en ai partout. Je nettoie tout ça avec le demi rouleau de PQ qui me reste. L’autre moitié a été pour l’autre femme.



Rêve 168

image du rêve 168 Je suis en France et É vient de partir pour l’Angleterre en volant par dessus la Manche. On me dit de ne pas y aller, mais ce que je vois de ce pays des falaises où je suis me plaît. J’y vais. Je vois une carte d’Angleterre. Le Pays de Galles colle à certains endroits à cause d’un truc sucré. É me dit que le Pays de Galles c’est bien mais vers le Nord, c’est un repère de bandits. Il vaut mieux aller vers le Sud. Je regarde Londres et elle a un plan bizarre. L’Écosse manque au plan : elle est sur l’autre face. Je retourne le plan mais il manque un bout du nord de l’Écosse. Aberdeen est agrandie sur un petit bout de la carte. On est dans une tour avec l’école et on visite. On a une conférence en deux groupes. On est dans les derniers étages et on est un peu perdu. On va pour dormir et c’est à côté, dans les mêmes locaux mais c’est un ensemble de petites maisons à deux étages et à quatre places. J’ai la place 3 et l’accompagnateur la 1, celle où je m’étais installé. Les places sont de simples parallélépipèdes.



Rêve 169

image n°1 du rêve 169 image n°2 du rêve 169 Dans une cabane en bois, on joue à des jeux de rôle. É joue à Paranoïa avec L P et j’aurais bien aimé y jouer aussi. Je vais le voir et lui explique un peu le jeu : ne pas se prendre au sérieux (ce qu’il fait), il cherche des mutants (visiblement, il n’en est pas). Avec L, je me promène en lui expliquant. On approche d’une maison désaffectée et tout en le mettant de mon côté, on entre dedans pour s’y cacher. Je lui dis qu’il ne doit pas retourner sous terre mais rester ici à profiter des plantes. La police nous cherche et fouille la maison. On est caché à l’étage et ne pourra pas nous trouver, sauf que je montre ma tête et la chef nous voit. Elle nous trouve et essaie de nous convaincre que ce qu’on fait est mal. Je fais semblant de me repentir puis elle nous amène à la fête au rez-de-chaussée de l’immeuble. Toute l’école est là. Je fais la tête et tout en me mêlant à la foule, je fais vœu de partir car je ne veux pas de leur soma. Je m’envole dans l’ombre du coin de la maison vers le toit. J’y vais doucement au début, en particulier au niveau de l’avancée en plastique, S R se place même juste sous moi. Arrivé en haut, je contemple mon sacrifice : le grenier est plein de sang d’un enfant, c’est mon refus. Pour ne pas qu’on me prenne, je décide après de longues hésitations de me suicider. Je balance une armoire en inox dans la cour en cassant un mur pour qu’on sache qu’il se passe quelque chose puis je m’élance dans l’eau de l’autre côté. Je suis fait de lave donc je me transforme en bateau-fer à repasser en pierre. Mon père, le seigneur des pierres, veut récupérer mon corps mais je suis tombé dans l’eau, il ne peut pas. Il gémit et la terre tremble et la falaise et les rochers se fissurent. ELLI SLLK.
C, É, H et moi, on est chez les M. Ils ont refait l’escalier en une simple rampe. Le canapé a été surbaissé. Les deux sont couleur brique ocre et l’escalier est très mince (on peut de justesse y passer seul). On écoute de la musique avec F : du hard. L’un ressemble à du grunge mais ils ont repris Fallen angel de King crimson. L’autre ressemble à Noir désir en plus grunge. Son disque est triple : un mini et deux normaux. M engueule J dans la cuisine et ça gueule aussi en haut. On s’en va mais C me demande d’abord si je me suis changé. É et H répondent que non et moi que si. É me chope et me traîne vers la cuisine. Je crie que je me suis changé juste avant de venir mais C me fait grand sourire peu convaincu. Ils avaient une vingtaine de mini CD sous leur chaîne.



Rêve 170

On est deux à se promener dans un arbre énorme. On en sort par une porte puis on en fait le tour. On est happé par l’autre planète, les vents nous emportent et nous déposent dans une autre forêt, avec des arbres plus fins et plus serrés. On trouve un chemin dans la lande de fougères qu’on suit. On trouve un trions d’arbre coupé, après avoir hésité, on va voir ce qu’il y a dedans. Avant qu’on ait pu soulever le couvercle, deux ewoks nous sautent dessus et font l’amour à nos deux elfes. Ils restent collés puis nous amènent chez eux, dans des maisons dans les arbres. Nos deux humains ne sont pas rassurés. On est accueilli comme des sauveurs de la race femelle des ewoks, tout comme nous les elfes on est mâle et même si on aperçoit des visages et des corpulences mâles et femelles dans chaque race. Les ewoks sont maintenant des humains et nous expliquent que leur race est mourante. Les deux de tout à l’heure crient qu’ils ont notre semence, un peu comme par méchanceté. Un autre descend d’étage en étage en tuant tout le monde. Le chef ne veut pas même si on sentait une légère malveillance chez lui. Ce fou arrive chez nous et nous extermine tous avec son épée. Il est couvert de sang des pieds à la tête.
J’ai sauvé une demoiselle des griffes de sorciers chevaliers. Ils nous cherchent près d’une rivière entourée d’arbres et de fourrés. On est mal caché, on fait un petit feu qu’on cache tant bien que mal et ils finissent par nous trouver.
On est en haut d’une colline. en bas se trouve le meneur de jeu entouré de joueuses de grandeur nature. On crie « maître » avec sarcasmes mais M ne répond pas. On écoute Rubber soul des Beatles avec D. La boîte du CD est jaune et de conserve.



Rêve 171

On a découvert dans un tas de cendres cinq pierres précieuses : rubis, émeraude, saphir, le diamant est pour moi, je l’ai trouvé. Il a la forme et la taille d’un suppositoire pointu mais émoussé aux deux bouts.



Rêve 172

Avec É B, on assiste à un cours d’A assis sur mon lit de chambre universitaire sans draps. On a trois guitares, lui en a une électro-acoustique trois quarts, comme la mienne. De temps en temps on touche nos guitares, ça fait du bruit et A grogne, d’autant plus que son cours nous fait visiblement chier et qu’il est presque fini.



Rêve 173

F E au moins et moi sommes assis sur une place ressemblant à Austerlitz à Strasbourg. Un type m’appelle au téléphone, c’est un inconnu. Il a envie de me voir et me demande un rendez-vous. Je pense savoir ce qu’il veut. Effectivement, il semble homo et est tombé amoureux de moi ; cependant je n’ai pas oublié M. Je me promène le long d’un canal en ville. Des escaliers permettent d’accéder au niveau de l’eau.



Rêve 174

Nous sommes quatre voyageurs de Rêve de dragon. On se promène dans un village plein de verdure au bord d’un canal. Je dis à mes compagnons que s’ils se perdent, je peux les retrouver grâce à de la magie : j’ai un sort qui me dit où se trouve la personne à laquelle je pense. On sort du village en suivant un chemin vert. Un arbre multiple se trouve dans le chemin. À ce moment, des choses attaquent : on se réfugie dans l’arbre. On continue la route.



Rêve 175

Je suis dans une grande salle remplie de chaises. Au bout, là où les chaises sont plus hautes, des gens sont attroupés, visiblement pour mieux voir le concert. Je me faufile jusqu’au premier rang autorisé. J’y trouve de la place et m’assois. Derrière, on est obligé de se mettre debout sur les chaises si on veut voir quelque chose. Il y a encore des chaises sur la scène mais elles sont interdites par les gros bras derrières les barrières.
Je suis parti nettoyer le mal. Celui-ci m’envoie sans que je le sache un petit démon venu du noir dans lequel je regarde. Il s’appelle Jezebel mais ne veut plus que je l’appelle comme ça (il a peut-être changé de bord ?) pendant notre promenade dans un chemin mi-creux, lui se balance d’arbre en arbre.
Promenade en campagne sur une île.



Rêve 176

Avec C, je me promène au bord de la mer. Au loin, en face, on voit le restaurant où on doit manger ce soir. On se trouve en même temps dans des chambres de cité universitaire, comme à Paul Appell. Les chambres sont plus grandes et multiples. Sur mon lit, je laisse mes affaires puis on s’en va. On se retrouve avec F, É, L et D. On a faim, le restaurant est sur une île en face mais je n’ai pas de sous et le temps qu’on mange, la mer sera haute et on ne pourra plus revenir. On me dit que mon stage est de faire émettre un émetteur-récepteur vers l’île, un truc parabolique bizarre, mais non, mon stage est de la photonique, pas du traitement du signal. On va s’acheter à manger dans un stand ouvert la nuit, moi, je ne mange pas.



Rêve 177

Je fuis avec une autre personne sur les toits. On regarde en bas dans les rues s’ils ne rôdent pas dans le coin. On trouve une fenêtre pour descendre, cependant, un type nous voit et nous tire dessus, juste comme ça, avec un revolver et un lance grenades. Quelques unes explosent, les autres sont retardées par mon maître. On a juste le temps d’aller au coin de la rue pour voir que les grenades cachées dans un sac ont explosé. Elles ont détruit le rez-de-chaussée de l’immeuble. On court pour ne pas se faire repérer par les flics. On traverse en prenant des risques une place débouchant sur un pont très fréquenté par les voitures. Dans l’eau, des étudiants jouent et d’autres sur les rebords ont envie de nous y envoyer alors qu’il fait nuit.
Je suis un rêveur professionnel dans un vaisseau spatial industrie dont l’intérieur est très aéré, brillant. J’intercepte le produit qui devait m’être donné pour dormir et je veux le donner à analyser. Une autre personne est avec moi et là où on en a trouvé d’autres, dans une grande salle près de fourneaux et de l’endroit pour analyser, une personne nous intercepte. Je donne le produit à mon amie mais il l’assomme et moi ensuite. On va donc bien tester ce produit qui doit bien être douteux, si on m’a assommé.



Rêve 178

On joue à Warlords 2 version marrante. Les armées sont plus nombreuses voire carrément énormes, les bateaux plus rapides. Les objets sont marrants et les ennemis coriaces car possédant plein d’armées. Les cartes sont plus grosses, plus précises. Je suis les blancs.



Rêve 179

On se promène au bord de la mer. Une île est en face, débordant un peu sur la plage. Un petit chemin monte jusqu’au sommet de cette île verticale. En haut, on trouve du raisin blanc et du noir à gros raisins. Ils poussent sur le sol, comme et avec les buis. On en mange, il n’est pas mûr, mais très frais. Les autres redescendent et je reste pour en trouver d’autres. Cependant le terrain herbu est glissant et je manque de tomber, aussi bien en allant chercher du raisin que pour redescendre une fois que j’en ai trouvé. Une fois tout le monde redescendu, on cherche à revenir d’où on est venu. On descend dans une rivière presque à sec et canalisée et on n’arrive plus à en ressortir tellement les bords boueux sont glissants.



Rêve 180

Je suis dans une maison dont l’intérieur est tapissé de bois. L doit y être ainsi que d’autres. Une personne découvre mon cahier de rêves violet, j’essaie de le reprendre, comme un drogué en manque, mais on ne veut pas. La personne s’en désintéresse.
Promenade de campagne vallonnée, verte, humide et bocageuse. Quelques vieilles maisons ou châteaux traînent dans les parages.



Rêve 181

Deux dieux vieillards me donnent une équation différentielle à résoudre sur la route de l’école primaire au niveau du dos d’âne. J’en avais jamais eu de comme ça avant. Ils m’aident pour la solution qui est « une orange ». Ça se voit quand on intègre. Quand j’ai la solution, on en reparle un peu.
On joue au basket sans panier ni bandes au sol. On imagine tout, sauf le ballon qui est réel. J’imagine l’adaptation du jeu sur console et compare avec la complexité d’un jeu d’avion. Avant, on avait besoin de sept bits, maintenant il en faut trois de plus, donc huit. Pour les consoles à sept bits, c’est Sega qui a remporté le marché.



Rêve 182

Nous sommes des loup-garous pourchassés. D’autres veulent prendre notre place mais on arrive avant eux pour se faire reconnaître, à un ponton en pierre.



Rêve 183

Dans la nouvelle école un brin modifiée je me promène. Au milieu se trouve une espèce d’amphithéâtre ou d’arène. Tous les officiels et non-officiels sont là. L’amphithéâtre est plein de trous-toboggans qui se croisent et s’entrecroisent sous l’arène puis qui vous rejettent au-dessus de l’arène et ça recommence si on n’a pas eu de chance. Les toboggans sont des tubes ou des bouts de tube bleu-gris transparent.
Avec H et K on va faire des circuits intégrés. Dans une benne, on a du silicium bleu et de l’autre noir. On n’a plus qu’à le fondre et à ne pas les mélanger. Avant de faire ça, on sépare de la benne les deux tas à la pelle.



Rêve 184

Je joue à Warlords 2 avec, entres autres, É. J’ai les blancs, lui les jaunes. J’avais pris une île mais lui me l’a reprise presque en entier avant qu’on tourne autour du centre de l’île en reprenant les villes que l’autre nous a pris. Ensuite, on est dehors avec les L. É, L, M et H fument un joint dans une voiture et j’espère qu’A ne va pas le remarquer car la fumée va où il faut, là où sont P et A. C’est la nuit, ou le jour, mais je suis au lit avec A B. Les autres ne sont pas là mais vont revenir sous peu. On se regarde, se parle, puis je lui prends la main, que je serre. Elle aussi puis on se caresse timidement et on s’embrasse. On se caresse plus franchement et on s’embrasse plus passionnément. On se déshabille et on fait l’amour. C’est très chouette. Vers la fin, je passe mon doigt dans sa raie des fesses qui est lubrifiée. On a pris soin de mettre une capote et à la fin, je continue de lui faire l’amour même si c’est fini. On se caresse encore. On a commencé à 36 et on a fini à 39, on a mis trois minutes même si ça m’a paru plus long dans le lit à moitié en plein-air.



Rêve 185

image du rêve 185 Je recherche le lycée ou un quelconque lieu étudiant dit Descartes à Paris. Je suis à Appell, qui se trouve en plein quartier latin. Je croyais que Descartes se trouvait au Sud, près du périphérique, mais il se trouve sur les quais, du côté de Jussieu. Dans Appell, je suis au dernier étage, je descends quelques étages par l’escalier du bout puis les remonte en me souvenant que le dernier étage de l’escalier est en marbre.
On est deux ou trois à se promener au bord d’un canal. On se fait emprisonner dans une tour cylindrique dont on réussit à s’échapper. On fuit vers une plage et on y trouve un trou rectangulaire dans un bloc de béton. C’est un tunnel. On le prend et on se fait tirer dessus : une balle nous casse une épée. On continue et on découvre que les murs sont taillés dans des restes archéologiques de la Guerre de 14. On voit un homme nu avec une capote pour gland pas loin de son sexe. On débouche sur un hôtel restaurant de luxe mais pas cher pour un luxe pareil. J’y rencontre une personne potelée et mesurant cinquante centimètres. Elle aime le sexe et on va manger de la compote accompagnée d’eau et d’autre chose aphrodisiaque. Les menus chers et les chambres chères sont en haut des cascades, dans un lieu de toute beauté. Nous, on se contente du bas des cascades, ce qui est déjà pas mal car on a une table pour nous deux et on peut s’isoler avec des rideaux. É B a de quoi payer mais de justesse. P M consomme à côté de nous. J’ai amené mon plateau puis je suis allé chercher ce qui lui manquait et on s’installe en faisant l’amour et en s’embrassant.



Rêve 186

L7 se promène au bord de la mer. On descend de la falaise vers la plage de galets. La mer monte un peu trop vite pour nous et on se réfugie sur un arbre pétrifié. Il est au milieu de la plage, dans l’eau, et la mer monte encore. Des coquilles st-Jaques nous attaquent en masse quand on est sur ce rocher. Elles profitent du fait que la mer monte pour essayer de nous mettre sans sexe, nous rendre hermaphrodite, comme on dit. L7 est d’ailleurs constitué de quatre hommes.



Rêve 187

On a invité ZZ top dans une soirée étudiante. Ils sont très sympathiques et ont accepté de jouer pour pas cher, cela fait partie de leur réputation. Ils jouent leurs vieux morceaux des premiers albums : les meilleurs. Le concert se d"roule dans une maison en bois et dont il ne reste pour le plafond que la superstructure.



Rêve 188

On organise un grandeur nature avec tous les élèves de l'école. Il y a plusieurs équipes : je suis dans l’équipe orange avec mon coéquipier, en face, l’équipe rouge est nombreuse. Dans cette équipe, S vient me voir et propose d’échanger pour qu’on soit ensemble. Elle est nue et je la vois de dos, moi, je suis allongé sur le ventre. Elle me demande de me relever et me dit que c’est pas mal. Elle aussi est pas mal même si elle a un dos un peu large. On se serre l’un contre l’autre.
Je suis une petite bête volante qui agace les gros rats sur la terre. Je leur pique la bouffe et ils cherchent à me manger. Ils sont presque aussi gros que les maisons, je les nargue en leur volant leur bouffe sous le nez. Ils cherchent à me happer avec leur gueule mais je suis trop rapide. À la fin, on devient presque amis car on a une cause commune.



Rêve 189

On visite une école ou une usine moderne qui possède une piscine. On y va et le décor change et on est fait de pierres ocres, style mayas. Les pierres sont relativement petites et bien rectangulaires vues de loin mais pas de près. On descend en dessous, là où il devrait y avoir de l’eau, on voit le niveau normal au niveau de la tête marqué par des pierres qui dépassent. On grimpe par un escalier vers un passage où seul un enfant peut passer. En y allant, on remarque des passages condamnés. On envoie un enfant dans ce tunnel en pente vers le bas, rempli de petits stalactites, éclairé par la lumière du jour à notre gauche et dont les murs forment un pilier de soutènement à 45° vu de l’extérieur.



Rêve 190

Je suis dans un amphithéâtre en bois avec d’autres personnes. On fait un concours de scénarios et j’en crée un pour Rêve de dragon. Je crée la carte qui contient trois îles. Les autres utilisent trois feuilles de papier avec une île par feuille. Mes îles débordent sur les feuilles. Les endroits de la mer n’appartenant pas aux feuilles m’ennuient. Je ne sais pas si je dois couper des feuilles pour que ça rentre, les mettre comme ça ou ne rien mettre. Je choisis la dernière solution. Ma première île est ronde, la deuxième est indéfinie et la troisième en fer à cheval et en rampe. Les trois îles sont alignées et le bout de la troisième est aligné avec les deux autres. Le bout en haut (en altitude) est en bas. Elles sont probablement reliées par des ponts.



Rêve 191

Je visite un bâtiment très moderne, en verre : c’est un internat. Étant au rez-de-chaussée et devant aller plus haut que le deuxième étage, je vais au deuxième puis cherche un autre pour aller plus haut. Le bâtiment est jaunâtre, éclairé mais sombre comme s’il faisait nuit dehors. J’arrive dans la grande chambre éclairée de bleu gris. Je mets Young gods mais arrivé au troisième morceau ils n’ont toujours pas remarqué le style et le premier morceau de la publicité. On est tous assis en rond par terre.



Rêve 192

Je suis avec des copains qui fument du shit. On trouve dans un coin des pétards tous prêts et j’en garde un. Ils sont surpris mais je leur dis que je vais m’y mettre bientôt, avec un grand sourire jusqu’aux oreilles.



Rêve 193

On se promène dans la campagne près de l’A, vers le ruisseau drainé. H a trouvé un chemin dans le maïs qu’on suit avec É. H est avec H et nous explique pourquoi on passe par le maïs plutôt qu’à l’extérieur, surtout que de là où on est, on voit H dans le champ en face : c’est pour brouiller les traces. H regarde dans un talus en se penchant puis on rentre.



Rêve 194

J’arrive à un concert d’Iggy Pop très en avance, je peux m’installer au premier rang, il y a encore de la place. Le concert commence par un groupe de musique africanisante qui nous emmerde un brin. Il se poursuit par un guitariste tout seul qui nous emmerde aussi. Je trouve une copine et on se déshabille sous un drap blanc. On se serre l’un contre l’autre en se caressant. Elle a l’air un peu réticente mais je me débrouille bien et elle finit par se laisser faire : je la caresse partout où je peux. J’espère qu’on n’est pas repérés sous le drap blanc et j’essaie de faire de sorte à ce qu’on soit discret. En embrassant son corps, je le léchais un peu et ça semblait lui plaire. Quand elle me rendait la pareille, j’appréciais aussi beaucoup. Elle est en slip et moi avec un t-shirt en plus.



Rêve 195

On est fait prisonnier par Sauron dans une voiture piégée par une bombe atomique sur le chemin de l’A. Je m’en suis échappé seul, les autres sont encore dedans quand elle explose. J’hésite à ma cacher dans un des trois champs de maïs pour me protéger de l’explosion. Je le fais, mais juste pour se cacher de Sauron, je me dis que ces champs doivent cacher des monstres. Quand elle explose, je vole, les belettes surveillant le voiture sont mortes, celles se cachant dans les deux champs aussi et l’araignée dans le troisième aussi. Ces trois derniers sont en plus emprisonnés avec les maïs soufflés par l’explosion. Sauron est touché mais pas nous. On rentre sain et sauf à la maison où R dort dans la paille dans un appentis dehors. La maison est celle des D avec un appentis dans la pelouse.
On organise un tournoi inter écoles. Seules Bordeaux et Marseille sont venus, et en nombre équivalent au nôtre. C'est un joyeux souk. On organise des épreuves de basket, des jeux avec l’eau… L’ambiance n’est pas à la compétition dans ce lieu séparé en trois salles sombres mais grandes.



Rêve 196

Je suis dans la deuxième Amusance de Rennes. On y trouve des livres, des jeux de rôle. Je cherche ces derniers sur les étagères en fer sans succès, et en particulier Rêve de dragon. Je connais pourtant l’endroit mais visiblement cette Amusance s’est reconvertie au sans jeu de rôle. Le magasin est installé dans une rue lumineuse et dans une maison à étage elle aussi lumineuse.



Rêve 197

image du rêve 197 Je suis poursuivi par un type très fort et complètement débile. Il lui faut faire l’amour à quelqu’un sinon il va casser la maison et il la casse déjà assez. Je l’emmène de la cave à l’étage en l’excitant sur moi mais sans me faire démolir vers ma femme. Il la saute et une fois endormi, je la console et la serre contre moi. Ce type était berserk et cassait tout sur son passage.
Je reviens au CES avec des copains. au premier, L va passer un oral de spéciale. Je vais jusqu’au quatrième qui est organisé en dortoirs communs et en chambres sous les combles. E E est là et je fais remarquer qu’il va intégrer l’année où ils auraient dû avoir leur diplôme. L’un d’eux a une étagère remplie de boîtes de Lego, bien rangées et comme neuves. Le propriétaire ne veut pas qu’on touche à ses Lego. Sur les boîtes je vois qu’on peut faire des motos, des voitures, des pelleteuses.



Rêve 198

Je me baigne en mer avec de la famille. Mes méchants parents sont dans un bateau à moteur et cherchent à me faire du mal et/ou à m’emmerder. La mer est pleine de plancton : il me faudrait un filtre nasal pour respirer, elle est aussi pleine d’algues et c’est emmerdant. Je continue à nager sous la plage et j’arrive dans une piscine dont je vois que le niveau de l’eau est bouché par un plafond en carrelage. Il y a quelques chemins possibles et je me retrouve dans un bassin avec trois toboggans et un plongeoir. Le plongeoir est trop mou pour qu’on puisse faire quoi que ce soit. : soit il est trop long et on touche l’eau en étant au bout, on ne peut pas sauter dessus, soit il est trop court et trop raide. On essaie de sauter É et moi les pieds en avant pour retomber la tête la première. La première fois on rate mais je réussis la seconde. Les toboggans sont faits pour : l’un sauter/plonger, l’autre pour prendre des risques et le troisième au dessus pour faire des figures. Ils sont tous jaunes et démontés. Le bassin où on est est une fosse à plongeon, deux autres sont à côté.



Rêve 199

On est dans une ville clairsemée avec C. Il est question de réincarnation dans un autre monde si on possède un mot de passe. On menace et on est menacé, je vois C au loin, avec des jumelles, dans une foule. Je suis à côté d’un point de réincarnation.
On est dans un camp/colonie de vacances dans un petit immeuble. Tout le monde s’y plaît mais c’est sans raconter le pourquoi de cette aisance. On voit que quelque chose est caché : tout le monde sourit et est content de ce camp qui ne manque pas d’argent. On fait une petite enquête et on découvre un trafic de drogue et seuls les moniteurs y sont impliqués.
Je suis un monstre et on me chasse du monde détruit où je me promène. J’ai quelques facultés qui m’aident mais j’ai du mal car ils y mettent de l’acharnement, c’est fou.



Rêve 200

image n°1 du rêve 200 image n°2 du rêve 200 Je suis dans un immeuble avec C et H. On a pris l’ascenseur et quelqu’un l’a fait aller où on ne voulait pas, au sous-sol ou tout en haut. On s’en sort bien qu’on ait été menacé d’être emprisonné. On retourne dans la rue, on appelle les flics puis on cherche des indices dans une salle pleine de tableaux et qui aboutit à l’ascenseur. On cherche sur le panneau à droite en entrant un bouton, qu’on trouve et qui est censé faire exploser une bombe mais rien ne se passe. On cherche encore mais rien ne se passe.
On est dans une station service en voiture, stationné. Des beaufs bien bovins nous accrochent et nous cherchent noise, comme je suis à l’extérieur de la voiture et que je ne réponds pas, ils me prennent pour cible. Je réponds violemment mais finis par me faire éclater et je meurs à moitié écrasé. Les autres ont appelé les flics qui tardent un peu mais finissent par encercler la station. Les beaufs étaient bien gras et bien baraqués, mais j’étais nerveux et j’ai tenu un peu avant qu’ils m’attrapent un par membre pour me faire la peau et pour m’écarteler.
On est un groupe de bons dragons et on vient de se battre contre des méchants dragons. On a bien du mal mais ils ont le dessus. Ils finissent par aller voir ailleurs et on les suit pour continuer jusque sur une île déserte. Là, on découvre qu’ils ont fui dans l’eau vers le monde des morts. On les suit et on découvre le monde des morts. On peut en sortir pour l’instant. C’est un peu comme un château mais c’est une gigantesque place circulaire contenant toutes les nuances de la vie : du mal au vert bon… On commence par des endroits où il faut nager sous une ligne pour rejoindre le monde des morts voulu, puis on enchaîne sur des mondes noirs et on pense que les méchants ont fui par là. L’un de nous pose le pied sur la case contenant des cercles orange sur fond rose, là où sont les dragons, et y reste prisonnier. On décide de trouver la place qui nous plaît. Moi, je cherche dans le vert quelque chose de chaotique bon. Chaque « enfer » a un petit blason le représentant et a une couleur dominante. On devine aussi ses lois majeures comme chaotique, neutre…



Rêve 201

On est dans un hôtel-auberge de jeunesse avec H. L’entrée est réglementée mais on a réussi à entrer. L’ensemble a des formes triangulaires et possède un toboggan dont l’accès est une rampe horizontale. Il descend en bas de l’hôtel dans un hall. En haut du toboggan, j’essaie d’atteindre un mur en face, il faut sauter mais c'est dur psychologiquement.
On est en train de visiter avec É un château en ruines se terminant par une grotte. On a besoin de lumière et on sait que l’ennemi est là, dans le noir. Puis on fait des pirouettes en volant avec des traits de lumière qui peuvent nous suivre et d’autres personnes.



Rêve 202

Je vole et je suis un super héros dans une ville noire d’immeubles. Je suis en compétition avec un autre par programmes et pirouettes dans et entre les immeubles interposées. On se poursuit de ces immeubles et dans les rues et dans de grandes salles vitrées pleines de machines. Je suis près de perdre mais il n’arrive pas à m’avoir définitivement.
Je suis dans un car avec des collègues et j’ai la 2900e place pour être admis dans une école ayant des relations avec les avions. Je me demande si c’est assez en m’apitoyant et il semble que oui.


Rêve 203

Je viens de Bretagne en volant, petit comme un moineau jusqu’à Strasbourg, ville noire de nuit et coupée en deux par un mur. Je me promène dans les rues puis remarque que je suis poursuivi par des plus gros que moi. Je me cache dans des décombres sous des toits. Ils passent près de moi mais ne me trouvent pas. Je rentre en Bretagne.
Je fais de l’élastique avec des élastonautes avec des gants en cuir noir. Je fais des figures compliquées pour les touristes.


Rêve 204

Je suis dans une chambre, au troisième étage d’une maison au bord de la mer et en bois. Je descends l’escalier pour aller dehors mais j’ai oublié mes chaussures. Je trempe un pied dans le sable, je le nettoie et je remonte. J’entends un souffle bruyant à ma droite ; dans une salle, en montant l’escalier, je vois un gars accroché au dos d’une fille. Arrivé au troisième, je cherche à monter encore mais l’escalier est bouché par une porte menant à une chambre où l’escalier, qui s’est dédoublé, continue. Sur l’autre porte, deux petits panneaux d’astrologie sont affichés et représentent des signes, chacun un. J’arrive à lire celui du dessus mais l’autre est dans une langue que je ne connais pas, je vois juste un dessin marrant avec des chats de dessins animés qui sautent et se poursuivent. Je sais que je suis au troisième même si je ne reconnais pas cette chambre car l’étage en dessous n’est pas le troisième et est trop bas pour être autre chose que le deuxième.


Rêve 205

Je suis dans une ville au bord de la mer, avec une île dans l’anse. Je vais dans l’île chercher des truands. Il y en a plein sur cette île, en particulier dans et autour de la villa. On pense qu’ils savent qu’on est là mais on se cache dans une voiture puis dans un bunker. J’ai avec moi une grenade que je tiens à la main. quelques fois je la lâche car j’ai l’impression qu’elle va exploser mais c’est faux, c’est juste la sensation du matelassé qui palpite parfois. L’île est verte et jaune comme quelque part en Espagne. On la quitte pour se retrouver dans le port, dans les rues. On sent qu’ils ne sont pas loin. Je lance ma grenade dégoupillée dans l’eau : un gros boum et plein de poissons ventre à l’air demain. On s’enfuit dans un pub marchand de bières. On n’oublie pas les sous-bock car le tenancier est un type sympa et un peu gros. Sa famille tient le pub depuis trois ou quatre générations.
JC a acheté l’album de C Vander trio (65 !) avec de la peinture noire, rouge et jaune en filaments. Il est très bien.
On mange au restaurant universitaire avec L, F et quelques autres. Les entrées sont originales, j’apprécie puis A arrive. Elle n’a pas de carte et se met derrière T pour que je paie. Il me faut du liquide mais mes 80F sur la carte vont diminuer. Au moment où j’arrive pour la viande, il n’y en a plus me dit la serveuse noire et mignonne. Il n’y a que des petits pois et je n’avais pas vu le raisin. Ce n’est pas grave pour la viande et je prends pas mal de raisins sur mon plateau. Il y avait des fruits dans des tartelettes et des coquilles st Jacques dans des tartelettes en forme de coquille.
On parle du signe ˄ë dans Magma et on se met d’accord sur sa prononciation [ɔ] comme dans Wahrğenuhr Reuğehlem ˄ësteh.


Rêve 206

On fait un concours de basket où je me défends comme je peux. On finit avec un duel de magiciens et je n’ai aucune chance si ce n’est avec mes compagnons qui se chargent de le trucider avec un arc.
On est au lycée JG et on cherche à partir de la ville en passant par la cantine. On passe par des endroits déjà vus en rêve : une route en virage dans un lotissement.

Ce rêve me fait penser à deux rêves : l’un est dans des lotissements, on s’en va en passant par cette route en virage. L’autre est un rêve dans une ville où on visite un camping dans la verdure, entouré par une haie d’arbustes. Les chemins autour sont aussi entourés de haies d’arbustes. Je pense que c’est E, pour ce qui est de l’atmosphère. On s’est beaucoup promené dans les chemins de jardins et dans les rues.


Rêve 207

J’écris une campagne pour Rêve de dragon, j’ai juste les idées, le synopsis. Elle se passe dans un monde un peu radioactif et irradié. Mes joueurs se promènent en campagne puis arrivent à une ferme. Ils ont envie d’y passer la nuit et sentent déjà qu’il se passe des choses étranges ici. On les a emmené dormir dans un appentis avec du foin près des animaux. Le lendemain, ils farfouillent et visiblement les habitants n’apprécient pas. Ils se défendent comme ils peuvent, le toit s’écroule, les habitants cachent les plus irradiés mais un chien à une patte, un œil et une dent attaque. Il fait peur, mais les personnages se réfugient en hauteur puis sortent de la ferme et vont voir entre deux maisons, là où ils soupçonnaient quelque chose de louche. Ils y sentent la radiation et l’irradié qui s’est enfui.
On sort d’un supermarché M et on arrive devant un marchand de frites qui a un cirque derrière. Il a aussi un piano qui joue tout seul et qu£on peut voir par derrière. Il est creux et un moteur le fait tourner. Je sais ce qu’est un honky tonk au son de ce piano. On a visité un lieu avec des planches avant le piano.
On vient de la campagne pour faire du sport dans un champ bordé d’arbres. On pratique l’escalade, le rappel et le saut à la perche. Certains font du rappel sans matériel, juste pour frimer. Quels nuls ! J’ai besoin de plus d’élan que les autres pour sauter et ils me passent devant, ça a le don de m’énerver d’autant plus que certains font des faux départs.


Rêve 208

Je survole trois personnages qu’on aurait pu rencontrer dans Alice au pays des merveilles : un grand et gros bébé, un type normal et un autre avec un chapeau qui réfléchit, et qui est assez mince. Ils sont en haut d’une colline en forme d’animal gigantesque, en ruine et surplombant la mer et un estuaire. Le bébé est assis sur un petit toboggan brillant, le type au chapeau le prend par les fesses et le col et le laisse glisser. Après y avoir repensé, je saute moi aussi, le troisième type me met à plat ventre pour ralentir et les pieds en avant au moment de plonger. La mer est transparente et quand je touche le fond, je vois des chevaux au fond et on dirait des algues se promenant. Je remonte à la surface et rentre en nageant. À côté de là où j’ai plongé se trouvent des rochers crevant tout juste la surface de l’eau.


Rêve 209

On suit un cours d’économie dans un établissement réactionnaire aussi bien dans ses cours que dans sa discipline. Je suis pour une certaine réforme et vais voir l’enfer dans une grotte juste en dessous. Je suis aussi magicien assez friqué et je fais ce qu’il faut pour que l’enfer et ses occupants se déchaînent et fassent écrouler l’école dans la grottepour emmener tout le monde en enfer. De toutes façons, personne n’aurait survécu à la crise des années 36, ils n’y étaient pas préparés.


Rêve 210

On combat des animaux dans une tour en ruines. Ils sont le mal et nous les hommes en armure du bien.
Une offensive est faite sur une ville dans les montagnes où moi, H et d’autres sont venus. On se réfugie dans un chalet en attendant que ça se passe. On a un peu froid sous nos couvertures et on se tient chaud.
Je fais le con en vélo et je me plante sans me faire trop mal. Des gens m’ont vu et sourient.


Rêve 211

Je suis un canal et j’arrive dans un bâtiment de style lycée avec des toits plus hauts. Là, quatre personnes répètent, j’ai dérangé le cirque Plume qui jonglait avec des lumières. Les musiciens répètent un morceau de Magma d’un album nommé Oleg ou Egol ou un truc comme ça. Je connais le morceau grâce au pirate. Ils ont aussi un bassiste et deux guitaristes. Le batteur m’a montré le disque parmi sa collection. Pendant qu’ils jouent devant la foule puis viens voir les gratteurs, il paraît que l’un va peut-être faire repousser ses pieds en jouant bien mais je ne vois personne avec des moignons à la place des pieds. Je reviens au canal et veux traverser une partie inondée, j’ai une corde en dur (attachée à une voile raide) mais pas jusqu’au bout et comme je suis tout habillé, je vais me noyer si je continue. Je décide de contourner les pêcheurs assis au bord du trou en essayant de ne pas les gêner avec ma ficelle tenant une épée dans l’eau, et je m’excuse quand même. J’arrive dans un endroit un peu labyrinthique, disons plutôt livre dont vous êtes le héros. Je traverse tant bien que mal un pont fait de troncs d’arbres sans tomber. L’autre côté est une espèce de FNAC mais c’est vite remplacé par un endroit au toit plus ou moins conique et dont les salles sont soumises à des règles de livres dont vous êtes le héros. Une de ces salles est contiguë à celle où je veux aller mais il n’y a pas de correspondance, il faut donc que je fasse le tour en évitant les habitants du lieu.


Rêve 212

Je suis à F avec C. On conduit la voiture vers la zone industrielle de l’A. Puis j’ai une course à faire vers la route d’E que je fais en vélo. Seulement la route après la voie de chemin de fer (qui a disparu) monte beaucoup et est pleine de terre à cause d’un chantier à gauche de la route où ils creusent des trous en strates, comme une carrière. J’ai de plus en plus de mal à monter la côté.


Rêve 213

J’ai un petit château entouré de forêts et j’ai envie d’étendre mon domaine. Sur la carte, un trait bleu clair éclair indique ma progression qui est très rapide. Je me contente de conquérir les plaines entre les forêts et les montagnes pour m’occuper de ceux-ci après. Cependant, une autre personne revendique un terrain que je viens de conquérir. Il est dans un moulin.


Rêve 214

J’arrive en voiture par la route de M - La T chez des gens chez qui je vais dormir. Leur fille est moche et difforme. Je vais dans ma chambre et qui sera la nôtre. J’ai comme l’impression que je dois sortir avec elle. Je me mets en position fœtale par terre et elle vient me voir. Elle me caresse et enlève mon bas et le sien. Elle n’est pas si mal que ça et je finis de la déshabiller ; j ’enlève mon t-shirt et ma boucle d’oreille. Je l’ai déjà pénétrée, son sexe est agréable. En l’embrassant sur le corps, je remarque un os à l’os droit du bassin qui dépasse : deux petites boules l’une sur l’autre que je croque avec mes incisives.
Je vais au bord de la mer. La mer est sombre et parquée, des murs nous empêchent d’aller voir ailleurs. Les dunes sont brillamment éclairées et des sapins poussent dessus. On y mange avec la famille.
On a une voiture pourrie (une 4L) dans un monde en ruines. On se promène avec dans une ville vide et on arrive devant un bâtiment sculpté par endroits et avec des vitres. La porte est dans un coin et est protégée par des vitres qui vont jusqu’au toit. On pense que c’est un politicien local. On continue notre route parmi les pierres et les ruines au soleil et on arrive à côté d’une église méditerranéenne. On y rencontre quelques autres personnes qui se cachent.
On est dans un car avec des collègues de l’école et des flics nous arrêtent. Je me moque d’eux en leur disant qu’ils peuvent me fouiller tant qu’ils veulent, ils ne trouveront rien. Le car est à étage et l’escalier est tout près de l’avant.


Rêve 215

Je me promène dans un internat. J’y cherche quelque chose, je prends l’escalier jusqu’au sous-sol et je sors. Là, j’arrive sur une terrasse avec des tables et des chaises. Je choisis soigneusement la table en plastique blanc où je m’installe.
On se promène sous des arbres et on arrive en vue d’une construction ronde cylindrique. C’est l’œuvre d’un architecte né le même jour que Léonard de Vinci. L’un est né le midi et l’autre l’après-midi. Il a fait ça à vingt ans car il était fauché. La construction est faite d’un anneau épais en pierre avec des colonnes dessus soutenant le toit plat. L’ensemble est un peu en ruines mais des gens s’y promènent. Nous, on trouve ça moche.
On est au bord de la mer. On regarde deux îles vertes sur fond bleu au loin. On n’y aperçoit aucun touriste, et pourtant, à notre époque il y en a partout. Il faut dire que la mer a baissé et donc on peut accéder à l’île. L’autre est trop loin. On voit passer deux mémés sur un carré en plastique flottant. Il y a du vent mais elles ont le pied marin. En fait elles se tiennent à des câbles accrochés à des harnais tous neufs ce qui leur permet de rester debout sur leur carré. On voit derrière l’eau de grandes montagnes vertes. Les îles sont celles de S M, du moins, je pense.


Rêve 216

Je suis sur une planète habitée par des créatures anthropophages. Elles me poursuivent sur leur terre rouge-orange. J’essaie de me cacher dans le trou d’une espèce de temple en ruines mais ils m’y retrouvent et je suis obligé de retourner dans notre base en orbite. Là, on choisit un équipage et une personne va se sacrifier pour se faire manger par les extra-terrestres qui l’exigent. On se met en branle-bas de combat dans les deux salles de la station. On voit derrière les vitres les extra-terrestres qui s’impatientent.
On est à l’A avec une personne qui est venue en semi-remorque et une autre qui a fait du mal et qu’on garde. Cette dernière s’enfuit avec le semi-remorque et on la poursuit avec une voiture, seulement une voiture ce n’est pas solide avec un camion. Il essaie de nous envoyer dans le décor ou dans une voiture venant en sens inverse mais on tient le coup et on se cache sous la remorque.
Je joue à Magic avec S C. On vérifie les cartes qu’il m’a prises au cours du jeu : celles qu’il m’a prise, je l’ai tuée et est revenue dans mon cimetière. É joue au carrefour des A (aux sapins) et me fait écouter un groupe de hard bon sauf le chanteur. Je lui dis que le plus dur est d’avoir un chanteur correct pour un groupe, c’est ce qui fait la différence car tout le monde peut jouer et faire du bruit. Sur la pochette on voit les quatre membres sur fond noir. Il me sort une carte Legends Stone giant 8/8 : aïe aïe ! Je regarde le tas et vois des cartes Noir désir.


Rêve 217

On fait une visite guidée d’un château en ruines dans une forêt et des chemins de cette forêt. On mange et je découpe un être humain de vingt centimètres dans mon assiette pour ne pas qu’on sache ce qu’il est puis j’en mange deux tranches. Le goût est fort et bon mais les tranches me restent au travers de la gorge. J’ai mangé de la chair humaine, si je vomis on saura.


Rêve 218

Je me révolte mais on m’a attrapé. Je vois une personne dans le même cas que moi avec un canon dans le cul. Derrière, je vois d’autres personnes avec quelque chose dans le cul, un bâton, un fusil ou une bite. Le canon tire. Je ne veux pas subir ça et je m’échappe dans un port. Le type qui me tenait aussi est là. Je monte dans un voilier en bois pour découvrir ses secrets mais il me découpe en trois avec un lance rayons des quais. Je fuis sur les quais vers l’échoppe de mon père. Je ne me souviens pas de ce qui s’est passé avant.


Rêve 219

Je joue à Magic et j’ai un jeu presque uniquement constitué de blancs et j’ai beaucoup de plaines. Dans mon jeu j’ai une carte « Singes » où des singes fondant sur des girafes avec leurs bras serpents sur fond de temple maya. Les girafes ont des yeux ronds et la carte fait −1/−1 à l’effet girafes. J’ai une autre carte contre celle-ci, une autre qui donne +7/+7 pour une créature qui défend. Ces trois cartes valent un mana blanc mais la dernière a un petit génie bleu en haut à gauche en plus.
On est dans une salle de cours de français et les élèves interrogés fuient par pa fenêtre porte vers la jungle. On va voir la ruine derrière la salle. C’est un escalier de trente étages et fait donc soixante mètres minimum malgré ce que dit celui qui m’accompagne. C’est dangereux mais on redescend et on sent une présence qui ne nous veut pas de bien dans les parages.


Rêve 220

On es parti avec la promotion et quelques autres en voyage organisé visiter une ville. Là, on est au lieu où on va dormir et on se prépare pour la sortie du soir. C et moi sommes sur un coup : lui sur la fille avec qui il est sorti il y a un an, autrement dit, M. On demande qui redouble, seul A répond. On fait l’amour rapidement et c’est très agréable après avoir commencé à se tourner autour.


Rêve 221

On est des anges bleu et blanc contre le diable rouge et noir dans un ensemble de hangars. On les soupçonne de s’être infiltrés dans nos rangs. Nous, on est envoyé sur une ligne de chemin de fer pour combattre les démons qui nous assaillent. Avec moi se trouvent au moins É, V, G et L. Puis on est en bas d’une colline boueuse sauf là où il y a de l’herbe où elle est seulement humide. Des champs et des chemins avec des maisons sont sur notre chemin qu’on choisit à travers champ car les chemins sont trop boueux, même si c’est pour sauter par dessus des barrières électrifiées. Je veux passer dessous mais elle est vraiment trop basse alors je vais sauter dessus mais un crétin a marché dessus avant moi et elle saute.
Je suis dans un supermarché loin du centre ville. J’ai volé et j’en sors avec deux garnements hauts comme trois pommes. On traîne un peu dans le coin en s’éloignant du supermarché pour arriver dans un immeuble pas très régulier. On a pris un escalier extérieur jusqu’au sommet et là, l’un des deux propose de se pendre à la gouttière pour aller à un autre escalier qui descend. Il le fait mais moi j’ai trop le vertige. Je passe à côté sur les toits, là où il n’y a pas de danger. On redescend dans la verdure.

Il me rappelle un rêve avec une place et un bâtiment avec des escaliers roulants et des bus et un métro en sous-sol. Un autre rêve, sombre, avec une rampe au dessus d’un port où on regarde une catastrophe se dérouler sous nous. La rampe se termine par un escalier en colimaçon.


Rêve 222

Je suis acrobate de trapèze au cirque et je fais des cabrioles avec un collègue. Au moment de finir, il se jette dans la foule comme dans un concert et glisse dessus. J’hésite longtemps, j’imagine diverses idées, comme arriver sur un éléphant et se finissant en catastrophe. Je me jette et atterit bien, juste à côté de V. On est content de se revoir, on se déshabille et on fait l’amour, enfin elle me fait l’amour au milieu du public allongé.


Rêve 223

image du rêve 223 Je suis dans un champ avec plein de chats blancs à fourrure. Ils sont rares et certains s’endetteraient pour en avoir. On est plusieurs à en ramener.
Dans un autre champ, d’autres chats ont mal réagi à un de mes actes et m’en veulent. Ils me poursuivent jusque dans un musée dans une maison médiévale retapée. Je leur échappe à peu près.
On suit une réception dans un château avec tous les membres influents de l’ONU. Ils sont habillés richement. On sert et on est sur la sortie du château-fort blanc. L’entrée est un pont de bois avec, à un endroit, une pédale. J’appuie dessus et un autre pont apparaît à ma droite, moi qui suis dos au château. L’autre voit ses traverses prendre des hauteurs aléatoires et une autre partie se mettre à se balancer avec une rambarde qui n’existait pas avant. L’un de nous a perdu son épée dans le coup et m’en veux à mort. Je me jette dans la neige à ma droite, là où était la rivière, pour échapper aux boules de fléau qu’il me lance. L’une d’elles me touche aux fesses mais les autres m’évitent, maladroit comme il est.
On est en route vers la mer, C, moi, des copains et copines, la famille et A B. On rencontre d’autres personnes qui vont aussi à la mer et ne savent pas où c’est : « Là-bas derrière la colline. » On s’arrête près d’un marais qui arrive à une rivière. Je glande sur le marais pendant que d’autres construisent un barrage. Je viens les voir quand il est fini et me fais engueuler car j’ai fainéanté. Je regarde leur barrage et critique la construction à un endroit : le bois est coupé bizarrement. Ce n’est pas eux qui l’ont fait, ils ont repris le travail d’un autre.


Rêve 224

image n°1 du rêve 224 image n°2 du rêve 224 image n°3 du rêve 224 image n°4 du rêve 224 On est dans un bus détourné par deux hommes à la détente facile. Si on a l’air de comploter et/ou de manigancer quelque chose contre eux, ils nous tuent de sang froid. Deux de nous chuchotent à l’arrière du bus et celui posté à l’arrière les abat. Je dis à mon voisin que je vais tenter de me jeter par la porte arrière et il nous tue aussi. Je ne suis pas encore mort et on me laisse sur le bord de la route. Je rampe devant une maison vide puis j’arrive devant une maison habitée par des asiatiques. Je saute d’un éperon rocheux à l’autre. Sous moi, des cultures sont marécageuses. J’entre dans la maison avec un pressentiment : les Japonais sont−ils mauvais — la guerre du Viêt Nam… Finalement, ils m’aident et sont sympathiques. En bas, on voit une voiture louche se garer. Des gens louches en descendent, on pense que ce sont des amis des pirates qui veulent me finir mais ce ne sont que des agents de services secrets qui viennent voir sûrement pour poser des micros.
Je suis sur un site d’escalade que j’ai déjà escaladé en rêve. Je viens du côté difficile et je m’en sors, la traversée n’est pas trop difficile. À la sortie j’ai de sérieux problèmes de pieds. Je suis à l’horizontale et ne sais plus où placer mon pied droit. Je me dis que je suis en rêve et je suis en bas en train de marcher sur des cailloux dans un bois et j’aboutis à une rizière ou un champ ressemblant.
Je suis chez les M, dans leur maison. J’en sors pour aller dans la cour. Je joue avec un jouet à billes que j’ai perdues. Je prends un autre blister plein de boulets. La moitié entre dans le jouet, merci J pour le paquet.
Je suis un homme volant et je me promène en ville accroché à l’arrière d’un tramway. Je passe dans une rue entourée de hauts immeubles puis change de tram pour passer sous un pont et sortir de ce quartier. Le tram passe dans un bar au milieu de la forêt et continue son chemin. Je ne vole pas car je suis fatigué et je vais rejoindre mes collègues. Les gens dans le bus me voient et commencent à m’en vouloir. Je fuis donc.
Dans une forêt, on est deux à être poursuivi par des êtres forts. On grimpe en haut d’un arbre, l’un de nous sur un mince et se fait descendre. Il rejoint l’autre précipitamment et on se fait aussi descendre. On grimpe sur des rochers sur une colline très pentue. En haut, on en redescend. En chemin, on glisse sur des gravillons en nombre impressionnant. Ils sont rouges et je peux à peu près diriger ma chute. Je sors de la forêt mais continue à descendre. En bas, je vois un petit étang bordé de bambous que j’évite. J’arrive dans la mare qui est un piège à crocodile. Je grimpe sur l’estrade en face de moi et des hommes sortent du trou dans la paroi avec des battes de base ball. J’en pique une et tabasse un type puis un deuxième qui avait une batte. Personne sur l’estrade, des gens arrivent et je vais vers la terrasse. Personne ne me veut du mal mais je me méfie. Une personne essaie de me frapper mais je pare, un autre fait un moulinet horizontal avec sa batte, comme ça, et réduit la mienne en charpie.


Rêve 225

Je suis un stage avec S. Il s’est arraché un doigt et une bague est restée dessus. On va partir, il récupère des papiers qui traînent, quelques autres trucs dont le doigt et me demande ce qu’on en fait. On le jette sans oublier la bague.
Je suis au centre de Strasbourg encore plus rénové et je vais voir chez P. Je suis surpris, il n’y a plus de jeux de rôle. Le vendeur me dit qu’un nouveau magasin s’est ouvert à la place je ne sais plus quoi vers les halles. Je demande à des flics qui font la circulation place de l’homme de fer et approuvent.
Je suis dans ma chambre en train de remettre en place des pochoirs, dont un de Magma raté que je jette, des dessins et des posters. J’entends des cris par la fenêtre : ce sont des filles qui se sont amusé à empiler quatre petites voitures et qui garent ça. Je vais les voir et demande comment elles ont fait ça. Elles ont fait ça toutes seules avec leurs bras. Elles ont même dû éviter des flics sur la route.


Rêve 226

On finit une partie de Magic chez A et C. M veut voir quand on se promène, elle me dit bonsoir, je lui réponds froidement bonjour. Elle rejoint les autres et je vais voir ailleurs que ce chemin creux d’un côté.


Rêve 227

Je me promène seul dans un marais et on me sauve de la noyade d’un cheveu. Je suis la personne qui m’a sauvé. Elle m’emmène dans une espèce d’utopie. On y travaille comme on veut, une liste de travaux existe. Je visite une maison et une personne finit son travail. On est amoureux et je viens l’emmener pendant son travail. Je la caresse, je l’embrasse et je m’accroche à elle en m’arrangeant pour me cacher sous l’eau pour qu’elle ne me voie pas. Une fois au travail et ses explications terminées, on va dans une maison. Je vais aux chiottes et elle passe de la musique : le premier album des Mothers of invention, troisième morceau probablement. Les chiottes sont bizarrement foutus et je dois m’asseoir de travers si je ne veux pas être éclaboussé, d’ailleurs, j’y arrive. J’ai trouvé mon travail du côté des musiciens. Pour l’instant, je tiens des fils et éteins Bryan Ferry qui chante parce que le fil est trop court. Sa limousine blanche est à côté. Je vais là où du bois est empilé pour trouver du fil. Je rencontre deux personnes dont une a terminé son travail de la journée ce matin. C’est celui que ma copine V-G m’a montré. Je trouve deux brins d’un mètre environ, les prends sans que les autres réagissent.


Rêve 228

Je me promène là où une fête a lieu pour en partir. Je descends des escaliers de jardin, marche un peu et arrive dans une maison vide. Je trouve d’autres personnes et il semble qu’une personne maléfique essaie de tous nous tuer. Trois bombes nucléaires explosent au loin. On a avec nous un petit mutant gris et râblé et un autre blanc et assez mince. Je sais que le premier est le mauvais. Je lui saute dessus mais il m’arrête dans ma course sans me toucher et s’apprête à m’achever. Seulement, il se désagrège et part en morceaux. Le personnage blanc me remercie. Le gris avait une tête rentrée dans les épaules, sans cou, comme un tas de terre et tout ridé.


Rêve 229

Je suis dans le nouveau foyer et je regarde des cartes de Magic. C P traîne dans les parages. Dans son jeu je trouve beaucoup de photocopies couleur et lui fais remarquer en disant que ça se voit. S’il veut utiliser ça en tournoi, c’est risqué. On essaie un deck bleu-rouge avec ces cartes mais il n’est pas efficace : un deck doit tuer en dix tours et celui-ci se traîne.


Rêve 230

Je fais l’amour et n’aboutis à rien.
Des extra-terrestres méchants ont débarqué chez nous, dans notre pâté de maisons. Ils essaient de nous tuer en explosant la maison mais on trouve refuge dans les arbres à côté au bord du plan d’eau. Ensuite, on revient dans nos maisons et il n’y a plus personne.


Rêve 231

Je fais l’amour sans capote, c’est trop agréable et on termine vite.


Rêve 232

Je suis en cité universitaire, dans une chambre plus grande que neuf mètres carrés. En face, des étudiants veulent repeindre toutes les chambres sans se faire attraper selon leurs envies. Ils n’ont même pas le temps de finir la leur que la gérante arrive et les vire tous. Je la supplie en disant que je n’ai rien peint et je garde une chambre sombre et marron.


Rêve 233

Je suis dans un bâtiment bizarre en bois et des créatures nous veulent du mal. On fuit et on s’enferme dans une salle où l’un de nous nous donne des pistolets à silex. La poudre et le silex sont en grains. Il les étale sur un lit et j’en choisis deux. J’examine les creusets pour en choisir et quand je me retourne, tous les pistolets ont disparu. Je cherche à en récupérer parmi ceux qui en ont trop ou ceux qui sont morts. Des pipes à tabac servent à allumer la mèche.


Rêve 234

Les troisième année visitent un pays sous-développé en car avec quelques deuxième année. On visite une fabrique de café… À une fabrique avec un avion de guerre dedans, A décide de ne pas descendre. J vient avec nous. On est onze pour un groupe de dix contenant aussi É B. Je trouve que leurs installations sont modernes, seule la production permet de dire que c’est un pays sous-développé.


Rêve 235

J’ai piqué la copine d’É et il n’a pas apprécié du tout. Je sors vite de l’A avec É derrière. Il me lance des couteaux mais je les renvoie avec une poële sans l’avant dernier qui me touche au sternum. Ça me fait tout drôle, froid mais je n’ai rien de grave même si j’ai l’impression qu’il s’en est fallu de peu. Je le retire et je fuis par le chemin. Au virage, je vois H arriver en face les B au virage avec la méhari. Je monte dans la voiture et rentre à la maison en cachant les couteaux que j’ai ramassé.


Rêve 236

Je grimpe dans les montagnes sur une colline par la face raide. Je recommence en passant à gauche par un chemin herbu et plus long. J’arrive sur le chemin qui passe par le Kronthal (la colline) pour aller vers la montagne à ma gauche. Je descends ce chemin et vois qu’à ma droite je pourrais redescendre en coupant. Le chemin monte un peu vers le Kronthal et je vois des gens de deuxième année assis. Des coulemelles n’attendent que moi pour les cueillir et O L me dit que ce n’est pas bien. Je ne me souviens plus de leur nom mais je sais qu’ils sont bons et d’autres personnes acquiescent.
On joue à Glyptomania, j’ai le mot mais on m’a piqué au hasard un a mais j’ai encore un e.


Rêve 237

Je fuis Paris poursuivi par des membres de la mafia. Arrivé peu avant Lyon sur une route coupant la falaise de la rive droite du Rhône, la route est effondrée. Sur la carte, cette route est noire. Je descends vers le fleuve suivant des chemins sur la falaise puis je saute. Je les retrouve à Marseille dans un train. J’essaie d’en tuer mais je suis blessé et je saute encore du train. Enfin, je les retrouve dans leur hôtel en noir et blanc en haut d’un escalier. Je les surprends, les entrave et téléphone à la police. Et je m’en vais avant qu’elle arrive car moi aussi je suis du milieu.


Rêve 238

image du rêve 238 On est dans un bâtiment, É est avec moi. Dans une salle, M fait son stage avec R. On a reçu un signal d’une salle avec un détecteur radar, on va voir mis on est dans les chiottes, qu’on voyait de l’extérieur. On se demande d’où vient ce signal, peut-être d’une des salles à notre gauche ?
On est devant un bassin rempli d’eau, de débris et d’un monstre, un dragon. J’explique la tactique aux joueurs, car je l’ai déjà jouée à Légendes : se forger un bouclier en été pendant que l’eau est fondue et pendant qu’un évent crache du feu. Ensuite, ayant attendu six mois, on peut marcher sur la glace pour aller chercher les trous. Ces trous en terre peuvent se refermer en emprisonnant quelqu’un dedans.


Rêve 239

Dans un torrent, un gros monstre nous veut du mal. Il s’arrête car le cours d’eau s’arrête. On voit une photo de lui et c’est clairement une planche à voile retournée dans l’eau bleu profond. Il paraît que ce monstre est particulièrement sans pitié.
J’écoute un disque de Sepultura enregistré en concert en France. Ils parlent couramment le français ; on entend les voix françaises des jeunes qui gueulent. L’un d’eux a une voix particulière et belle.


Rêve 240

On parle dans la salle de l’A, la table près de la cuisine, en travers. Quelques unes de mes figurines sont là, dont le fou. On parle de jeux de rôle, je montre la figurine et la lâche. Le manche est cassé et ça m’énerve au plus haut point. Je récupère les morceaux qui deviennent mous et que je dois remodeler avec un objet tranchant et pointu qui traîne. Je commence à chier sans rien contrôler. Je ramasse les petites boules de merde puis voyant que ça ne veut pas s’arrêter, je grimpe aux chiottes de l’étage, vire D avec une main derrière moi en criant que c’est urgent. Ouf, je peux chier tranquille ces espèces de bulles aplaties en languettes.


Rêve 241

image du rêve 241 Je suis dans un jardin en pente. Des bâtiments avec des murs moulés, des prises et des gens sont sur ma gauche. Des gens suivent des traces que j’ai fait plus tôt, j’en efface une devant moi et ne semblent même pas voir que je leur passe sous le nez.
Je suis encore dans un jardin d’hôpital, avec des collègues de classe. On suit un cours puis on se promène dans ce jardin rempli de grands arbres.
Je suis dans un monde onirique. Je suis avec une belle dame en haut d’un endroit couvert avec vue plongeante de cent mètres au moins sur la mer, un port et une ville. En face, je vois une autre montagne. Je vole avec cette cheffe parmi des objets qui changent de forme. On revient au bercail et elle me propose de l’enculer. Je m’exécute mais on n’avance pas beaucoup, on n’est pas dans une position pratique pour finir vite. Parfois, elle se met à s’exciter alors que ma bite est sortie, je me dépêche de la calmer pour remettre ma bite dans son cul.
Avec É je rentre de vélo de M. Il fait nuit et j’ai un autre vélo pourri. On m’a volé mon rouge et blanc. Les phares marchent à peu près. À La T, des flics nous arrêtent et mettent un procès verbal de 50 F à € car sur sa roue il y a un emplacement pour des fils en plastique et ils ne sont pas tous là. Je meur explique que c’est con et que mon vélo aussi a des ennuis, mais ils s’en foutent. Pendant le trajet, ma lampe de devant éclairait vraiment bien mais pas celle de l’arrière, contrairement à É, donc je me mets devant. En réglant sa position, j’éclaire la route à droite et à gauche.


Rêve 242

Je suis poursuivi dans une île dans un bâtiment futuriste. Je descends vers les sous-sols par ascenseur et j’y trouve un engin avec une demi-sphère en bas et quelques arceaux au dessus. Je grimpe dedans, deux boules, une rouge, l’autre bleue. La rouge permet de voyager dans l’espace et je me retrouve loin du bâtiment, toujours dans l’île. J’essaie l’autre et je me promène dans le temps. Je réfléchis et pense que j’ai tourné les boules dans une seule dimension, alors que je peux le faire pour trois. Le temps aurait-il trois dimensions ?


Rêve 243

Je suis avec une fille sympathique. Je la masturbe et essaie de l’enculer. Elle jouit avec mon doigt et c’est tout.


Rêve 244

Je suis dans un killer avec douze amorces et mon fusil en plastique. Je tue un type d’une « balle » dans la tête et je vais suivre un cours d’une année précédente, au dernier rang où un type est assis et à une chaise de ce dernier, une main dans la poche. Je viens de faire un aller-retour de la salle de cours des troisième année.
Je monte, d’une ville sur le flanc d’une montagne, à un gros ballon en l’air avec mon aile volante. J’apprends à des élèves le peu que je sais en résistance des matériaux et j’essaie d’imbriquer les trois parties du ballon. Je suis aidé car il est constitué à cet endroit de mosaïque facilement modelable. Je leur montre et je redescends en prenant garde avec mon aile de ne pas dépasser l’angle critique qui me ferait tomber sans planer.
Je suis le mal qui se promène dans les égouts. Ils sont répugnants, rongés par le chaos. Certains sont couverts de substance vivant et déplaisante, d’autres ne le sont qu’à moitié. J’ai sous mes yeux tous les types de couloirs droits que je puisse imaginer. Pendant ce temps, des héros se font piquer l’une des leurs par des trolls. Ils entendent des cris et accourent. Ils tuent des trolls dans la forêt. Je sors par un trou dans le rocher et en forme d’amande. De là, des héros voient des trolls en dessous d’eux. Ils tuent ce qu’ils peuvent et se sacrifient. À la fin, un énorme monstre dépasse du haut de la crevasse où nous sommes. Il est en trois parties et je le tue. C’est fini et les règles nous donnent de super avantages. On peut passer pour plus qu’on est aux yeux des monstres. La liste est écrite dans le livre de règles, chaque classe de personnage a sa liste d’avantages.


Rêve 245

Je suis avec É et d’autres personnes. On se fait un plan shit. Certains fument, d’autres mâchent. On (É !) me fait une piqûre de shit contre ma volonté. Je l’engueule puis je me sens partir doucement. Je commence à avoir la tête bizarre, je plane un peu.


Rêve 246

On est deux mecs à ramener une fille chez nous. L’autre lui met son bras dans le dos, juste un instant, pour rire. On monte quelques marches puis je l’emmène chez moi, dans ma petite piaule.


Rêve 247

Je suis poursuivi par des types, sûrement des policiers. Je me cache dans un train, dans ses sous-sols où il fait sombre. Les flics arrivent et les gens me cachent où ils peuvent, mais les flics m’ont vu. Les gens se vengent en me pinçant, en me touchant. Ça chatouille mais c’est insupportable. Certains vont jusqu’à me lécher le cul, ça chatouille énormément, presque jusqu’à l’orgasme. Je me cache sous le train comme ça, si on me découvre, je me lâche et au revoir.
Je suis dans une maison avec la famille. Mon père n’apprécie pas du tout que ma petite sœur et moi s’apprécions beaucoup. On est en voiture et je la console ; le père gueule encore et nous sépare. Je débarque dans une école où on ne parle pas trop le polonais, moi ne parlant pas trop la langue locale, le français. J’écris des mots en les faisant se terminer par ski et je bois de l’alcool fort. La maîtresse et les élèves meurent.
Dans un château fort, des ennemis ont attaqué et ont été repoussés de peu. On fait un duel sous les hautes murailles du château. Un duel amical. Mon adversaire n’apprécie pas ce que j’ai fait ; l’un de nous fait tomber une bombe et fait un gros trou dans le chemin surélevé. On rentre. Les ennemis reviennent, on les prévient mais ils attaquent quand même. Les bombes déchiquettent leur chef et tout le monde. Ils fuient comme ils peuvent.


Rêve 248

Je suis dans une chambre et je joue à Magic contre C et C. On a des cartes bizarres comme des rituels qui ne nécessitent pas de mana mais plusieurs cartes, d’autres sans mana et surpuissantes. On a mélangé les cartes qu{on avait en main mais C n’avait que des vertes, surpuissantes d’ailleurs. Ils s’en vont, je marche sur le toit, aurais pu glisser sur la boue puis reviens dans ma chambre. Je vois la clôture en bas et la neige qu’il n’y a pas sur le toit. Je ne me déplace pas sans mon flingue car un killer est en route et je suis l’un des derniers survivants. D’autres rôdent dans le coin. Je décharge mes onze coups sur une assemblée de gens assis. Je peux mettre ainsi une rondelle de douze. Un couloir puis une pièce, toujours à l’étage. Dans une chambre, un néon ne veut pas s’allumer, il clignote et donc, j’allume tous les autres.
Je suis une femme et ai été supérieure à des hommes. Je les regarde et eux me regardent noir. Je rentre dans la maison d’en face. Là, un comité d’hommes m’attend. Ils m’ont réservé une place sur un siège sur un feu. Je m’assoie aussi loin du feu que je peux et ils commencent à me violer en rigolant et en mangeant. Ils se foutent de moi, assise sur un banc brûlant.


Rêve 249

C’est une soirée à l’école. Je suis assis sur une table. Un type à côté de moi se lève, court dans le couloir et tue quelqu’un. À son retour je le tue avec un pistolet à pétards. Un autre type me tue. Les cartes que je reçois sont marquées Jo et Jeff.


Rêve 250

image du rêve 250 Je suis sur une planète recouverte d’eau et d’algues. Je vois les limites, un mur à créneaux. On a installé des pièges et des collègues ne les ont pas encore vus. Je les préviens et on les désamorce. Ils sont installés dans le décor artistique du coin mais on voit bien ce qui a été changé. Le sol revient et est tapissé d’herbe. Les algues sont divisées en grandes régions bien délimitées.
Je suis dans une ville du Sud, dans un bâtiment des arts décoratifs. On voit une petite cour où ils doivent dessiner. Dans la pièce où nous sommes, des poissons luisants et irisés sont sur des tables. Il y en a même un à fourrure. Je croyais qu’un concours de dessin allait commencer mais ils ouvrent les poissons et les gens se servent gratuitement. J’en mange un peu, c’est du bon poisson. M est là, V et A aussi. Dans la même ville, on est dans une place, on explose des vitres à l’arrêt de bus et on se réfugie dans des ruelles difficilement accessibles aux flics.
Je fais de l’escalade avec A, je me surpasse. On revient en car dans une espèce de maison de forêt et de camping. Elle me dit qu’elle est mariée à Untel. « Mais et S ? » « Ben, je suis avec lui. »


Rêve 251

image du rêve 251 On a organisé un jeu avec des lego. C’est un labyrinthe sur probablement plusieurs niveaux et les bonshommes lego se promènent dedans. On a prévu des couloirs de largeur jusqu’à un, des portes secrètes, des fenêtres sur l’extérieur.
Je suis un petit être de la taille d’un chat ou d’un chien et volant. Je rentre dans une gare en campagne. Les douaniers sont sévères et me cherchent. Je passe à droite sous des barres de fer destinées canaliser les nouveaux arrivants. Je passe une porte. Derrière, je vois une salle pleine de tiroirs sur les côtés. Dans l’un d’eux, je pique et mange des fraises tagada en regardant vers la porte si on m’a vu ou pas. Je continue et arrive dans une grande salle jaune-vert vide avec des colonnes. Je sors pas une fenêtre pas loin du plafond en volant. Je passe par le toit pour revenir devant la gare et pour me cacher dans des maïs. Entre temps, je me suis trouvé une motte de cocaïne dans laquelle j’ai fourré le nez.


Rêve 252

Je suis à Rennes avec É, sur une place. Des jeux de gamins. On entre dans une maison assez étroite et à étages. L’intérieur est assez boisé. À un étage, deux petits cons nous dévalisent. Ils nous prennent nos portefeuilles, mes dés de jeu de rôle… rien de bien important mais tout de plus minable. On se bat, mais ils ont le dessus. Pendant qu’ils regardent ailleurs, j’essaie de téléphoner aux flics avec le 17. Pas de bol, c’est le SAMU. Le 19 est le bon mais il n’y a personne au bout du fil. Ils fuient. Je les poursuis dans le jardin jusqu’au mur au fond. Ils sont passés par un créneau, j’y vais mais ne vois rien dans la rue six mètres en dessous.
Je me promène dans une rue qui monte.
Je suis au milieu d’un amphithéâtre en demi-cercle, à la place de l’orateur. On organise un vote avec les gens présents. Je remarque que les gens de droite (C L, F V D, T) sont à ma gauche et les gens de droite (Y H, M T) sont à ma droite. On me dépose un gros scénario de Rêve de Dragon présenté comme un supplément de Runequest. C’est le deuxième tome. Je demande le premier et on m’amène une boîte présentée comme la boîte de règles de Runequest. Dedans je trouve une carte de Glorantha avec la partie sous Kralorela sur-dimensionnée, un relief entre la terre et la mer et une surimpression de jungle sur la terre. On est sur un lit avec A B, on se chamaille sur la partie sur-dimensionnée pour trouver qu’elle ne l’est pas finalement. Elle est bien près de moi et va pisser. Elle revient en disant qu’elle a rencontré un type qui lui a vomi dessus puis qui s’est transformé en homme-chèvre. Normal, je lui dis, c’est un homme-chèvre et elle l’a buté. Elle est encore plus près de moi et de plus en plus dénudée.


Rêve 253

image du rêve 253 Je suis en haut d’une falaise couverte de neige avec Tintin et le capitaine Haddock. Tintin veut descendre le premier car le capitaine n’est pas bien mais je descends avant lui, sans assurance, le dièdre. En bas, je marche un peu et me rends compte que c’est un bâtiment moderne avec le côté à ma droite plus haut que l’autre.


Rêve 254

Ma voisine d’en face habite une piaule sous le toit du bâtiment. En dessous, il y a deux murs d’escalade. Je vais en voir d’autres avec A (de Strasbourg), on suit la rocade vers les Cotterets. Je suis à âne sur une butte. Des gens à cheval sont dessous, à ma droite. Il y a trois mètres de dénivelé. L’âne saute un trou dans la butte en réussissant une particulière (nécessaire pour un âne) et j’avais prévenu de cette réussite. On continue d’avancer.


Rêve 255

Je vole sur une mer pleine de petite îles en compagnie d’un bateau petit et contenant des amis. Les îles sont hautes ou sont en général des bâtiments inhabités, voire en ruines. Certaines sont blanches et belles, on dirait des constructions arabes avec des maisons à terrasses. La mer est belle et calme. J’arrive en vue d’une ville terrestre dont un immeuble m’intéresse. Il est haut et large. Je regarde d’abord le bas et je vois qu’il est très riche. Le rez de chaussée est rempli de tapis et d’or. Sur un lit, un couple riche est allongé. Je regarde la femme, moche comme un boudin blanc fripé, saturée de cellulite. Les étages au dessus sont moins riches mais bien bourgeois quand même. J’entre par une fenêtre dans un appartement et poursuis mon chemin à l’intérieur jusqu’au dernier étage où habitent les H. Entre temps, H, H et É qui étaient sur le bateau, me tendent un piège dans l’immeuble. J’arrive dans l’appartement des H en sachant déjà qu’on me prépare quelque chose. Cependant, ils sont sympa. S me montre sa chambre. Je trouve que ça tangue. Je sors et remarque effectivement que l’immeuble est souple et tangue avec le vent.
Je suis sur mon lit en B120 avec un livre qui retrace, entre autres, l’évolution de la beauté chez les femmes. Ma bite sort de mon slip et je me débrouille pour qu’É, H et H ne la voient pas en la cachant avec le livre. Sur le livre, il y a des mochetés, une série de jambes superbes… une écluse avec des arbres…
On joue à Légendes. C a un ennui avec un adversaire mais fait 1 puis 4.Le problème est réglé mais c’est temporaire. Je fuis vers un immeuble vieillot. Je vais jusqu’à une chambre pour ne pas qu’on me fasse transmettre une maladie. Ceux qui veulent transmettre la maladie ne sont pas loin et complotent entre eux. Je suis l’un des leurs et j’essaie de retrouver le type qui a fui pour faire transmettre la maladie aux charbonniers. Je mets une combinaison avec du charbon dessus pour les contaminer mais je le suis moi aussi. Je décide donc de contaminer tout le monde. Je sors par la fenêtre vers le balcon pour retrouver le fuyard. De là, j’utilise le fil à linge qui traverse le jardin du quatrième ou du troisième étage où je suis. Je ne trouve rien. Je saute dans le jardin, ne trouve rien, veux voir dans la rue en passant par le toit mais j’ai le vertige et retourne au jardin. Je calcule mon coup pour atterrir sur une table gonflable où le verre posé dessus ne devrait pas bouger. Pas de bol, il se renverse et son contenu aussi. Il arrive à l’envers. Je le fais remarquer avec le sourire de quelqu’un qui essaie de faire pardonner une connerie. De toutes façons, il n’est pas cassé.



Maison